« La tolérance est le respect, l'acceptation et l'appréciation de la richesse et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains. »
La vertu de tolérance est acceptée comme une valeur de morale sociale. Toute liberté ou tout droit implique nécessairement, pour s'exercer complètement, un devoir de tolérance. Selon John Locke, la tolérance signifie « cesser de combattre ce qu'on ne peut changer ».
La tolérance est l'harmonie dans la différence. Elle n'est pas seulement une obligation d'ordre éthique ; elle est également une nécessité politique et juridique. La tolérance est une vertu qui rend la paix possible et contribue à substituer une culture de la paix à la culture de la guerre.
Ces types sont regroupés en 4 catégories : tolérance de forme, tolérance d'orientation, tolérance de position et tolérance de battement, qui permettent d'indiquer toute forme.
Être tolérant l'un de l'autre et s'entraider, c'est ce que nous rend humains. En apprenant la tolérance, on fait place à l'individualité et la diversité, tout en promouvant la paix et une société civile.
Fait de tolérer quelque chose, d'admettre avec une certaine passivité, avec condescendance parfois, ce que l'on aurait le pouvoir d'interdire, le droit d'empêcher. Synon. compréhension, indulgence. Faire preuve de tolérance.
La tolérance acquiert dans un contexte interculturel le sens de fil conducteur des découvertes mutuelles pour une constante prise en charge collective du résultat de ce qui est commun à tous les êtres humains comme un idéal, l'amour de la paix et de la liberté.
La tolérance est une vertu qui rend la paix possible et contribue à substituer une culture de la paix à la culture de la guerre. 1.2 La tolérance n'est ni concession, ni condescendance, ni complaisance.
La tolérance résulte en effet de l'effort pour désolidariser l'idée de vérité et la violence. Il importe donc d'empêcher que ce lien extrêmement ancien entre vérité et violence puisse être rétabli, dans la mesure où la modernité s'est instituée dans un effort pour le rompre.
L'esprit de tolérance se construit et s'exprime dans la reconnaissance de soi dans l'autre, et de l'autre en soi. Il implique une distanciation par rapport à soi pour pouvoir rejoindre l'humain qui est en soi et en l'autre.
Être tolérant, c'est aussi respecter les choix et les opinions des autres, même si on ne les partage pas. La tolérance, c'est une attitude d'ouverture d'esprit, de respect et de bienveillance envers autrui.
Il y a beaucoup de vertu dans la personne magnanime mais enfin, la tolérance consiste dans le premier cas à nier le droit des autres et dans les autres à s'accommoder de ce qui fait injure à l'humanité, l'erreur dans les paroles, la faute dans les conduites et cela fait problème.
Être plus tolérant nous aide, en premier lieu, à éviter les disputes et les conflits interpersonnels. Mais, en plus, cela nous permet de connaître d'autres opinions et points de vue. Alors pourquoi est-ce si difficile pour nous ? Les êtres humains construisent leur identité autour de valeurs, opinions et croyances.
Entre tolérer l'autre et le reconnaître ou le respecter, il y a un pas. La tolérance suppose d'être bien disposé envers ce qui est différent et étrange ; le respect suppose d'approuver, de donner une valeur à l'autre pour lui-même, à ses actes ou à ses attitudes.
La meilleure des activités pédagogiques sur la tolérance est sans doute d'aider votre enfant à rejeter les préjugés et les stéréotypes qu'il pourrait avoir à l'égard de certaines personnes. Présentez-lui leurs différences comme une richesse et non un handicap.
La tolérance s'arrête aux limites de l'acceptable : lorsque la bienveillance vire à la complaisance, que l'assentiment devient synonyme de condescendance et l'indulgence antonyme de déférence. L'esprit de tolérance est l'art d'être heureux en compagnie des autres.
Attitude bienveillante. Synonyme : bienveillance, bonté, facilité, indulgence.
De nos jours, la tolérance religieuse est très largement reconnue comme un idéal, même s'il existe encore de nombreux endroits dans le monde où, au moment où je parle, on répand le sang dans des conflits qui sont au moins en partie de nature religieuse.
En effet, il dénonce fréquemment le fanatisme religieux et l'intolérance en utilisant des raisonnements malins et un humour qui lui est propre. Philosophe des Lumières, Voltaire est le symbole de l'intellectuel engagé pour la vérité, la justice et la liberté de pensée. Il est considéré comme l'apôtre de la tolérance.
1. Attitude de quelqu'un qui admet chez les autres des manières de penser et de vivre différentes des siennes propres.
La tolérance serait donc cette marge d'indulgence, entre la réalité et l'idéal, entre un fait et la norme, ou encore entre la croyance d'autrui et la mienne. Ce qu'on tolère est donc anormal au sens large.
Dans une relation tolérante, droit et devoir sont déterminés par la justice. Il est bien évident que pour tout homme, une ten- sion est inévitable entre son devoir et son droit. Malgré tout, la tolérance n'est viable qu'entre deux hommes qui s'acceptent eux- mêmes globalement.
La tolérance est un principe nécessaire – dit-elle – pour éviter l'oppression des religions minoritaires.
Le bien vivre ensemble repose sur le respect mutuel, l'acceptation de la pluralité des opinions, des interactions dans l'ouverture et la coopération, des relations bienveillantes, ainsi que sur le refus de s'ignorer ou de se nuire.