Premier au classement, le paulownia Cet arbre originaire d'Asie est celui qui serait le plus grand absorbeur de CO2, avec 10 fois plus de dioxyde de carbone absorbé que n'importe quel autre arbre.
Le paulownia tomentosa : originaire de Chine, il est réputé pour sa croissance rapide et son adaptabilité à tous les types de terres. Il absorbe jusqu'à 10 fois plus de CO2 que d'autres arbres.
Le Paulownia a donc la capacité de purifier l'air en produisant plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il est également capable de nettoyer les sols en absorbant de nombreuses poussières.
Le Kiri, champion des arbres aspirateurs de CO₂
Ainsi, grâce à ses super facultés de photosynthèse, le Kiri peut absorber jusqu'à dix fois plus de CO₂ que ses compères. En trois années à peine, il est à même d'atteindre sa taille adulte (qui peut être de plus d'une vingtaine de mètres !)
L'océan continue d'absorber le Co2
En d'autres termes, plus les quantités de CO2 ont augmenté dans l'atmosphère, plus les océans en ont absorbé.
Premier au classement, le paulownia
Cet arbre originaire d'Asie est celui qui serait le plus grand absorbeur de CO2, avec 10 fois plus de dioxyde de carbone absorbé que n'importe quel autre arbre.
Les activités humaines libèrent actuellement 25 milliards de tonnes de CO2 par an dans l'atmosphère. La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
La biodiversité joue un rôle essentiel pour la préservation de l'environnement, et certaines plantes ont la capacité d'absorber beaucoup plus de CO2 que d'autres. Celles-ci sont donc à protéger et à privilégier pour enrayer le réchauffement climatique telles que le bambou, l'iroko, le paulownia, le lierre, etc.
Les puits naturels
Il s'agit des écosystèmes qui, comme les forêts, les marais côtiers, le bocage, le phytoplancton, captent naturellement le CO2 par photosynthèse et le stockent dans le bois, les sols, les sédiments… Du CO2 se dissout aussi dans les océans.
Les sapins importés ont trop d'énergie grise
Un arbre de Noël d'un pays lointain absorbe exactement autant de CO2 pendant sa croissance qu'un arbre suisse, bien entendu. Mais plus la distance de transport est grande, plus elle représente d'énergie grise et d'émissions de CO2.
L'Aloe vera est bien entendu connu grâce aux différentes crèmes et lotions dans lesquelles cette plante médicinale est utilisée. Celle-ci produit de l'oxygène la nuit essentiellement, ce qui fait d'elle une compagne de chambre idéale.
En fait, presque tout l'oxygène respirable de la Terre (près de 21 % de l'atmosphère terrestre) provient des océans. Il s'est accumulé dans l'atmosphère grâce à des micro-organismes marins (par exemple cyanobactéries et micro-algues planctoniques) capables de réaliser la photosynthèse.
Le saule pleureur (Salix babylonica): il peut consommer jusqu'à 200 litres d'eau par jour. L'eucalyptus (Eucalyptus spp.): il peut absorber jusqu'à 100 litres d'eau par jour, voire davantage pour certaines espèces.
L'absorption du CO2 par les plantes dépend de plusieurs facteurs : l'espèce (la vitesse de croissance), l'âge, la taille, le climat (la température), le sol, la luminosité, le niveau de gaz dans l'atmosphère… Pour les arbres, certains poussent plus vite et donc absorbent plus rapidement plus de CO2.
Il existe également des puits de carbones naturels, tels que les forêts, les tourbières et les océans. Ces écosystèmes absorbent naturellement le CO2 et le stockent de manière très efficace.
Pour certains scientifiques, la haute mer et sa colonne d'eau serait le plus grand puits de carbone de la planète, mais son avenir à grande échelle est encore inconnu, d'autant plus qu'avec l'acidification des océans, ce processus pourrait devenir moins efficace car il y aura moins de carbonates* disponibles.
On distingue quatre grands réservoirs naturels de carbone sur Terre : l'atmosphère, la lithosphère (sols et sous-sols), l'hydrosphère (mers, océans, lacs et rivières) et la biosphère (végétaux, animaux et autres organismes vivants).
Les océans sont les principaux puits naturels de carbone, assimilé via le plancton, les coraux et les poissons, puis transformé en roche sédimentaire ou biogénique. On estime qu'ils concentrent 50 fois plus de carbone que l'atmosphère, 90 % par la pompe physique, 10 % par la pompe biologique.
Les bienfaits de l'aloe vera sont réputés en cosmétique, mais ils ne s'arrêtent pas là. Cette plante verte est d'une grande aide pour purifier l'air de votre chambre.
Faites appel à la brigade des plantes génération oxygène: lierre (Hedera), fougère (Nephrolepis), gerbera en pot et Spathiphyllum sont non seulement magnifiques mais ont en outre tous quelque chose de plus à offrir. Le gerbera en pot purifie par exemple le trichloréthylène et le benzène dans l'air.
Le chrysanthème ou les philodendrons sont de bons dépolluants de trichloréthylène, substance utilisée dans les peintures et les solvants.
En 2019, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (24 %) et l'industrie (19 %, y compris la construction).
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
Dans l'eau pure à 20 °C, le taux de gaz carbonique est de 0,51 mg/l. mais dans une eau naturelle, ce taux varie en fonction des minéraux, de la température et de la pression.