Quelle est la nature de cette maladie, du point de vue médical? Que sait-on des causes de la maladie? En termes de pourcentage, à quel point êtes-vous sûr du diagnostic? Si vous n'êtes pas certain, quelles sont les autres possibilités que vous considérez le plus, et pourquoi?
En général, lors du premier rendez-vous, le patient explique les raisons de sa présence, ses motivations et le thérapeute va s'intéresser à sa personnalité et à l'environnement dans lequel il évolue. L'entretien prend en compte le passé et plus particulièrement l'enfance.
aborder ce qui vous préoccupe sans entraves ni limitations. poser des questions au psy, notamment pour savoir comment il travaille, si votre problématique est quelque chose qu'il connaît et sait gérer et toutes celles qui vous passent par la tête. répondre aux questions qui vous sont posées.
Contrairement aux disciplines médicales somatiques, en psychiatrie, il n'y a pas d'examen complémentaire diagnostique. On ne demande pas un bilan biologique ou une radiographie pour confirmer un diagnostic psychiatrique. Éventuellement on les demande pour éliminer une cause somatique.
Le manque de confiance en soi est un problème rencontré par beaucoup de personnes, qu'il est possible de surmonter avec l'accompagnement d'un psychologue. Le psychiatre peut intervenir en cas de troubles du corps et de l'apparence plus profonds, comme la dysmorphophobie ou l'anorexie, par exemple.
Une évaluation psychiatrique ressemble à un examen médical et sert à déterminer s'il est réellement question d'une affection psychiatrique. Le sens de la réalité, l'humeur, le comportement, le fonctionnement intellectuel et les causes possibles sont évalués minutieusement.
Un majeur en souffrance psychique ou trouble psychiatrique mineur peut bénéficier de ces séances s'il est dans l'une des situations suivantes : Troubles anxieux d'intensité légère ou modérée. Troubles dépressifs d'intensité légère à modérée. Mésusage de tabac, d'alcool ou de cannabis hors situation de dépendance.
« Dites tout »
À ceux qui se demandent s'ils devraient mentionner une préoccupation à leur médecin, elle offre ce conseil : Dites tout. « Si quelque chose est important pour vous, cela le sera pour le médecin aussi, alors parlez-en, dit-elle. Dites-lui ce que vous pensez ou ressentez, afin qu'il puisse vous aider. »
Qui a le dernier mot du médecin conseil et du médecin du travail ? Comme évoqué précédemment, c'est le médecin-conseil de la CPAM qui est chargé d'assurer le contrôle médical. Autrement dit, il doit vérifier que l'état de santé du salarié mentionné sur l'arrêt maladie est réel.
Sans crise à aborder, vous avez la possibilité de “creuser les aspects de votre vie que vous vous représentez comme “satisfaisants”ou ”;assez satisfaisants” et d'initier de grands changements”. Pour aborder la thérapie de cette manière, vous devez vous sentir à l'aise face à un petit silence gênant de temps en temps.
La durée des séances est adaptée à chaque patient. L'entretien d'évaluation a une durée indicative de 45 à 55 minutes. Pour les séances de suivi, la durée indicative est d'environ 30 à 40 minutes.
Les notes peuvent donc être prises pendant la séance par l'observateur, sans que cela nuise au processus analytique. Elles sont ensuite relues après la séance avec les co-thérapeutes. Les auteurs insistent sur le fait que le processus d'attention flottante est actif pendant la prise de notes.
Alors, quand faut-il agir ? Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Les psychologues cliniciens et les psychothérapeutes détenteurs d'un permis sont également qualifiés pour établir un diagnostic de dépression. La méthode la plus efficace est d'allier psychothérapie et médication. Vous, votre médecin et votre psychothérapeute peuvent contribuer à votre plan de traitement.
Le psychiatre est le seul spécialiste des maladies mentales qui peut poser un diagnostic basé sur une évaluation complète incluant un examen mental et physique, des analyses de laboratoire, de l'imagerie médicale et une histoire psychosociale détaillée.
Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.
Douleur et états dépressifs
C'est le trouble psychiatrique le plus fréquemment associé aux plaintes douloureuses chroniques. Sa prévalence varie selon le recrutement des patients étudiés et les instruments d'évaluation, mais elle atteint entre 13 et 85 % selon les études et les échantillons (Bair et al., 2003).
Mais il arrive parfois chez certains patients, quelques jours après la séance, qu'une sensation de mal-être arrive progressivement. Cette sensation peut être accompagnée de douleurs, de fatigue émotionnelle, de courbatures, ou d'une anxiété plus ou moins forte.
Le psychologue aide les individus à résoudre des difficultés sociales ou d'ordre psychique (troubles mentaux, troubles du comportement). Il apporte un soutien psychologique aux personnes ou aux groupes. Pour cela, il mène des entretiens individuels ou collectifs.
Du fait de son statut de médecin, le psychiatre est habilité à prescrire des médicaments, ce que ne peut pas faire un psychologue. Le rôle du psychiatre est de soigner ou du moins de stabiliser les maladies psychiques. Il dispose pour cela de compétences en psychothérapie, en recherche et en médecine.