Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
Saumon, huîtres, anchois… les poissons et les fruits de mer sont parmi les aliments les plus efficaces pour nettoyer et purifier les poumons. Étant une excellente source d'acides gras oméga-3, le saumon a un impact très positif sur la circulation sanguine pulmonaire et donc sur certaines maladies respiratoires.
Le pamplemousse ou encore le pomélo sont connus pour être des sources importantes de flavonoïdes. 4 verres de jus de pamplemousse par semaine suffiraient ainsi à nettoyer efficacement vos poumons.
Il s'agit d'un mélange de pamplemousse, de citron et d'ananas. En effet, ces aliments sont dotés de plusieurs vertus plutôt expectorantes. Elles sont donc très utiles pour la purification des poumons. Avant le petit déjeuner (environ vingt minutes), il est recommandé de boire le jus de pamplemousse et de citron.
Le traitement médicamenteux de la BPCO repose sur les bronchodilatateurs administrés par voie inhalée : de courte durée d'action puis de longue durée d'action en monothérapie, et si échec, en association. Le bon maniement du dispositif d'inhalation est essentiel : formation du patient et vérification régulière.
Chez les participants dont les taux de vitamine B6 (pyridoxine) étaient les plus élevés, le risque de souffrir d'un cancer du poumon chutait de 44 % par rapport à ceux dont les taux de vitamine B6 étaient les plus bas. La réduction du risque était de cette ampleur tant chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.
Les exercices de respiration semblaient être sans danger pour les personnes souffrant de BPCO. Dans quatre études, la respiration yoga, la respiration à lèvres pincées et la respiration diaphragmatique avaient amélioré d'en moyenne 35 à 50 mètres la distance parcourue en six minutes.
le grand plantain (Plantago Major) aux vertus anti-inflammatoires respiratoires et anti-allergiques. la prêle des champs (Equisetum arvense), qui fait preuve des mêmes indications anti-inflammatoires. le guaco (Mikania Glomerata Spreng), qui possède des composés capables d'inhiber la vasoconstriction des bronches.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
La consommation de lait à pleine teneur en gras, mais pas de lait à faible teneur en gras, était liée à une réduction du risque de respiration sifflante; Un apport plus élevé en vitamine D pendant la grossesse était aussi associé à un risque réduit de respiration sifflante pendant l'enfance.
Le thym s'utilise depuis des millénaires autant en cuisine que pour ses bienfaits sur de nombreux maux. Tonique, puissant antiseptique, stimulant de l'immunité, c'est la plante incontournable et efficace contre les troubles respiratoires.
C'est, avec le sevrage du tabac, le meilleur moyen d'éviter que la maladie ne s'aggrave. Ce qui étonne souvent les patients, c'est que le sport peut être la marche ou le vélo d'appartement mais aussi la marche nordique, le tir à l'arc, le taïchi...
Toujours en phytothérapie, l'infusion de gingembre est recommandée pour nettoyer naturellement vos poumons et les fortifier. Elle les aide à se débarrasser du mucus, des toxines et de divers allergènes. Il suffit de laisser infuser 1 g de gingembre en poudre dans 250 ml d'eau bouillante pendant une dizaine de minutes.
Vous pouvez aider votre corps à évacuer le mucus des bronches : Pour cela, buvez beaucoup, de l'eau et des boissons chaudes. Restez bien couvert et utilisez un humidificateur si l'atmosphère de votre logement est très sèche.
La consommation d'ail pourrait diminuer les risques de cancer du poumon de moitié. Une étude conduite par des chercheurs chinois, dont on parle sur Daily Mail (UK), révèle qu'en consommant de l'ail cru, ne serait-ce que 2 fois par semaine, on réduirait de plus de 44 % les risques de développer un cancer pulmonaire.
La tomodensitométrie (TDM) thoracique est souvent utilisée pour caractériser la BPCO, dépister le cancer du poumon ou planifier des options chirurgicales. Mais elle offre désormais l'opportunité d'évaluer l'obésité et la sarcopénie grâce à des biomarqueurs des tissus mous.
Les médicaments anticholinergiques délivrés dans la BPCO ont un effet antisécrétoire et donc asséchant. Parmi les petits moyens, les pastilles à la menthe peuvent calmer la toux, de manière transitoire car la menthe agit sur les récepteurs de la toux au niveau de la gorge. Des sirops à l'eucalyptus, au miel…
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.
L'oignon est un puissant antioxydant qui élimine les toxines, notamment celles accumulées dans les poumons. Riche en soufre, il nettoie également les voies respiratoires et soulage l'asthme.
Dans un premier temps, émincez très finement l'oignon. Placez les tranches dans un bol et versez dessus deux cuillères à soupe de miel (ou recouvrez-les de sucre). Mélangez bien le tout pour que le miel s'étale bien sur les tranches d'oignon. Laissez reposer ce mélange pendant environ 12 heures.