Il existe trois grandes familles de causes d'incendie. La première est technique : électricité (exemple : une multiprise surchargée), machines, mélange de produits... La deuxième, humaine, concerne les négligences, les imprudences ou encore la malveillance.
Les feux sont à la fois une cause et une conséquence du réchauffement climatique. Ils sont à l'origine d'une pollution de l'air, de l'eau et des sols. Leur fréquence, notamment dans le contexte d'épisodes de sécheresse, peut compromettre le devenir de l'écosystème forestier.
Les causes principales d'incendie domestique : feu électrique, erreur humaine et incendie en cuisine.
Les sources de chaleur (lampes, radiateurs, bougies, etc.) provoquant un embrasement sont la seconde cause la plus fréquente. Une ampoule halogène de 500 watts dégage par exemple une température de 200 à 580°C. Il suffit qu'elle soit placée trop près d'un rideau ou d'un tissu mural pour qu'ils prennent feu.
La détermination de la cause d'un incendie consiste à identifier la nature des combustibles et de la source d'énergie tout en s'assurant de la disponibilité d'un comburant.
L'emploi du spectromètre de masse tend à se généraliser dans les laboratoires. Sa capacité d'identification des molécules détectées ainsi que sa facilité de mise en œuvre et d'entretien font de ce dernier un détecteur de choix en chimie analytique appliquée à la criminalistique.
Grâce aux signalements des postes de vigies ou de guet armé, «on connaît à peu près l'endroit où a démarré le feu. À partir de là, on se met à observer la végétation», dit-il en s'approchant d'un arbuste carbonisé.
Parmi les causes fréquentes :
L'origine électrique d'un incendie concerne plutôt les appareils que les installations. La vétusté de l'installation n'étant pas l'unique facteur de risque. En réalité, une mauvaise utilisation des appareils ou des dysfonctionnements s'ajoutent à cette cause première.
Un incendie est une réaction de combustion non maîtrisée dans l'espace et dans le temps. C'est un feu qui peut être violent et destructeur pour les activités humaines et la nature.
L'intoxication par la fumée est la 1re cause de décès chez les victimes d'incendie, alors que l'incendie domestique est la 3ème cause de mortalité chez les enfants de moins de 5 ans.
L'incendie étant un risque aisément assurable, l'indemnisation des dommages en résultant ne peut se faire dans le cadre du régime " catastrophes naturelles ".
Accueil > langue française > dictionnaire > feu n.m. - feux n.m.pl. - feu adj.
Il réchauffe et allonge l'été aux dépens de l'hiver ; il a permis à l'homme d'envahir les zones tempérées froides de la planète. Il permet de cuire la nourriture et, en conséquence, de faire reculer les parasitoses. Il améliore la fabrication des outils en permettant de durcir au feu la pointe des épieux.
Ne laissez jamais de casseroles, poêles ou autres ustensiles sur le feu et sans surveillance. Éloignez au maximum les produits inflammables des sources de chaleurs (radiateurs, plaques, cheminées...). Ne ravivez jamais un feu ou des braises de barbecue à l'aide d'essence ou d'alcool.
Localiser le départ de feu
Afin de trouver la cause d'un incendie, les enquêteurs peuvent activer une cellule RCCI (Recherche des causes et circonstances des incendies). Elle se compose d'un gendarme, d'un sapeur-pompier et d'un technicien des forêts. Cette cellule n'existe pas dans toutes les régions.
Qui provoque des incendies, qui utilise inconsidérément le feu.
En cas d'incendie involontaire provoquant des blessures ayant entraînées une incapacité totale de travail pendant au moins 8 jours, les peines sont portées à 7 ans de prison et 100 000 € d'amende. En cas de mort d'une ou plusieurs personnes, les peines sont portées à 10 ans de prison et 150 000 € d'amende.
Un incendie se déclare lorsque trois éléments sont réunis: de l'oxygène, une matière inflammable et une source d'ignition. Ces éléments sont souvent représentés sous la forme d'un triangle du feu.
La découverte du feu est un tournant majeur dans l'Histoire de l'humanité. Difficile à dater, elle s'est faite de manière progressive à plusieurs endroits à la fois. On sait qu'Homo erectus le domestiquait vers 400.000 ans avant notre ère, et qu'Homo sapiens a développé son usage.
Le principe de combustion
Cette transformation chimique nécessite toujours deux réactifs : un combustible et un comburant. Pour qu'une combustion se réalise ces deux réactifs doivent être en contact et recevoir une chaleur suffisante. On appelle cela « le triangle du feu », sans l'un de ces éléments, le feu meurt.
Bretons et Chinois se disputent, si l'on peut dire, l'honneur du premier feu attesté : dans la grotte de Menez-Dregan, à Plouhinec (Finistère), des hommes entretiennent des foyers dès 450 à 400 000 ans avant le présent, tout comme à Zhoukoudian, en Chine, où, vers la même époque, ils durcissent à la flamme outils en os ...
Le feu ressource.
Les flammes, par leur danse, offrent un spectacle doux et hypnotique qu'aucun programme TV ne peut concurrencer. D'autre part, son crépitement coupe court aux bruits mécaniques qui nous environnent toute la journée. Sa chaleur intense dénoue les tensions musculaires.
KéZaKo ? À l'origine d'un feu, il y a une réaction chimique de combustion entre le combustible (l'élément en feu) et le comburant (l'oxygène de l'air). Les atomes des molécules qui composent le combustible et l'oxygène de l'air, se réarrangent, et libèrent l'énergie dont elles n'ont plus besoin sous forme de chaleur.
Un indice, c'est la couleur de la flamme : bleue, pratiquement tout le combustible est transformé en vapeur d'eau et en CO2 (combustion complète), orange, une partie seulement est transformée en vapeur d'eau et en CO2 (combustion incomplète).
On emploie l'adjectif défunt pour parler d'une personne qui est décédée depuis un certain temps, par opposition à feu (« décédé depuis peu de temps »).