Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
La musique favorise les relations au-delà des mots. Elle est intergénérationnelle et son action est multiple. Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.
La musique favorise des niveaux plus élevés de dopamine dans le cerveau, d'où une sensation de plaisir. Elle améliore la motivation et l'endurance lors de la pratique d'un sport. Elle est utile à l'hôpital pour diminuer le stress et la douleur de patients en chirurgie.
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
La musique est un allié de taille pour traiter les troubles psychologiques. Grâce à son effet relaxant, elle permet de réduire le taux de cortisol, l'hormone du stress. En revanche, elle stimule la libération des endorphines qui ont des vertus calmantes et analgésiques.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
Elle favorise la neurogenèse. Il s'agit du processus par lequel notre cerveau développe davantage de neurones, améliorant ainsi nos capacités cognitives. Elle libère de la dopamine qui améliore l'humeur générale. Elle peut améliorer la capacité d'attention.
Pour les mélomanes, la réponse est claire et elle sera négative. Pour eux, passer une journée sans entendre la moindre mélodie est tout simplement impossible. Selon le célèbre philosophe et poète (ainsi que pianiste) allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche, « sans la musique, la vie serait une erreur ».
Écouter de la musique a un effet boule de neige sur votre mémoire et vos fonctions cognitives. Elle a également un impact positif auprès des personnes âgées et malades atteints d'Alzheimer à travers des cours de chant ou l'apprentissage d'un instrument de musique comme le piano.
Tout au long de la vie, la musique nous permet aussi de gérer notre humeur. Ainsi, on écoute souvent des airs tristes quand on se sent triste. C'est bizarre, mais cela nous aide à nous sentir mieux. En effet, ressentir plus fort une émotion permet de l'affronter pour la dépasser, plutôt que de l'étouffer.
La musique fait partie intégrante du quotidien. L'été, elle s'associe aux souvenirs de vacances. L'hiver, elle vient apporter un peu de chaleur quand celle-ci vient à manquer dehors. Accessible à tous, petits ou grands, la musique est à proprement parler un langage universel.
A noter également que si la musique peut booster votre bonne humeur, elle peut également pour les personnes à forte sensibilité et à tendance mélancolique provoquer l'inverse, surtout quand celle écoutée est plutôt triste ou qu'elle peut vous mettre également dans d'autres états négatifs.
Des études ont prouvé que la musique est capable de stimuler l'humeur et de diminuer les risques de dépression. Elle améliore également la circulation sanguine, réduit le taux d'hormones liées au stress et soulage la douleur. Écouter de la musique avant une opération peut même améliorer les résultats post-opératoires.
Les musiciens consultent le plus souvent pour le syndrome de surmenage des tissus : des os, des tendons, des ligaments, des muscles, ce qui cause des douleurs. Et ce n'est pas parce qu'on a mal qu'on a forcément une tendinite », rassure la praticienne.
La durée prolongée d'écoute fatigue l'oreille en épuisant les réserves énergétiques des cellules. Il faut les reposer dans le silence, éviter les «after» prolongeant la fête sonore. Plus violent est le traumatisme sonore, véritable fracture des cils de la cochlée…
Des chercheurs australiens en psychologie de la musique suggèrent qu'écouter de la musique pourrait être la réponse à une meilleure nuit de sommeil. Écouter de la musique au coucher peut non seulement aider les gens à s'endormir plus rapidement, mais aussi améliorer la qualité du sommeil.
La musique fait réagir les hémisphères du cerveau avec un effet direct sur le corps. Au contact d'une musique douce ou classique, le rythme cardiaque ralentit, la tension artérielle diminue, tout comme les niveaux d'hormone du stress. La respiration devient plus profonde et régulière.
285 Hz : influence le champ d'énergie, guérit et régénère les tissus. Cette fréquence réparatrice permet aux tissus de revenir à leurs formes originales. Elle restructure les organes endommagés, tonifie, purifie pour induire la guérison naturelle du corps.
L'univers sonore est en effet d'emblée émotionnel, parce que la fonction naturelle des sons, pour l'être vivant, est une fonction d'alerte. Ils l'informent sur ce qui se passe, ils éveillent à chaque instant son système d'alarme biologique. Ces changements permanents de l'état du monde sont la source de toute émotion.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.
Pour résumer, le son est une variation de pression de l'air transmise par le conduit auditif externe vers le tympan puis la chaîne d'osselets (rôle d'amplification) et enfin la cochlée.
Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Amateurs ou professionnels, et quel que soit notre âge, nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu'à nous aider au cours de notre existence.