Le 3 juillet 1916, un pacte entre le Japon et la Russie est signé à Pétrograd (aujourd'hui Saint-Pétersbourg), par le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Sazonov et l'ambassadeur japonais Motono Ichirô. Les deux pays deviennent liés par une alliance à la fois militaire et politique.
Le rétablissement officiel des relations diplomatiques intervient en 1972. En 1978 est même signé le traité de paix et d'amitié entre le Japon et la République populaire de Chine.
La France signe le traité de paix avec le Japon de San Francisco en 1951 et devient ainsi un allié de ce pays. Depuis 1994, les deux pays tiennent des consultations annuelles pour échanger sur les questions de sécurité et de stratégie régionales.
Le Japon ne possède donc pas de forces armées mais des Forces d'Autodéfense, FAD. Le gouvernement japonais n'a pas un ministère de la Défense mais une agence avec à sa tête un directeur.
Les Forces japonaises d'autodéfense (自衛隊, Jieitai, abrégé en FJA), souvent désignées sous le terme anglais de Japan Self-Defense Forces (JSDF), constituent de fait l'armée japonaise depuis 1954. Dans l'archipel nippon, la défense a en effet depuis 1945 un statut particulier.
1 – La Chine
La République Populaire de Chine compte un peu plus de 2,1 millions de militaires d'active, auxquels peuvent s'ajouter 510 000 réservistes. Ses moyens matériels comprennent 5250 chars et véhicules blindés, 3285 aéronefs et 777 navires de guerre dont trois porte-avions ou porte-aéronefs.
Le Japon n'est pas membre de l'OTAN. Le pays du soleil levant est un constituant du G7. Cependant, c'est le seul État de ce groupe à ne pas faire partie de la coalition militaire outre-Atlantique.
En raison de sa situation géographique sur le pourtour du Pacifique, le Japon n'est pas éligible pour rejoindre l'OTAN en premier lieu. Le Japon, en revanche, entretient des relations étroites avec l'OTAN.
Devant les lourdes pénuries de pétrole et autres matières premières, et motivé par la volonté de remplacer les États-Unis comme puissance dominante dans le Pacifique, le Japon décida alors d'attaquer les forces américaines et britanniques en Asie et de s'emparer des ressources de la région.
La sécurité
Sur ce point le Japon est imbattable et se rapproche de la perfection. Mais la Chine ne s'en tire pas trop mal non plus. Les voyageurs sont parfois victimes de vols ou d'arnaques mais bien moins que dans des pays comme la Thaïlande et sans doute moins qu'en Europe.
La seconde guerre sino-japonaise est un conflit militaire qui dura de 1937 à 1945, et débuta à la suite de l'invasion de la partie orientale de la Chine par l'Armée impériale japonaise. Six ans après l'invasion de la Mandchourie, l'empire du Japon poursuivait sa politique expansionniste en Chine.
À partir du milieu du XIX e siècle jusqu'au milieu du XX e, la Chine était colonisée par les puissances occidentales et par le Japon (récemment modernisé et militarisé).
En 1993, la Russie, la Biélorussie, l'Arménie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan, l'Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et la Géorgie signent un accord-cadre d'union économique dans le cadre de la CEI (l'Ukraine et le Turkménistan s'y sont associés).
1La relation bilatérale avec le Japon est probablement celle qui reste pour tout gouvernement chinois la plus délicate à gérer. Talonnant en importance les rapports sino-américains, les relations sino-japonaises sont cependant plus chargées d'histoire, de guerres, de ruptures et d'incompréhensions réciproques.
Les États membres sont l'Albanie, l'Allemagne, la Belgique, la Bulgarie, le Canada, la Croatie, le Danemark, l'Espagne, l'Estonie, les États-Unis, la France, la Grèce, la Hongrie, l'Islande, l'Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le ...
Il s'agit de la Bosnie-Herzégovine, du Kosovo, de la Moldavie et de la Serbie ou encore de la Suisse.
Les dix-huit pays non membres de l'OTAN qui participaient à l'IFOR ont également pris part aux opérations de la SFOR; il s'agit de l'Albanie, de l'Autriche, de la Bulgarie, de l'Estonie, de la Finlande, de la Hongrie, de la Lettonie, de la Lituanie, de la Pologne, de la République tchèque, de la Roumanie, de la Russie, ...
Pour que la stabilité de la zone euro-atlantique soit assurée, il est indispensable que l'Ukraine soit forte et indépendante. Nouées au début des années 1990, les relations avec ce pays ont évolué jusqu'à constituer l'un des partenariats de l'OTAN les plus substantiels.
L'OTAN accueille son nouveau commandant suprême des forces alliées en Europe. Ce lundi (4 juillet 2022), le général d'armée Christopher Cavoli (US Army) a pris la tête du Commandement allié Opérations au cours d'une cérémonie tenue au Grand quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE), à Mons (Belgique).
L'actuel directeur général de l'État-major militaire international est le général de corps d'armée Janusz Adamczak.
1. États-Unis. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis dominent le reste du monde sur le plan militaire. Il conserve sa position de nation la plus puissante du globe.