Saluer les gens et dire « s'il te plaît » ainsi que « merci » font partie des premières règles de politesse à lui enseigner. Être un bon modèle, faire des jeux de rôles et lire des livres sur la politesse sont de bons moyens d'apprendre à votre tout-petit à devenir poli.
"Je vous prie d'agréer mes meilleures salutations" "Veuillez recevoir mes salutations distinguées" "Cordialement"
Il y a d'abord les priorités ; un homme salue une femme en premier. Une seconde règle donne la priorité à l'âge, puis une troisième, qui supplante la précédente, à la hiérarchie. Seule la personne saluée donne la main ou non.
La politesse assure la régulation des contacts sociaux ; elle joue également un rôle important dans la protection des individus et de la communauté sociale. Elle opère ainsi aux trois niveaux du « psychologique », de la « communication » et du « social ».
Définition de respect
Le respect est une valeur plus profonde que la simple politesse, car il est débarrassé de toute hypocrisie. Le respect mutuel constitue l'un des fondements de la paix sociale et des relations interpersonnelles.
La politesse, elle, repose sur le respect, la reconnaissance et la réciprocité. Ensemble, ces valeurs essentielles constituent un système cohérent, qui facilite le contact et régule les relations sociales.
Établissez un contact visuel avant de saluer la personne.
Lorsque c'est fait, dites « Bonjour, comment allez-vous ? » ou quelque chose de semblablement amical. Restez dans le ton. Si tout le monde dit « Salut » au lieu de « Bonjour », dites « Salut ».
Saluez la personne en la prenant dans vos bras et en l'embrassant trois fois sur les joues. Saluez la personne en la prenant dans vos bras et en l'embrassant quatre fois sur les joues. Saluez la personne en joignant vos mains comme un prière et en vous inclinant. Saluez la personne en vous frottant mutuellement le nez.
Locution nominale. Formule écrite ou orale qui sert le plus souvent à commencer ou à terminer une conversation ou une lettre de façon polie.
ensemble des règles qui, sans être juridiquement obligatoires, coopèrent au maintien des bonnes relations entre les États.
Quelques alternatives : "Bien cordialement", "Bien courtoisement", "Cordiales salutations".
À cette époque, nombreuses étaient les personnes qui se réunissaient autour de la table pour partager le repas. On était donc plus serré, avec peu d'espace pour chacun. Alors, pour ne pas gêner ses voisins, il n'était pas convenable de poser les coudes sur la table.
Debout, elle se tient bien droite aussi, ne croise pas les bras mais éventuellement tient ses mains jointes devant elle, et garde les jambes rapprochées l'une de l'autre autant que possible.
Familier. Attire gaiement l'attention de quelqu'un lorsqu'on se montre par surprise ou pour rappeler sa présence.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
Cette fonction discriminante des bonnes manières a été inventée au XIXe siècle par la bourgeoisie. Frédéric Rouvillois, auteur d'une Histoire de la politesse de 1789 à nos jours (éd. Flammarion), en explique ainsi l'apparition : « Le grand seigneur d'avant 1789 n'avait pas à être poli pour se sentir supérieur.
Elles rapprochent les personnes parce qu'elles établissent une première forme de communication. Ce sont des signes de reconnaissance, de respect et de sympathie envers l'autre. Finalement elles nous guident et nous aident à être à l'aise face à des situations quotidiennes, habituelles ou non.
Le XIXe siècle constitue l'âge d'or de la politesse bourgeoise, en grande partie parce qu'il n'y a plus un centre unique qui donne le pouls des bonnes manières. Sous l'Ancien Régime, c'était la cour, maintenant, c'est la ville avec ses multiples espaces publics et privés.