Il s'agit par exemple des oxydes d'azote (NOx), du dioxyde de soufre (SO2), des composés organiques volatiles (COV), des hydrocarbures, et de certains métaux (plomb, cadmium…) ; ou secondaires : créés dans l'atmosphère via des réactions chimiques entre des polluants.
Revu en 2021, l'indice ATMO se rapproche de l'indice européen de la qualité de l'air en prenant en compte les mêmes 5 polluants : l'ozone, le dioxyde d'azote (NO2), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension (PM10 et PM2. 5).
Les polluants chimiques qui suscitent les plus fortes préoccupations en termes de santé publique sont les particules, notamment les particules fines (constituées d'une multitude de composants chimiques), l'ozone (O3), le dioxyde d'azote (NO2), les composés organiques volatils[1] (benzène, formaldéhyde, 1,3-butadiène…), ...
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
C'est certainement celle produite par les déchets de l'industrie nucléaire. Ces déchets sont produits par les centrales nucléaires qui fournissent la plus grande partie de notre électricité.
Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%) Transports (14%) Autre production d'énergie (10%)
De nombreuses substances classées parmi les polluants atmosphériques sont d'origine naturelle et proviennent de sources comme les forêts de conifères, les incendies de forêt, l'érosion des sols, les volcans, les tempêtes de sable et les embruns.
Sans grande surprise, ce sont les États-Unis et la Chine qui sont les pays les plus pollueurs au monde. Parmi les autres pays mauvais élèves, on peut citer l'Inde, l'Indonésie et le Brésil.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Les polluants peuvent également parcourir des distances importantes et atteindre des écosystèmes sensibles. Sous l'effet des oxydes d'azote (NOx) et du dioxyde de soufre (SO2), les pluies, neiges, brouillard deviennent plus acides et altèrent les sols et les cours d'eau (perte des éléments minéraux nutritifs).
1. Les cigarettes. Avec plus de 2 millions d'unités, ce sont les cigarettes qui sont de loin les plus présentes dans ce top 10. Elles représentent en effet près du quart des objets retrouvés !
De ce document, amené à faire référence, il ressort notamment que les pulls en laine, les manteaux et les robes en polyester, viscose et coton sont les produits les plus polluants de l'industrie textile.
D'après une étude britannique, Paris est classée première ville la plus polluée de France et figure au 39ème rang mondial après Sydney ou New York. Un nouveau classement place Paris en tête des villes les plus polluées de France et 39ème au niveau mondial, après Tokyo ou New York.
Quelles sont les viandes les moins 'polluantes' ? Après elle, les viandes les plus « polluantes » sont l'agneau de lait (côté gaz à effet de serre, la production d'1 kg de viande équivaut à un trajet de 180 km), le bœuf (70 km), le porc (30 km)...
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
5 tonnes de CO2 émis en moyenne par habitant
Voici les 5 pays qui polluent le plus aujourd'hui selon les émissions annuelles de gaz à effet de serre en 2019. La Chine occupe la première place (24%), suivie par les États-Unis (12%), l'Inde (7%), l'UE (6%) et l'Indonésie (4%).
De nos jours, les principales causes de pollution de l'environnement proviennent en premier lieu de la production et de l'utilisation des diverses sources d'énergie, puis des activités industrielles et, de façon paradoxale mais néanmoins importante, de l'agriculture.
Les hommes seuls polluent plus que les femmes seules, d'après une étude suédoise. Annika Carlsson Kanyama et son équipe montrent qu'avec un taux de dépense seulement 2 % supérieur à celui des femmes célibataires, les hommes célibataires émettent 16 % de plus de gaz à effet de serre.
Les scientifiques conviennent que la planète se réchauffe plus rapidement que jamais en raison des grandes quantités de gaz à effet de serre que l'homme rejette dans l'atmosphère, notamment par la combustion d'énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), l'utilisation des voitures et l'abattage des forêts.