Les activités humaines génèrent d'importants volumes de Gaz à effet de serre (GES) : gaz carbonique, issu de la combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon…) ; méthane, provenant plutôt des activités agricoles ; protoxyde d'azote, émis par certains engrais ou par certains procédés chimiques ; gaz fluorés des ...
Il existe différents types de gaz à effet de serre et leur potentiel de réchauffement global varie. Les gaz naturellement présents dans l'atmosphère, mais également générés par les activités humaines, comprennent : le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux (N2O), entre autres.
Origine des gaz à effet de serre (GES)
La vapeur d'eau (H2O), participe à 75% de l'effet de serre sur terre. Le dioxyde de carbone (CO2) : bien moins présent dans l'atmosphère que la vapeur d'eau, le CO2 participe à 25% de l'effet de serre car sa capacité à retenir la chaleur est très élevée. Le méthane (CH4)
le dioxyde de carbone : tout le monde connaît le fameux CO2, et pour cause — il constitue 25 % de l'effet de serre, alors qu'il n'est pas tant présent naturellement dans notre atmosphère ; le méthane : gaz produit en grande partie par l'homme et le secteur agricole (élevages bovins, rizières, etc.).
Merci et à bientôt! Quand les muscles (ou les autres organes) fonctionnent, ils utilisent en général de l'oxygène et produisent des déchets parmi lesquels on a du dioxyde de carbone.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
Le monoxyde de carbone ( CO ) est un gaz incolore, inodore et extrêmement dangereux. Il est classé comme un asphyxiant chimique parce qu'il entre immédiatement en réaction chimique avec l'hémoglobine du sang, ce qui empêche le transport de l'oxygène jusqu'aux tissus et aux organes vitaux du corps.
Les activités telles que l'utilisation de carburants d'origine fossile (charbon, pétrole ou gaz), l'élevage, l'utilisation de produits chimiques et la déforestation sont en effet à l'origine d'émissions de GES.
La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
Ils sont appelés « gaz à effet de serre » (GES) et formés essentiellement de vapeur d'eau, de dioxyde de carbone (CO2 ou gaz carbonique), de méthane (CH4), de protoxyde d'azote (N2O) et d'ozone (O3).
Entre 2005 et 2019, les émissions mondiales de GES ont augmenté de 23,6 %, passant de 38 669 à 48 117 mégatonnes d'équivalent en dioxyde de carbone (Mt d'éq. CO2). En 2019, le principal pays émetteur était la Chine avec 12 705 Mt d'éq.
Les principaux gaz à effet de serre (GES) liés aux activités humaines sont le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), l'oxyde nitreux ou protoxyde d'azote (N2O) et des gaz fluorés : hydrofluorocarbure (HFC), perfluorocarbure (PFC), hexafluorure de soufre (SF6) et le trifluorure d'azote (NF3).
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
L'air est un mélange gazeux constitué de 78 % de diazote (N2), 21 % de dioxygène (O2) mais également, en faibles proportions, d'autres gaz comme le dioxyde de carbone, de la vapeur d'eau, de l'hélium…
Quelles sont les conséquences du CO2 sur la planète ? L'augmentation de la concentration de CO2 dans l'air est corrélée au réchauffement de la planète. Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre.
Une étude sur la période 2000–2006 estime que les émissions anthropiques de dioxyde de carbone sont en moyenne absorbées à 45 % dans l'atmosphère, 30 % par la terre et 24 % par les océans.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Le dioxyde de carbone (CO2) est le principal gaz à effet de serre, mais pas le seul. Pour mesurer l'effet des différents polluants (méthane, dioxyde d'azote…), les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en « équivalent CO2 ».
Dans le détail, les transports sont le secteur qui émet le plus de gaz à effet de serre, avec 2650 kg de CO2eq par an, dont 2030 kg (77%) pour la voiture, et 16% pour l'avion. Ensuite, l'alimentation avec 2350 kg de CO2eq et une écrasante majorité pour la consommation de produits d'animaux, dont 900 kg pour la viande.
Si l'on rapporte ce chiffre aux émissions totales de CO2 (55,3 gigatonnes en 2018 selon le Programme des nations Unies pour l'Environnement), la respiration humaine contribue donc à 4 % des émissions de CO2. Par comparaison, le transport aérien est responsable de 2,8 % des émissions globales de CO2.
l'industrie chimique (ex. production d'acide de salpêtre), la combustion de combustibles fossiles pour le chauffage domestique et les transports.
En résumé, c'est assez simple. Depuis l'invention du moteur à explosion et la révolution industrielle, les dégagements de CO2 notamment se multiplient (lors de la combustion du charbon ou d'hydrocarbures). Ce dioxyde de carbone vient s'ajouter à celui dans l'atmosphère et amplifie l'effet de serre.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone.
Le monoxyde de carbone est un gaz dangereux qui peut tuer.
Gaz naturel : le type de gaz le plus connu
Aussi appelé gaz de ville, le gaz naturel est le plus utilisé dans les foyers français puisqu'il est directement distribué par le réseau de ville.