des déterminants masculins ; Exemples : le, un, mon, ton, son, ce, etc.
En effet, ma, ta et sa sont les formes féminines du singulier correspondant aux formes masculines mon, ton et son, alors que les déterminants mes, tes et ses sont utilisés pour le pluriel aussi bien des noms féminins que des noms masculins.
les déterminants (démonstratifs, possessifs, indéfinis, interrogatifs, exclamatifs, relatifs, numéraux cardinaux).
On distingue les déterminants articles : le, la, les (articles définis) ; un, une, des (articles indéfinis) ; du, de la, des (articles partitifs).
Ainsi les mots matelot, camelot, médecin et marin devraient, suivant les règles traditionnelles, faire au féminin matelote, camelote, médecine et marine, tous des mots qui existent en français mais qui désignent tout autre chose. En conséquence, les formes matelot, camelot, médecin et marin sont jugées épicènes.
Amour, délice et orgue : des mots masculins au singulier et féminins au pluriel. Ces trois mots dans la langue française ont une particularité assez étonnante : ils sont masculins au singulier et ils sont féminins au pluriel. Il s'agit des mots amour, délice et orgue.
Il existe plusieurs sortes de déterminants : Le déterminant défini. Le déterminant indéfini. Le déterminant démonstratif.
Le mot tout peut être déterminant (ou adjectif), adverbe, nom ou pronom. Selon le cas, les règles d'accord varient.
Qu'est-ce qu'un déterminant ? Déterminant : Un déterminant est un mot, souvent court, qui précède un nom et le détermine, c'est-à-dire qu'il en indique le genre (féminin ou masculin) et le nombre (singulier ou pluriel). Le déterminant s'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il introduit.
Mon, ta et ses sont des déterminants possessifs. Le déterminant possessif est une sorte de déterminant qui sert à indiquer à qui appartient la réalité désignée par le nom qu'il introduit.
Les déterminants accompagnent un nom tandis que les pronoms remplacent un nom. Les pronoms démonstratifs celui, celle sont utilisés pour isoler une personne ou une chose d'un groupe. Exemple : Je parle de celui du milieu.
Le féminin et le masculin des noms
On reconnaît que le nom est mis au féminin par son article devant le nom (ex : un élève, une élève). Un nom masculin porte un article au singulier comme un, le, l', ce, cet, ton, mon et son. Au féminin, ces articles deviennent une, la, l', cette, ta, ma et sa.
C'est fait avec de la farine. Avec la théorie du remplacement, on peut remplacer les déterminants 'de la' avec un déterminant 'une', « C'est fait avec 'une' farine' », donc c'est un déterminant. Il vient de France. 'De' ici ne peut être remplacé avec un déterminant, donc c'est une préposition.
Les déterminants démonstratifs indiquent précisément une idée, une personne, un objet que l'on voit ou dont on a déjà parlé : ce, cet, cette, ces. Lorsque le déterminant démonstratif est devant un nom masculin qui commence par une voyelle, on doit utiliser cet : ex : cet ananas.
Les formes du déterminant numéral
On peut par contre les séparer en deux catégories : les déterminants numéraux simples et les complexes. un/une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, treize, quatorze, quinze, seize, vingt, trente, quarante, cinquante, soixante, cent, mille ...
La, un ou une sont des déterminants, on les appelle aussi : des articles. Un article défini détermine quelque chose qu'on a déjà vu, identifié (Ex : la plage). Un article indéfini accompagne un nom sans apporter de précision (un château). Un, une, des sont des déterminants appelés articles indéfinis.
Les déterminants relatifs sont : lequel, laquelle, lesquels, lesquelles, duquel, de laquelle, desquels, desquelles, auquel, à laquelle, auxquels, auxquelles. Les déterminants relatifs ont une situation particulière dans notre langue, en raison de son évolution.
Amour, délice et orgue peuvent être masculins au singulier et féminins au pluriel. Amour (au sens de « sentiment passionné ; passion charnelle ») est souvent féminin au pluriel.
Au singulier, le mot est masculin : un amour fervent. L'emploi du féminin singulier (une belle amour) relève d'une recherche stylistique délibérée (effet d'archaïsme ou plaisanterie, notamment).
Quand on parle d'une seule chose ou d'une seule personne, c'est le singulier. On peut mettre les petits mots « un », « une », « le » ou « la » devant un nom au singulier. Quand on parle de plusieurs choses ou de plusieurs personnes, c'est le pluriel.