On distingue quatre modes de pensée : le style Leibnitz, qui est un mode de pensée rationnel, logique et déductif, le style Kant, critique et dans la justification du raisonnement et le style Hegel qui repose sur la dialectique et la synthèse entre plusieurs voies.
Connaître son mode de pensée permet de mieux comprendre la portée de son argumentation et de mieux construire ses messages en s'adaptant à son interlocuteur. Il existe 4 modes de pensée. Il n'y a pas un bon ou un mauvais système de pensée ou un système supérieur à un autre.
La pensée se forme lorsque les diverses formes sémiotiques se lient aux processus cognitifs traitant du concret comme de l'abstrait en passant par l'affectif et le relationnel. Cette jonction n'est pas possible dès le pus jeune âge. Au cours de l'évolution de l'enfant, elle prend du temps et se fait par étapes.
La pensée systémique est une discipline qui permet de percevoir les phénomènes dans leur totalité et de prendre conscience que chacun fait partie intégrante du système : chacun est influencé par le système et à son tour chacun influence également le système.
Souvent opposée à la volonté et au sentiment, la pensée est définie par Platon comme un dialogue de la raison avec elle-même. Elle est pour Descartes « tout ce que ce qui se fait en nous de telle sorte que nous l'apercevons immédiatement en nous-mêmes ». Elle est donc un synonyme possible de la conscience.
Les pensées provoquent le raisonnement, l'esprit provoque l'être. L'esprit est la manifestation de Dieu à travers vous. Le tout savoir, brillant, bon et saint. C'est votre lien individuel avec le divin.
Cet article se propose de distinguer, dans ce qu'on appelle « mode de pensée » de façon un peu indéterminée, les modes de pensée proprement dits, les modes de croyance, et enfin les modes d'argumentation, qui ne se réduisent ni aux uns ni aux autres.
Ce sont en réalité des signaux électriques, encore appelés influx nerveux, qui transitent de neurone en neurone. Et oui, le cerveau produit et fait circuler de l'électricité ! Ces impulsions électriques, captées par le neurone via les dendrites, naviguent jusqu'au corps cellulaire qui traite l'information.
La pensée a comme but général d'établir les prémisses pour mieux comprendre. Nous avons plusieurs choix à faire. Nous avons donc besoin de la meilleure information qui rendra possible la meilleure décision. Qu'est-ce qui se passe vraiment dans telle ou telle situation?
Fondamentalement, notre cerveau est un réseau tentaculaire de 100 milliards de neurones avec au moins 1 million de milliards de points de connexion, les synapses. C'est cela, selon le postulat des neurosciences cognitives, qui crée nos facultés cognitives, ce que l'on pourrait appeler la pensée ou l'esprit.
L'émotion est toujours précédée d'une pensée. Nos souvenirs et nos expériences passées influencent nos pensées. Lorsque nous avons des réactions émotionnelles similaires à certains comportements, comme des pleurs ou la colère, ces comportements peuvent être le déclencheur de nos pensées.
L,idée est une création d,une solution,d,un concept les intuitifs sont doués et créatifs,mais la pensée est une croyance,une représentation interne subjective d'une réalité objective .
La cohérence logique de la pensée semble bien constituer un critère pertinent de vérité : une pensée cohérente, dont les énoncés s'enchaînent conformément aux principes logiques, est une pensée dite valide du point de vue de sa forme logique.
Chez Aristote, la pensée a un statut à part. Elle est séparée du corps et comme intouchée par lui. Je vais oser un parallèle peut-être un peu brutal : en psychanalyse, la pensée a également un statut à part, et peut être considérée comme la partie la plus élevée de l'homme.
La pensée en arborescence est une forme de pensée qu'on retrouve couramment chez les personnes à Haut Potentiel (HPI et HPE). Les personnes à Haut Potentiel peuvent souvent activer simultanément plusieurs branches de leur pensée arborescente : leurs pensées se développent dans plusieurs directions en même temps.
◊ Tout d'abord, les idées germent dans des cerveaux qui sont eux-mêmes plongés dans un milieu donné. Il y a des lieux et des temps propices à l'émergence d'une idée nouvelle.
Le lobe frontal est impliqué dans l'initiation et la coordination des mouvements, dans les tâches cognitives supérieures comme la résolution de problèmes, la pensée, la planification, bien d'autres aspects de la personnalité et de la formation des émotions.
Définie comme la représentation des idées et de leurs liaisons par l'esprit, la pensée apparaît comme le propre de l'homme – selon la formule célèbre de Pascal : « L'homme est un roseau pensant. » Elle est donc absolument essentielle, et, pour cette raison, elle fait l'objet de nombreuses analyses et critiques.
Il existe de nombreux synonymes possibles du mot « télépathie ». On recense notamment « la télépsychie », « la télésthésie », la fameuse « transmission de pensée », « le scanning », « la lecture de pensée », « la télégraphie mentale » ou encore « l'influence à distance ».
Le cognitivisme, né dans les années 1950-1960, cherche à comprendre la pensée. Il s'est donné pour objectif de découvrir les mécanismes mentaux de traitement de l'information et les représentations mentales (associations ou autres) à la base de nos comportements.
La pensée complexe affirme que la réalité de l´homme, la nature et le cosmos est complexe, et selon ça doivent se comprendre toutes les relations qui ne peuvent pas se séparé entre le tout et les parts, avec une vision holistique organique dès les diverses perspectives disciplinaires.
Il est en tous cas possible de lui distinguer deux grands sens : La conscience psychologique : c'est la capacité de chaque individu à se représenter ses actes et ses pensées. La conscience morale : c'est cette sorte de « juge intérieur » à chaque être humain qui lui permet de statuer sur le bien ou le mal.
Descartes découvre que le sujet pensant est le seul être dont on ne peut mettre l'existence en doute, car douter est déjà penser, donc exister. La totalité de la connaissance sera reconstruite sur cette base fondatrice indubitable : le cogito (« je pense, donc je suis »).