Le processus stratégique repose sur trois étapes distinctes : l'établissement d'un diagnostic, la détermination d'objectifs, la prise de décisions et leur mise en œuvre.
Comme nous l'avons précisé plus en amont, une stratégie de domaine peut être une stratégie de domination par les coûts, une stratégie de différenciation ou une stratégie de focalisation.
Il existe trois niveaux de management : le management stratégique, le management opérationnel et le management tactique. Combinés, ils sont la colonne vertébrale de la gestion des ressources humaines en entreprise.
Les étapes de l'analyse stratégique incluent l'analyse de l'environnement externe, l'analyse de l'environnement interne, l'évaluation des forces, faiblesses, opportunités et menaces (SWOT) et la formulation de stratégies adaptées.
Pour qu'une décision soit qualifiée de stratégique, il faut qu'elle rassemble trois caractéristiques bien particulières. Elle doit engager l'entreprise sur le long terme, faire appel à d'importantes ressources et être difficilement réversible.
un travail s'exerçant sur trois niveaux différents : l'information, le contact avec les personnes et l'action.
Le management tactique est le niveau intermédiaire et met en œuvre les stratégies fixées par le management stratégique et opérationnel. Cela implique la coordination des activités opérationnelles pour atteindre les objectifs à court terme de l'entreprise.
Afin de segmenter un ensemble d'activité d'une entreprise, l'utilisation de trois critères spécifiques est essentielle : Les groupes de clients servis ou visés, les fonctions réalisées par les produits ou les besoins des clients, et finalement les technologies mises en œuvre dans les produits.
La stratégie, ou management stratégique, implique une démarche de réflexion dont le principe est de poser les bonnes questions, d'anticiper les problèmes afin d'aider les dirigeants à prendre les décisions adéquates qui optimiseront durablement leur performance.
Cela supposerait, une stratégie sans apprentissage (purement intentionnelle) ou une stratégie sans contrôle (purement émergente) (Mintzberg, 1994).
Mettre en place un management collaboratif efficace au sein d'une organisation passe donc par la mise en place de ces 4 notions. il est crucial que ces quatre piliers – communication, coopération, autonomie et confiance – soient intégrés dans toutes les interactions entre collègues et avec leur hiérarchie.
Son domaine d'application s'étend à tous les domaines d'activités de l'entreprise. Le management repose sur 4 activités : la planification, l'organisation, l'activation et le contrôle.
Les 10 rôles qu'il révèle sont : ¿ rôles interpersonnels : symbole, leader, agent de liaison ; ¿ rôles liés à l'information : observateur actif, diffuseur, porte-parole ; ¿ rôles décisionnels : entrepreneur, régulateur, répartiteur de ressources, négociateur.
Fayol passe donc en revue ces cinq éléments d'administration, à savoir : La prévoyance ; l'organisation ; le commandement ; la coordination ; le contrôle.
Mintzberg dénombre six composantes de base de la structure organisationnelle : le centre opérationnel, le sommet stratégique, la ligne hiérarchique, la technostructure, les fonctionnels de support logistique et l'idéologie (Fig. 2).
Les axes stratégiques doivent être structurés autour d'orientations clairement identifiées et non équivoques, puis concrétisées en objectifs. Ils peuvent être regroupés dans un document de communication interne destiné à donner le « sens de l'action » au personnel du CCAS/CIAS (cf.
Un Domaine d'Activité Stratégique (DAS) est une unité commerciale autonome au sein d'une grande entreprise, gérant sa propre stratégie et opérations pour cibler un marché spécifique. Ils permettent à l'entreprise de diversifier et de mieux adapter sa stratégie.