L'équitation, un sport qui améliore le tonus musculaire
Monter à cheval ne demande pas d'efforts musculaires intenses mais une tonicité contrôlée des jambes, des fesses, du dos, de la ceinture abdominale et des bras.
Monter à cheval pendant une heure permet de dépenser 400 calories. Bonne pour le corps et l'esprit l'équitation booste la confiance en soi et renforce l'assurance grâce à la complicité avec le cheval. C'est une activité conviviale pour se créer des souvenirs et partager un bon moment.
Que ce soit à poney ou à cheval, les cours d'équitation donnent le goût de l'effort, de l'engagement et de la compétition. Enfin, l'équitation est un véritable sport physique qui fait travailler tous les muscles du corps et la posture.
Tout comme l'aérobic, le cyclisme ou les machines d'exercice, l'équitation permet de muscler et de définir les muscles de vos cuisses. Si vos cuisses étaient sous-développées lorsque vous avez commencé à monter à cheval, vous pourriez constater une augmentation plus sensible de la musculature de vos cuisses.
Autant dire que vous sollicitez essentiellement vos muscles profonds : principalement ceux des abdos, des dorsaux et des adducteurs. Par ailleurs, pour contribuer à asseoir votre "assiette", ce mouvement de fesses épousant le mouvement du cheval, vous allez miser sur vos muscles fessiers et vos adducteurs.
L'équitation tonifie certaines zones du corps peu sollicitées. Que cela soit pour garder l'équilibre en selle ou exercer des pressions des jambes pour communiquer avec le cheval, les membres inférieurs (fessiers, quadriceps, adducteurs, mollets) sont en priorité musclés par la pratique de l'équitation.
Oubliez le gainage, l'équitation tonifie les muscles, tout en vous assurant une posture princière. Les muscles du dos et du bassin sont particulièrement sollicités, puisqu'ils communiquent directement avec votre monture et ses allures.
Monter à cheval impose un travail musculaire non négligeable au niveau du dos et des abdominaux, surtout quand on reste assis en selle (pas, galop, trot assis). Cela renforce également les muscles des jambes (cuisses, mollets...) et les fessiers quand on pratique le trot enlevé.
L'entretien de l'animal engendre en outre davantage de frais que dans les autres sports, ce qui entraîne bien souvent un tarif plus élevé de la part des centres équestres. Entretenir un jeu de ballons ou une cavalerie, cela n'est pas la même chose.
Lorsqu'on pratique l'équitation, deux types de blessures sont possibles : les blessures « traumatiques » et les blessures « de surutilisation ». Les blessures traumatiques sont les plus fréquentes. Elles sont causées par les chutes, mais également par les réactions de l'animal lorsque vous êtes à son contact.
L'équitation est un sport ou un loisir qui nécessite sérieux et compétence en raison des réactions possible de l'animal et de la difficulté de se maintenir en selle. Nous conseillons la pratique dans un club et de monter votre cheval favori.
Pilates, Feldenkreis, toutes les gyms douces dérivées du yoga et de la danse sont très bien. Les arts martiaux également.
Connaissance de son corps : Monter à cheval fait réellement travailler les muscles du tronc qui stabilisent votre corps : les abdominaux, les muscles du dos, et les muscles pelviens. Toutefois, l'important n'est pas juste d'avoir un tronc musclé, il faut aussi avoir une certaine coordination et stabilité.
Sans grande surprise, les principaux groupes de muscles sollicités par le vélo se trouvent dans les jambes et les fessiers. Ce sont les muscles et groupes de musculaires renforcés et sculptés par le vélo : Grand muscle glutéal. Muscles ischio-jambiers – muscle semi-membraneux et muscle biceps fémoral.
A quoi sert vraiment le mors d'un cheval ? « Théoriquement », le mors permet au cavalier de contrôler la direction et la vitesse de son cheval. Nous disons « théoriquement », car en réalité, le mors permet surtout de contrôler l'avant main du cheval, c'est-à-dire : sa bouche.
L'encolure est le cou du cheval. Elle est recouverte de la crinière. La veine jugulaire est située sur l'encolure, avec la trachée.
Le cheval possède 7 vertèbres cervicales, 18 vertèbres thoraciques ou vertèbres dorsales qui soutiennent les côtes (18 paires de côtes, dont 8 paires de côtes sternales et 10 asternales ou côtes libres, soit 36 côtes), 6 vertèbres lombaires, 5 vertèbres sacrales, 15 à 18 vertèbres caudales/coccygiennes (de la queue).
Pour muscler la région du garrot et les abdominaux de votre cheval, vous pouvez lui faire passer des barres au sol soit en surélevant les deux côtés de la barre, soit en surélevant un seul côté (en gros, surélever la première barre à droite, la deuxième barre à gauche, la troisième barre à droite, et ainsi de suite).
Il s'agit du longissimus dorsi, le muscle long dorsal. C'est le muscle sur lequel, nous cavaliers, nous nous asseyons. Il s'attache sur les dernières vertèbres cervicales et va jusqu'au bassin et au sacrum. C'est le muscle principalement sollicité lorsque le cheval tourne, saute, rue, ou se cabre.
Sur une montée, le cheval va devoir fournir un effort musculaire beaucoup plus important que sur le plat. Et si vous en doutez, allez faire une petite promenade à pied ! Cependant, cet exercice apportera les plus grands bénéfices si vous le faites au pas et en étant vigilant à maintenir une allure régulière.
L'équitation
C'est un sport agréable qui muscle les cuisses et les fesses. Le fait de serrer les cuisses et de devoir garder le dos très droit fait travailler le haut des fesses et les galbe.
Par ailleurs, elle aide au développement de l'autonomie. Très vite, on apprend à l'enfant à "commander" son poney plutôt que de se laisser mener. Il va donc acquérir une confiance en lui en apprenant à maîtriser ses émotions et en devenant également maître de son poney.
L'équithérapie est considérée comme une thérapie intégrante car elle agit positivement sur le développement cognitif, physique, social et occupationnel. Le fait qu'elle soit bénéfique à de nombreux niveaux fait d'elle un outil très utile pour améliorer la qualité de vie des personnes présentant un handicap.