Certains migrant·e·s quittent leur pays pour travailler, faire des études ou rejoindre des membres de leur famille, par exemple. D'autres y sont incités par la pauvreté, les troubles politiques, la violence de bandes criminelles, les catastrophes naturelles ou d'autres problèmes graves.
Ces causes sont économiques, politiques, naturelles, éducationnelles, psychologiques, institutionnelles, volontaires, diplomatiques, d`affaire ou de réunion.
Qui peut demander l'asile ? Tout le monde peut demander l'asile. Toutefois, il s'agit normalement d'une personne qui s'estime exposée à un risque de préjudice grave dans son pays d'origine ou qui est contrainte de quitter son pays à la recherche de la sécurité dans un autre pays.
A l'origine surtout des populations déplacées en raison de la Deuxième guerre mondiale puis de la Guerre froide, les réfugiés sont de plus en plus des populations d'origines très diverses, victimes de circonstances telles que les guerre civiles, les catastrophes humanitaires, les régimes totalitaires....
Certains migrant·e·s quittent leur pays pour travailler, faire des études ou rejoindre des membres de leur famille, par exemple. D'autres y sont incités par la pauvreté, les troubles politiques, la violence de bandes criminelles, les catastrophes naturelles ou d'autres problèmes graves.
« qui est à l'extérieur de son pays d'origine et qui craint « avec raison d'être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques ».
Il devra préciser quelles sont ses craintes, le contexte et les circonstances dans lesquelles elles pourraient se réaliser. Tout aussi important que l'actualité des craintes elle-même, le demandeur devra aussi convaincre par sa réponse de la gravité des atteintes qu'il risque de subir en cas de retour dans son pays.
Toutefois, vous n'avez plus le droit de rester en France (l'attestation de demande d'asile peut vous être refusée, retirée ou son renouvellement refusé) dans les cas suivants : L'Ofpra a pris une décision d'irrecevabilité ou de clôture de votre demande. Vous faites l'objet d'une décision définitive d'extradition.
Le renouvellement, quelle que soit la procédure, se fera pour une durée de 6 mois. Cette prolongation donne le droit au séjour jusqu'à ce que l'Ofpra se prononce ou, en cas de recours, jusqu'à la décision de la Cour nationale du droit d'asile (CNDA).
ÉMIGRÉ, ÉE, s'emploie souvent comme nom pour désigner Celui, celle qui a dû quitter son pays momentanément ou tout à fait pour une cause politique. C'est un émigré. Loi contre les émigrés.
Les principaux facteurs de la migration sont entre autres: une croissance économique faible, une répartition inégale des revenus, la surpopulation étroitement liée à une forte croissance démographique, des taux élevés de chômage, les conflits armés et les épurations ethniques, les violations des droits de l'homme, les ...
Pour le pays d'accueil, l'immigration a un effet positif car il y a apport d'une main-d'œuvre prête à l'emploi. Mais elle revêt également des aspects négatifs car il y a une population à gérer. Par ailleurs, l'envoi d'argent vers le pays d'origine a un impact sur le taux de change dans le pays d'immigration.
Les causes sont multiples:
La Faim, résultat de la guerre, de la détérioration des terres agricoles, de la monopolisation des terres cultivables par un certain nombre de grandes familles ou sociétés commerciales, de la désertification, de la pollution des eaux, de catastrophes naturelles ou provoquées par l'homme.
Inconvénients au sens juridique de la migration
Aussi, il peut y avoir un transfert de maladie de la part des migrants qui se présente comme un grand risque. Il peut y avoir également un fardeau financier de même que la délinquance de la part des migrants.
Si vous êtes apatride, vous pouvez vous rendre dans votre ou vos pays d'origine. Dans certains cas de nécessité impérieuse, les personnes placées sous la protection de l'Office peuvent être amenées à retourner dans leur pays d'origine.
Le commissaire général peut abroger le statut de réfugié lorsque : l'intéressé demande volontairement la protection du pays dont il a la nationalité l'intéressé retrouve volontairement la nationalité de son pays après avoir perdu celle-ci.
Non. Même si les réfugiés espèrent parfois améliorer leur situation en passant d'un pays de l'Union européenne à l'autre, ils n'ont pas le droit de redemander l'asile dans un autre pays de l'UE.
Il faut pouvoir mettre l'OFPRA sur la piste des éléments importants. - Les premières questions pourraient être: pourquoi demandez-vous l'asile ? et quelles sont vos craintes en cas de retour ? - Si des menaces sont évoquées par la personne, on peut essayer de préciser la nature, l'origine et le degré.
Décisions du directeur général
L'Office mène systématiquement des entretiens, sauf s'il s'apprête à prendre une décision reconnaissant la qualité de réfugié ou si des raisons médicales interdisent de procéder à l'entretien (article L. 531-12 du Ceseda).
Lors de cet entretien, il faudra clairement convaincre l'officier de protection des craintes de persécutions ou de menaces graves en cas de retour dans le pays d'origine. Aussi, le demandeur d'asile devra pour maximiser ses chances de convaincre de la réalité de ses craintes préparer son entretien.
Article 2.
Tout réfugié a, à l'égard du pays où il se trouve, des devoirs qui comportent notamment l'obligation de se conformer aux lois et règlements ainsi qu'aux mesures prises pour le maintien de l'ordre public.
Les réfugiés peuvent demander la naturalisation par décret dès l'obtention de leur statut. Les bénéficiaires de la protection subsidiaire et les apatrides doivent attendre 5 ans de résidence en France (sauf certains cas particuliers). Devenir français n'est pas une étape obligatoire dans votre parcours.
La reconnaissance du statut de réfugié ou l'obtention du bénéfice de la protection subsidiaire fait l'objet d'une décision prise soit par l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) soit par la Cour nationale du droit d'asile (CNDA).