Une alternance entre diarrhée et constipation peut également être observée. La présence de sang dans les selles, quant à elle, est parfois imperceptible. En effet, le sang n'est pas toujours rouge vif, mais peut-être noir ou brun, se confondant avec la couleur des excréments.
Les premiers signes avant-coureur et symptômes du cancer du côlon sont essentiellement digestifs. On observe habituellement des crampes abdominales, des ballonnements, des gaz et des troubles du transit intestinal (épisodes persistants de diarrhées et constipations ). L'aspect des selles peut sembler anormal.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Si un cancer du côlon ou du rectum est diagnostiqué, un bilan sanguin évalue l'état général de la personne, mesure le taux de concentration d'un marqueur tumoral appelé ACE ( antigène carcino-embryonnaire) et, si besoin, procède à des analyses génétiques.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
un amaigrissement inexpliqué, une altération de l'état de santé général et/ou une légère fièvre persistante ; des saignements du rectum (ou rectorragies) et des envies fréquentes d'aller à la selle en cas de cancer du rectum.
Les plus fréquentes se localisent au niveau du foie et des poumons. Le gros intestin forme la dernière partie du système digestif. Long de 1 à 2 mètres, il prolonge l'intestin grêle jusqu'à l'anus. Il est composé du côlon et du rectum.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Une douleur peut être ressentie dans les zones où le cancer est situé. La personne peut également avoir des effets secondaires liés aux médicaments. Une personne atteinte d'un cancer du côlon peut ressentir des douleurs abdominales et des douleurs à la pression.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Symptômes du cancer de l'intestin grêle
qui se manifeste par la présence de sang dans les selles et une occlusion, pouvant à son tour être responsable de crampes abdominales douloureuses, d'une dilatation (distension) de l'abdomen et de vomissements.
Il peut résulter d'une tumeur donnant comme résultat que le corps produit une plus grande quantité de liquides ou la tumeur peut entraîner une obstruction du passage de liquide à travers le système de lymphe ou d'autres systèmes corporels.
La survie (survie nette standardisée) des personnes atteintes d'un cancer colorectal s'élève à 63% 5 ans après leur diagnostic pour les personnes diagnostiquées en 2010-2015, légèrement plus élevée chez la femme (65%) que chez l'homme (62%).
Un scanner TAP (thoraco-abdomino-pelvien) pour visualiser toute la région abdominale (intestin, rectum, pelvis, thorax…). Le scanner TAP permet de rechercher la présence éventuelle de lésions suspectes au niveau du tube digestif ou des organes voisins.
Cette phase est en général assez facilement identifiable par le médecin, comme par le patient dont l'état général se dégrade brusquement et rapidement : fatigue extrême, manque d'appétit, amaigrissement, douleurs.
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
Gustave Roussy 3e meilleur hôpital du monde en cancérologie.
L'imagerie médicale permet l'examen des organes à travers l'utilisation de rayons X (radiographie et scanner), d'ultrasons (échographie), d'ondes magnétiques (IRM) ou de radioactivité (médecine nucléaire).
Qui consulter pour détecter des polypes ? Seule une coloscopie peut détecter la plupart des polypes. Elle est effectuée, surtout à partir de 50 ans, en présence de signes digestifs comme des ballonnements, des gaz coliques abondants, un petit saignement anal, des hémorroïdes internes.
Risques et complications
La chirurgie du côlon peut entrainer une fistule anastomotique, consistant à une mauvaise cicatrisation de la suture entre les 2 parties restantes du côlon et nécessitant une 2nde intervention.
Il se développe généralement dans les organes digestifs, les poumons, la prostate et les ovaires. L'adénocarcinome est, en effet, un cancer difficile à soigner s'il n'est pas détecté ni traité à temps, Les cancers du poumon, du pancréas, de l'œsophage, du foie. sont souvent considérés de mauvais pronostic.