Le marcottage par couchage des rameaux est particulièrement adapté aux plantes grimpantes (chèvrefeuille, clématite, viorne, kiwi, bignone…), aux arbustes de terre de bruyère (rhododendron, bruyère, cornouiller, pieris…), et puis les érables, genévriers, mahonias, magnolias, chimonanthes, corètes du Japon, pruniers…
Le marcottage est un mode de multiplication très utilisé pour la ronce. Le marcottage est également fréquent chez certains conifères, comme le cyprès de Leyland, dont les branches basses s'enracinent spontanément au contact du sol. Il se forme ainsi une couronne de jeunes arbres autour des arbres âgés.
Le marcottage du pommier est une méthode très utilisée par les pépiniéristes pour multiplier aisément et rapidement leurs porte-greffes. Essayez donc cette technique chez vous pour obtenir de nombreux sujets vigoureux.
Il existe cinq types de marcottage : par couchage, par long bois, en cépée, en serpent ou aérien. Nos professionnels pourront vous conseiller et vous aider pour le choix et la technique de marcottage à adopter selon les plantes que vous souhaitez multiplier tout en vous faisant bénéficier de 50% de réductions fiscales.
Il est possible de multiplier les pieds de géranium en effectuant du bouturage. Vous pouvez effectuer cette opération entre août et septembre. Pour bouturer le géranium, coupez juste en dessous des feuilles et trempez la bouture dans l'eau jusqu'à l'apparition de racines.
De nombreuses plantes se reproduisent ainsi : rosier, noisetier, framboisier, lilas, … La pomme de terre émet également des drageons, dont les extrémités se transforment en tubercules. Le stolon est un rejet aérien, issu de la transformation du bourgeon terminal de la tige en un système racinaire.
Le thym a la particularité de se marcotter spontanément à partir de ses rameaux ligneux qui touchent le sol. Il est possible de l'aider un peu en plaçant des crochets çà et là sur les tiges ligneuses et en les insérant dans le sol. Ce n'est à faire que si vous souhaitez obtenir de nombreux nouveaux plants.
o Avantages : Méthode facile qui permet de multiplier rapidement la plante. Plant obtenu est identique au pied mère avec une mise à fruit rapide. o Inconvénients : Le plant marcotté aura un système racinaire superficiel et sera alors peu résistant au vent.
Le marcottage par couchage des rameaux est particulièrement adapté aux plantes grimpantes (chèvrefeuille, clématite, viorne, kiwi, bignone…), aux arbustes de terre de bruyère (rhododendron, bruyère, cornouiller, pieris…), et puis les érables, genévriers, mahonias, magnolias, chimonanthes, corètes du Japon, pruniers…
Quand réaliser le marcottage sur un oranger ou un citronnier ? La meilleure période pour réaliser le marcottage aérien se situe au printemps lors de la montée de sève, ainsi, le décollement de l'écorce sera plus aisé. Les températures clémentes assureront quant à elles une mise en racines plus rapide.
Il se pratique à n'importe quelle époque de l'année mais il est plus facile de le faire lorsque les arbres n'ont plus de feuilles. Le printemps et l'automne sont des périodes favorables.
Comment marcotter la lavande ? Tailler court le pied mère, en avril, puis en août de l'année suivante, pour provoquer des repousses denses. Au printemps, enfouir la plante entière sous un tas de terre légère, en ne laissant dépasser que 10-15 cm des pousses. Maintenir le sol juste frais.
Les figuier, grenadier, actinidia (kiwi) et vigne sont également faciles à multiplier par bouturage. Pour les autres arbres fruitiers, pommiers, pruniers, cerisiers, poiriers, le résultat n'est pas garanti mais ça ne coûte rien d'essayer. Et si ça marche, vous aurez fait de belles économies.
Marcottage aérien : pour quelle plantes ? Plantes d'intérieur : Ficus, Monstera, Philodendron et généralement toutes les plantes à grosses feuilles, croton. Arbres et arbustes d'ornement : érables, magnolias, camélias, hamamélis, lilas, rosier.
Le marcottage a lieu à une époque à laquelle les tiges sont les plus souples, c'est-à-dire à partir du mois d'août et jusqu'en automne. Toutefois, cette méthode de multiplication peut se pratiquer toute l'année à partir du moment où il est possible d'abaisser une tige sur le sol.
Le but du marcottage aérien est de provoquer la formation de racines sur une des branches de la plante mère à multiplier. Avec ce type de multiplication, on obtient une nouvelle plante identique à la plante mère, et avec son aide, puisqu'elle alimente la marcotte jusqu'au sevrage.
A partir du mois d'août, ameublissez le sol autour de votre pied de romarin. Mélangez à la terre du sable ou du gravier pour l'alléger et améliorer le drainage : les marcottes sont en effet très sensibles à l'excès d'eau. Enlevez les feuilles sur un tronçon de 15 à 20 cm mais conservez une touffe de feuilles au bout.
Ainsi, dans les terres argileuses, le thym pourrit ou sèche fréquemment. Cela s'explique par le fait que ces terres sont plus froides l'hiver, plus longues à se réchauffer aussi au printemps mais surtout plus humides que les autres. Bref : tout ce que le thym déteste car dans ces conditions, ses racines s'asphyxient !
Selon les formes cultivées, le thym ne vieillit pas de la même façon mais vous devrez le rajeunir sous peine de le perdre. S'il vieillit en formant de longues branches dégarnies qui portent des bourgeons à leur base (ci-contre), taillez-le à 10 cm au-dessus de jeunes pousses.
Les cactus, les euphorbes, l'Opuntia ou encore les plantes grasses sont les plantes les plus faciles d'entretien et sont par ailleurs très tendance en ce moment.
Le bouturage dans l'eau est aussi possible pour de nombreuses plantes d'extérieur : aucuba, bégonia, bignone, datura, fuchsia, géranium, hortensia, impatiens, laurier-rose, lierre, lilas, menthe, potentille, sauge...
A bouturer, au printemps
Antémis, aster, géraniums, fuchsias, dahlias, capucine, clématite, glycine... La période s'y prête relativement bien avant les fortes chaleurs de l'été et au démarrage de la végétation.