Ibuprofène : la molécule phare des anti-inflammatoires non stéroïdiens. Pour les anti-inflammatoires sans ordonnance en vente libre, la substance active la plus utilisée est l'ibuprofène. Elle permet de bloquer la formation des prostaglandines, substances responsables de l'inflammation.
Ils nécessitent obligatoirement une prescription médicale. Pour cela, vous pouvez vous adresser à un médecin généraliste. Dans cette catégorie de médicament, le prednisone, le prednisolone et le méthylprednisolone figurent parmi les plus puissants.
Ibuprofène (Advil®, Nurofen®). Diclofénac (Voltarène®, Flexor®). Kétoprofène (Kétum®). Acide acétylsalicylique (Aspirine®, Aspegic®).
Une activité physique régulière, une alimentation saine, une bonne hydratation ou encore un sommeil de qualité seraient les premiers pas vers la guérison. D'autres solutions plus originales mais tout aussi efficaces existent. C'est le cas du sauna infrarouge !
Le VoltarenActigo 1 %
Il est essentiellement composé de Diclofenac qui est un puissant anti-inflammatoire. Le VoltarenActigo 1% permet de calmer les douleurs de rhumatisme, d'entorse, de foulure, etc. Il doit être strictement utilisé de façon ponctuelle et est réservé aux adultes.
L'hydromorphone a une durée d'action de douze heures et est indiquée pour soulager les douleurs intenses lorsque la morphine ne suffit pas ou est mal tolérée. L'oxycodone est aussi puissante que la morphine.
Le niveau 1, comme le paracétamol ou l'aspirine, est destiné aux douleurs légères. Le niveau 2, comme la codéine ou le tramadol, est destiné aux douleurs modérées ou sévères, ou aux douleurs insuffisamment soulagées par les antalgiques de niveau 1.
LAMALINE est un ANTALGIQUE (il calme les douleurs). Il est destiné au traitement chez l'adulte des douleurs d'intensité modérée à intense et/ou qui ne sont pas soulagées par l'aspirine ou le paracétamol seul.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
Une prise trop régulière ou trop importante d'anti-inflammatoire met en danger la santé pour le sportif, mais également celle des personnes sédentaires. Les effets secondaires peuvent engendrer à leur tour des maladies bien plus grâce que l'inflammation que l'on cherche à réduire.
L'huile essentielle de gaulthérie se veut être le remède anti-inflammatoire par excellence. Elle est chargée jusqu'à 98 % de salicylate de méthyle.
Le méthocarbamol (LUMIRELAX®) est le décontracturant musculaire le plus prescrit pour le mal de dos. Il est délivré sur ordonnance et remboursé par l'assurance maladie.
En France, le nom commercial du diclofénac est Voltarène®, Flector® et Artotec®. Au Canada, aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Grèce, il est aussi commercialisé sous le nom de Pennsaid®.
Non, il n'y a pas lieu d'associer un AINS et du paracétamol. De la même façon, il ne faut jamais associer deux AINS. Si la douleur ou la fièvre persistent après la prise de l'un ou de l'autre, il faut consulter son médecin traitant qui cherchera la cause du problème pour donner le traitement nécessaire.
A la dose utilisée dans les maladies inflammatoires, le risque le plus faible est observé avec l'ibuprofène puis le diclofénac, l'indométacine, le naproxène et le piroxicam.
Anti-inflammatoires : modalités pratiques
Ils peuvent se prendre ponctuellement, au moment de la douleur (une migraine ou des douleurs de règles par exemple). Lorsqu'une cure courte s'impose, les prises sont réparties dans la journée en deux fois (s'il s'agit d'une libération prolongée) trois fois.
Il existe 2 grands types d'inflammations : aigüe et chronique. L'alimentation, le soleil, la pollution et le stress peuvent augmenter la réaction inflammatoire. L'alimentation peut aussi être protectrice : il existe des aliments pro-inflammatoires, et d'autres anti-inflammatoires.
L'organisme se défend contre une agression en déclenchant une réaction inflammatoire. Quand il s'agit d'une inflammation cutanée ou sous-cutanée (ex : abcès, choc), cette réaction peut être reconnue d'après ces 4 signes cliniques : rougeur, douleur, tuméfaction et augmentation de la chaleur locale.