La présentation du dialogue Un dialogue est nettement séparé du récit par la ponctuation. Selon le cas, l'écrivain emploie : des tirets devant chacune des répliques du dialogue ; des guillemets pour encadrer le dialogue et un tiret à chaque changement d'interlocuteur (voir le dialogue qui suit).
introduire le dialogue par un verbe introducteur de parole suivi de deux points ; ouvrir le dialogue par des guillemets ; aller à la ligne chaque fois qu'un personnage différent prend la parole et placer un tiret devant ; fermer le dialogue par des guillemets après la dernière parole rapportée.
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique.
Le dialogue reproduit les paroles prononcées par deux ou plusieurs personnages. Un dialogue est souvent précédé par une phrase du récit qui l'annonce, grâce à un verbe de parole. Le verbe « dire » est le plus courant : mieux vaut l'éviter et choisir un synonyme plus précis.
Un bon dialogue est un dialogue fluide, — sans fioriture donc — qui ne fait pas “sortir” le lecteur du récit. Qui plus est, un dialogue écrit qui fonctionne permet souvent de répondre un objectif précis : soutenir le prédicat du livre tout en portant le prédicat du passage, du chapitre.
Dans les dialogues, les personnages s'expliquent, discutent, échangent des informations. Ainsi, ils font avancer l'action. Le dialogue est donc une autre façon pour le narrateur de continuer son récit.
Soigner la présentation du dialogue en respectant les règles de typographie : guillemets (") au début et à la fin du dialogue et des tirets (-) à chaque changement de personnage. Employer un vocabulaire vivant et clair. Éviter les banalités.
Elle doit amener le sujet, l'analyser et le problématiser. Elle peut en outre annoncer le plan ou du moins les lignes directrices de la réflexion à venir et énoncer les enjeux du sujet. Ainsi l'introduction ne saurait être élaborée qu'après un important travail de réflexion (fait au brouillon).
approfondir et développer une idée ou un raisonnement ; élargir votre propos à d'autres cas d'application ; prendre du recul sur le thème général abordé, en lien avec l'avenir par exemple ; croiser votre sujet avec d'autres problématiques ou d'autres disciplines.
La règle des 180°
C'est ce passage de l'un à l'autre qui forme un champ contre champ. La règle des 180 degrés est donc utile pour le dialogue entre deux personnages – ou plus – ou quand ils se font face.
Dans un texte littéraire, la séquence dialogale permet d'expliciter la relation qu'entretiennent deux personnages, leur humeur, leur caractère, leur point de vue, leur façon de parler, etc. Lorsque la séquence implique plus d'un énonciateur, on parle d'un dialogue.
Alors que la donnée émise est le message, le but du message est l'objectif de la communication ; dans un dialogue véritable, le but n'est donc pas le sujet de l'énoncé, il ne s'agit pas d'avoir raison du récepteur ni de lui imposer un point de vue cognitif, une perspective ou référence.
Le discours argumentatif est là pour essayer de convaincre l'interlocuteur. Ce qui est défendu s'appelle la thèse. L'argumentateur cherche à utiliser des exemples ou des preuves pour convaincre l'argumenté. Le texte argumentatif peut être à une ou plusieurs thèses.
Un monologue reste un discours prononcé par un seul personnage, qui n'est, a priori, jamais censé bénéficier, contrairement au dialogue, du recours à un allocutaire pour rebondir, progresser, avancer : une seule parole se déploie et représente pour ce faire son unique ressource.
Discours direct et citation. Les propos rapportés au discours direct doivent être encadrés par des guillemets. « Pourquoi ne m'as-tu rien dit ? » demanda-t-elle. On utilise les guillemets pour encadrer les citations, même si elles ne font pas partie d'un discours direct.
Un dialogue, un monologue ou un trilogue n'ont pas pour seule fonction d'apporter des informations ni même de ne faire qu'avancer le récit. Chaque ligne de dialogue, chaque manière de poser l'action verbale, chaque mot, ont également pour vocation de révéler la partie occultée du personnage qui la prononce.
Manifester les sentiments du personnage
Alors qu'il est plus efficace de faire passer le sentiment dans les mots mots eux-mêmes, ou dans une phrase qui montre l'attitude du personnage. Quelqu'un de furieux pourra par exemple froncer les sourcils, serrer le poing, taper sur un objet…
Dans sa capacité créatrice, l'homme de dialogue transforme sa propre personnalité pour d'avantage l'humaniser. Il promeut une culture, une ambiance, une politique qui respectent la dignité humaine et qui assurent le développement intégral de l'homme.
La phrase incise contient un verbe de parole (dire, répondre, répliquer, protester, chuchoter, crier, implorer, etc.) ainsi qu'une précision concernant l'interlocuteur, soit la personne qui parle. En général, elle se détache du reste de la phrase par une ou des virgules.
le respect des lois et législations relatives aux libertés syndicales et à la négociation collective ; l'engagement sincère et manifeste de toutes les parties participantes au dialogue ; un cadre institutionnel adapté.
Le dialogue social est un élément de performance économique dont l'objectif est de replacer le salarié au centre de la négociation collective et de la discussion dans l'entreprise afin d'améliorer sa qualité de vie au travail.