Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
Les symptômes les plus connus sont le repli sur soi, l'incapacité d'agir, les sautes d'humeur, un comportement désorganisé, des problèmes de concentration, des mouvements répétitifs, des difficultés à tenir une conversation.
Alors, quand faut-il agir ? Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Selon le contexte, les époques et les milieux, la folie peut désigner la perte de la raison ou du sens commun, le contraire de la sagesse, la violation de normes sociales, une posture marginale, déviante ou anticonformiste, une impulsion soudaine, une forme d'idiotie, une passion, une lubie, une obsession, une dépense ...
LES MALADIES PSYCHIATRIQUES
Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.
Non. Chaque maladie – physique ou mentale – laisse des traces dans l'organisme. Mais elle a parfois des conséquences positives. Le terme de guérison est toujours difficile à définir dans la mesure où l'idéal qu'il représente n'est que rarement, voire jamais, atteint.
Le «dépressif» est plutôt vu comme une personne qui s'isole, le «malade mental» comme un individu déficient, au comportement ou au discours bizarre, tandis que le «fou» serait plutôt caractérisé par la violence. Ces images ne sont guère influencées par la connaissance concrète de la maladie mentale.
La personne atteinte n'a pas conscience qu'elle délire ; elle ne manifeste aucun recul par rapport à ses pensées et son discours est décousu. Sa perception de la réalité est modifiée, le fonctionnement de son esprit et ses relations avec le monde extérieur sont profondément bouleversés.
Apprendre à voir la vie avec un sourire et un peu détachement, car à trop se prendre au sérieux, l'esprit s'endurcit et n'en devient que plus cassant et fragile. Garder un esprit ouvert et flexible pour pouvoir faire face à l'inconnu. Apprendre à changer son regard sur soi-même pour pouvoir changer ce qui nous entoure.
Sismothérapie. Dans la sismothérapie, des électrodes sont placées sur la tête et, tandis que la personne est sous anesthésie, une série de décharges électriques est délivrée au cerveau afin d'induire de brèves convulsions. Ce traitement s'est toujours avéré être le plus efficace pour traiter la dépression sévère.
En se basant sur le caractère désagréable à vivre et le danger qu'elle puisse engendrer, la dépression est considérée comme la maladie mentale la plus grave.
L'expression d'une tristesse, de dévalorisation, de pessimisme, Des scarifications, L'apparition de comportements inhabituels au niveau du sommeil, de l'alimentation, Des alcoolisations fréquentes et la consommation de drogues.
En un sens, la démence est, de toutes les maladies de l'esprit, celle qui demeure là plus proche de l'essence de la folie. Mais de la folie en général — de la folie éprouvée dans tout ce qu'elle peut avoir de négatif : désordre, décomposition de la pensée, erreur, illusion, non-raison et non-vérité.
Il faut différencier les troubles et les maladies mentales de la folie. Les maladies et les troubles mentaux sont des “réalités” scientifiques et médicales qui servent au diagnostic. Alors que la folie est une construction sociale, qui se mesure selon l'irrespect plus ou moins marqué des codes sociaux dominants.
La forme de la folie, son évolution, sa fin ont un caractère irréfutable qui indique son origine. Dans son Traité sur les maladies mentales, Morel est très précis sur sa conception de l'hérédité : les parents transmettent à leurs descendants des affections nerveuses.
La peur de devenir fou est parfois la raison-même qui mène au premier rendez-vous avec le psychologue. Il s'agit souvent d'une grosse inquiétude, qui provient généralement de pensées intrusives automatiques et incontrôlables, qui sont souvent à caractère agressif (faire du mal à quelqu'un, à un enfant, à soi-même).
Si possible, proposez-lui plusieurs moyens de l'aider pour lui donner le sentiment de maîtriser la situation. Transmettez-lui un message d'espoir en lui disant qu'on peut l'aider et que les choses peuvent aller mieux. Si la personne refuse de discuter avec vous, ne l'obligez pas à se confier.
1. Dérèglement mental, démence : Sombrer dans la folie. 2. Manque de jugement : Vous n'aurez pas la folie de démissionner maintenant.
B. − État psychologique passager de trouble intense ou d'exaltation, causé par une forte émotion ou un sentiment violent et qui peut (dans certains contextes) être assimilé à un accès de folie (au sens A 1 supra).
Souvent, les premières décompensations psychotiques se déclarent chez des personnes déjà psychotiques ou dites “borderline”. Les causes de la décompensation psychotique sont encore mal connues. Les troubles mentaux seraient dus à une association de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux.
Personne dont le comportement ou le langage est extravagant, déraisonnable, insensé : Fou du volant.
Les recherches indiquent que les maladies mentales sont causées par l'interaction entre des facteurs biologiques, génétiques, psychologiques et sociaux qui mènent à des perturbations dans le cerveau.
Le trouble mental est un état de santé qui se définit par des changements qui affectent la pensée, l'humeur ou le comportement d'une personne, ce qui perturbe son fonctionnement et lui entraine de la détresse.