Le Saint-Empire romain de la nation germanique a été appelé a posteriori l'« Ancien Reich » (Altes Reich), et ensuite le « Premier Reich » (Erstes Reich). L'Empire allemand de 1871–1918 a été appelé le « Deuxième Reich » (Zweites Reich). Le régime nazi a été appelé le « Troisième Reich » (Drittes Reich).
Le nom de « Troisième Reich », adopté par les nazis, fut utilisé pour la première fois dans un ouvrage de 1923 d'Arthur Moeller van den Bruck pour lequel le Saint-Empire romain germanique (962–1806) est le premier Reich et l'Empire allemand (1871–1918) le deuxième.
IIe Reich (1871-1918). Bismarck reprit, pour le compte de la Prusse, l'idée d'un empire allemand souverain, qu'il réalisa à Versailles (→ traité de Francfort, 1871). Le II e Reich fut, sous une forme fédérative, un État impérialiste dont la puissance était fondée sur la force militaire et l'expansion économique.
Premier Reich - De Charlemagne à Otton (800-962)
Les années 1920 voient le développement du mouvement nazi dirigé par Adolf Hitler ; ce dernier parvient au pouvoir à fin janvier 1933 en tant que chancelier du Reich, nommé par le président Hindenburg.
Ce IIe Reich, qui rassemble vingt-cinq royaumes et principautés d'Allemagne du Nord, l'Alsace, une partie de la Lorraine et de la Pologne, compte environ 42 millions d'habitants en 1871, et 70 millions en 1913.
Avant, l'Allemagne s'appelait le royaume de Prusse, un ancien état formé en 1701 puis intégré à l'Empire allemand en 1871.
Le général von Choltitz, dernier gouverneur militaire du Paris occupé, reçut des ordres sans nuance, dont celui du 22 août : "Paris est à transformer en un monceau de ruines.
Le pouvoir militaire se renforce encore en août 1916 avec l'arrivée au commandement suprême des deux commandants du front de l'Est, Paul von Hindenburg et son quartier-maître général Erich Ludendorff ; ceux-ci exercent une dictature de fait, imposent une subordination totale du pays à l'économie de guerre.
À la tête du parti se trouvent Walter Ulbricht et Wilhelm Pieck, qui avaient passé la guerre en exil à Moscou, qui militent pour la fondation d'un ordre démocratique et antifasciste dans toute l'Allemagne.
La cause immédiate de la Première Guerre mondiale fut l'assassinat de l'héritier du trône d'Autriche, l'archiduc Franz Ferdinand, le 28 juin 1914 à Sarajevo. L'assassin était Gavrilo Princip, membre de la société de la Main Noire.
Bismarck, son chancelier, tente de fédérer, autour de la Prusse, les autres états allemands afin de constituer un empire, aux dépens de celui d'Autriche-Hongrie, son rival. Il entend être la nouvelle puissance au cœur de l'Europe, entre la France et la Russie.
Le communiste Wilhelm Pieck devient président de la RDA et Otto Grotewohl, ancien social-démocrate, est nommé chef du gouvernement. C'est pourtant Walter Ulbricht, chef du Parti communiste, qui joue le rôle déterminant.
Les historiens sont toutefois unanimes : l'Allemagne nazie a été vaincue par l'Armée rouge. Jacques Pauwels, historien et auteur d'un ouvrage sur la question, revient sur cette période et explique quand et comment la guerre a basculé vers la défaite inéluctable de l'Allemagne nazie.
Pour éviter la possibilité d'une reddition illégitime, Joseph Staline, alors dirigeant de l'URSS, exige une deuxième signature le lendemain. À Reims, l'Allemagne signe la reddition sans condition de son armée face aux Alliés le 7 mai 1945, mettant ainsi fin à la Seconde Guerre mondiale et au Troisième Reich.
Les trois principaux partenaires de l'Alliance de l'Axe sont l'Allemagne, l'Italie et le Japon. Ces trois pays reconnaissent la domination de l'Allemagne et de l'Italie en Europe continentale, et celle du Japon à l'est de l'Asie.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
L'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand d'Autriche à Sarajevo par un jeune serbe nationaliste, le 28 juin 1914, est l'évènement déclencheur d'une grande crise diplomatique entre l'Autriche-Hongrie et le royaume de Serbie.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
Ces nouvelles études ont permis de revoir le rôle qu'a réellement joué le général Dietrich von Choltitz vis-à-vis de la volonté hitlérienne de détruire Paris.
Figure phare de la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin est le plus jeune préfet de France en 1937. Il s'opposa à l'occupant allemand dès 1940 et créa, sous l'égide du général de Gaulle, le Conseil National de la Résistance.
"Choltitz aurait bien exécuté l'ordre, mais son propre état-major ne lui en donne pas les moyens. On lui refuse la dynamite dont il a besoin et on lui interdit l'accès aux avions du Bourget pour faire bombarder Paris.
L'hypothèse généralement retenue donne aux peuples dits germaniques une origine nordique : ils proviendraient des pays entourant la mer Baltique, plus précisément des territoires actuels de la Suède, du Danemark, du Mecklembourg et du Schleswig-Holstein, avec des extensions en direction de la mer du Nord au niveau des ...
Les Némètes sont d'abord un peuple celto-germanique de la vallée du Rhin, en Germanie de l'Antiquité. Dans les langues slaves, les Allemands ont reçu le nom de němьci (němьcь singulier), à l'origine avec un sens « étranger, celui qui ne parle pas [slave] ».
Le gouvernement Français qui a des difficultés politiques intérieures, pense qu'une guerre contre la Prusse permettrait de pouvoir rassembler le pays autour de l'empereur Napoléon III. La guerre est donc déclarée à la Prusse le 19 juillet 1870.