La croissance économique entraîne des externalités négatives. Les ressources naturelles s'épuisent, la forêt perd du terrain, la biodiversité est attaquée, la pollution augmente, ce qui contribue à entraîner des changements climatiques importants.
En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance économique n'est pas obligatoirement synonyme de développement. En effet, elle peut entraîner un mal développement, ainsi qu'un appauvrissement du niveau de vie dû aux inégalités dans la répartitions des richesses.
La croissance économique conduit à l'épuisement progressif de certaines ressources naturelles non renouvelables. Si le processus se poursuit, il faudra trouver de nouvelles sources d'énergie et de nouveaux modes de consommation et de production pour assurer leur développement.
Les effets positifs : l'accroissement de la production va entraîner une augmentation de la demande de consommation. Cette dernière va entraîner à son tour de nouveaux recrutement de mains d'œuvre et un accroissement de l'investissement. il y'aura une augmentation de la productivité, donc des gains de productivité.
consommation d'énergie primaire (indicateur de flux) ; épuisement des ressources non renouvelables ; toxicité humaine ; occupation des sols.
On distingue traditionnellement trois sources de la croissance économique : l'accumulation du facteur travail, l'accumulation du facteur capital physique et les gains de productivité générés principalement par le progrès technique. close : accumulation des facteurs.
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
Lorsque le PIB diminue au sein d'une économie, on parle non pas de récession mais d'un taux de croissance négatif. Cela signifie qu'il y a destruction de richesse, alors que la récession désigne une activité économique qui progresse toujours, mais de manière moins soutenue que la période précédente.
La croissance économique s'explique d'abord par la quantité de facteurs de production mobilisés. Ainsi, la quantité de facteur travail, c'est-à-dire l'augmentation de la population active, contribue directement à l'évolution de la quantité de biens et services produits.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
Déforestation : La construction d'infrastructures touristiques, telles que les hôtels, les restaurants, les routes et les aéroports, entraîne souvent la déforestation et la destruction de zones naturelles. Cela réduit l'habitat disponible pour la faune et perturbe les écosystèmes locaux.
Il faut comprendre par impact, la conséquence ou l'effet d'une action sur autrui ou sur l'environnement. Ainsi, une entreprise profitable, qui produit par exemple des meubles, aura un impact social positif car elle créée de l'emploi, paie des impôts nécessaires aux services publics et rémunère ses actionnaires.
dégradation / destruction d'habitats sauvages; dégradation / destruction de terres humides; réduction de la biodiversité (organismes du sol, plantes, animaux sauvages);
Une forte croissance urbaine aggrave la situation puisqu'il faut alors non seulement améliorer l'accès à l'eau de la population existante mais faire, dans le même temps, face à l'accroissement de la demande. Dans les villes touristiques des pays du sud, la concurrence pour l'accès à l'eau est exacerbée.
approvisionnement énergétique non fiable, réseau routier urbain–rural peu performant et ports inefficients — est l'un des principaux obstacles à la croissance. Elle limite les rendements de l'investissement en capital humain, par exemple dans l'éducation et la santé.
La croissance économique se manifeste par une augmentation significative et durable de la production de biens et de services. Cette variation positive se mesure grâce à l'évolution annuelle de l'indicateur du produit intérieur brut (PIB), évalué en monnaie constante afin de prendre en compte l'inflation.
La précarité des ressources en eau douce, la gestion des déchets, les changements climatiques, l'élévation du niveau des mers constituent autant de défis à relever qui nécessitent des ressources financières et humaines dont ne disposent pas ces pays.
Les coûts. Bien que les intentions soient bonnes, leur réalisation coûte cher. Il s'agit, en effet, de réduire ou de supprimer totalement l'énergie qui alimente déjà une grande partie de la population, de construire de nouvelles infrastructures et de changer des habitudes de consommation.
La baisse des prix accroît la compétitivité-prix des producteurs européens par rapport au reste du monde et l'intensification de la concurrence à l'intérieur de l'Europe pousse les entreprises européennes à innover, et à accroître la compétitivité hors-prix. Ensuite,il renforce les échanges intra-communautaires.