Il se faut entraider, c'est la loi de nature : L'Âne un jour pourtant s'en moqua : Et ne sais comme il y manqua ; Car il est bonne créature.
Il conclut son conte par une morale où, bien que « tous les loups ne soient pas de la même sorte », tous sont « dangereux »27 ; tel est le fin mot de l'histoire, issue d'une Histoire qui fait remonter au Moyen-âge la peur ancestrale d'un animal réellement dangereux pour l'homme et ses troupeaux.
Livre : Le lion et le renard
La morale de cette histoire est qu'il faut réfl échir avant d'agir plutôt que de faire comme les autres.
Jean de La Fontaine s'est inspiré des fables d'Ésope et de Phèdre. C'est une de ses fables les plus connues. La fable elle-même montre que chacun est insatisfait de son sort mais qu'on ne peut chasser le naturel.
Genre : la poésie qui met en scène hommes ou animaux personnifiés, suivie d'une morale. Résumé de l'histoire : Une cigale qui vit au jour le jour demande de la nourriture à une fourmi avare ; celle-ci la lui refuse… Explication de la morale : Le travail est une valeur fondamentale et il faut savoir être prévoyant.
Ne pas confondre vitesse et procrastination
Lorsqu'il se rend compte que la tortue va franchir la ligne d'arrivée, le lièvre se met à bondir. Mais trop tard. La tortue a remporté la victoire. Et nous connaissons tous la morale de l'histoire : rien ne sert de courir, il faut partir à point !
La victoire du singe, dénouement aussi nécessaire qu'immédiat, ouvre sur une double moralité : "Ce n'est pas sur l'habit Que la diversité me plaît, c'est dans l'esprit : L'une fournit toujours des choses agréables; L'autre en moins d'un mcment lasse les regardants.
Quelle est la morale du Chêne et du Roseau ? Même si le Chêne est apparemment plus résistant, son orgueil le perd. Le Roseau est plus humble, à la fois dans ses paroles et son attitude : "plier" ou "courber le dos" est souvent une image d'acceptation et de patience.
Le pouvoir de la fable est d'être l'événement des événements : « Le monde est vieux, dit-on, je le crois ; cependant / il le faut amuser encor comme un enfant. » Le savoir est celui de la doxa, le fabuliste n'y est pas supérieur, au contraire son pouvoir s'y ente, il s'y doit d'y croire.
7. La morale de cette histoire est qu'"en toute chose il faut considérer la fin" : il faut réfléchir aux conséquences de ce que l'on fait. 8. Cela signifie qu'avant de se lancer dans une aventure, il faut bien réfléchir à ce qui va se passer par la suite.
Le conte de Pierre et le loup porte également une morale : avec du courage et de la ruse, un enfant neutralise l'objet de toutes les peurs.
La morale de cette fable est prononcée par le Renard : « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute ».
La morale de la fable Le loup et l'agneau apparaît dès le premier vers, rendant ainsi prévisible la fin de la fable. La Fontaine ne nous donne ni leçon de vie, ni conseil pratique : c'est ici un simple constat sans appel plus qu'une morale : "La raison du plus fort est toujours la meilleure".
Pourtant dans cette fable, « L'homme et la couleuvre », c'est bien cet animal qui révèle à l'homme l'étendue de son injustice. Pour appuyer ses dires, elle fait appel aux témoignages d'autres victimes de l'égoïsme des humains. Comment La Fontaine dénonce-t-il l'ingratitude de l'homme envers la nature ?
Ne put ni fuir ni se défendre. Toujours par quelque endroit fourbes se laissent prendre. Quiconque est Loup agisse en Loup : C'est le plus certain de beaucoup.
La morale de la fable
L'originalité du Lion et du Moucheron est de proposer deux morales : Juger à sa juste valeur son ennemi, qui parfois semble inoffensif, mais qui est souvent le plus dangereux. Vaincre certains dangers ne met pas à l'abri d'une mort ordinaire et subite.
Cette fable vise les hommes qui, ne connaissant pas la vérité, pensent en faire accroire aux autres.
La vérité générale dans Les deux Taureaux et une Grenoüille se voit aussi dans cette fable d'Horace : les grenouilles ne seront jamais égales aux taureaux de la même façon que le peuple ne sera jamais égal aux hommes de pouvoir.
La panthère vantait à tous coups la variété de son pelage. Le renard prenant la parole dit : « Combien je suis plus beau que toi, moi qui suis varié, non de corps, mais d'esprit. » Cette fable montre que les ornements de l'esprit sont préférables à la beauté du corps.
Avec cette figure du Berger proprement au cœur de la fable (6 vers avant, 5 après), La Fontaine vient donc insidieusement nous interroger sur la nature de notre courage : il n'est de vrai courage pour La Fontaine que celui qui s'attache à la vie.
Loup (le) et la Cigogne (III, 9)
La morale non exprimée dans la fable, racontée avec beaucoup d'ironie, est implicite : Les méchants sont incapables de gratitude, que ceux qui les servent méditent la leçon...
la morale de la fable nous questionne sur la nature des hommes : peuvent-ils changer ? Une alliance conclue avec un ennemi par nécessité contre un ennemi commun risque de ne plus avoir de valeur en temps de paix. Ainsi, on peut penser que le rat a raison de se méfier.
Les deux derniers vers du texte sont consacrés à la morale et délivrent donc l'enseignement à retenir : "Selon que vous serez puissant ou misérable / Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir". Ici, une critique est faute de la justice qui est arbitraire et inégale selon la puissance des prévenus.
La justice, représentée par le Chat, est d'une violence sans nom et se révèle être obsolète. Elle présente un vide juridique, il vaut alors mieux s'occuper soi-même de régler ses affaires.