Les conjonctions de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) relient deux mots ou deux propositions de même nature ; Les conjonctions de subordination (que, parce que, quand, si...) relient une proposition subordonnée à la proposition principale dont elle dépend.
On distingue deux espèces de conjonctions et de locutions conjonctives, à savoir : 1) Les conjonctions de coordination qui unissent des mots ou des propositions de même fonction. 2) Les conjonctions de subordination qui unissent une proposition subordonnée à la proposition dont elle dépend.
Elles sont sept et leur liste peut être retenue selon un ordre qui aide à les mémoriser : mais , ou , et , donc , or , ni , car . ( mais où est donc Ornicar ? ) .
☞ La juxtaposition et la coordination sont des relations grammaticales qui unissent des mots, des groupes de mots ou des propositions ; la subordination est une relation qui unit des propositions.
Les conjonctions de subordinations des causes se composent de quinze conjonctions, ce sont : comme, parce que, puisque, étant donné que, vu que, du fait que, du moment que, dès lors que, attendu que, d'autant que, surtout que, sous prétexte que, ce n'est pas que, non que, et soit que… soit que.
Lorsque deux propositions sont reliées par une conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car) ou par un adverbe de liaison (alors, puis, en effet, d'abord, toutefois...), elles sont coordonnées. Elles ne dépendent ni de l'une ni de l'autre et présentent un sens complet.
1. Situation de quelqu'un qui dépend, dans ses fonctions, de l'autorité de quelqu'un d'autre : Il supporte mal sa subordination à un chef fantasque. 2. Dépendance de quelque chose par rapport à quelque chose d'autre : La subordination de l'armée au pouvoir civil.
Mais, ou, et, donc, or, ni, car. Retenez bien cette phrase, et plus jamais vous n'oublierez les sept conjonctions de coordination. Une petite phrase toute simple permet de les retenir : "Mais où est donc Ornicar ?".
Conjonctions de subordination qui marquent le temps : Quand, lorsque, alors que, pendant que, après que, tandis que, depuis que, aussitôt que, sitôt que, comme, dès que, tant que seront suivies de l'indicatif.
Les conjonctions de subordination pour exprimer la conséquence sont « si bien que, de sorte que, si…que ».
Qu'est-ce qu'une conjonction de coordination ? Les conjonctions de coordination, dites aussi copulatives, relient des éléments de même fonction. La phrase Mais où est donc Ornicar ? contient, à l'oral, toutes ces conjonctions (mais, ou, et, donc, or, ni, car) et permet donc de les mémoriser facilement.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
- Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison. - Elles sont coordonnées lorsqu'un mot de liaison les relie. Il s'agit la plupart du temps d'une conjonction de coordination : mais, ou, est, donc, or, ni, car.
En grammaire, la conjonction de subordination est un mot libre invariable, servant à relier deux éléments syntaxiques de nature différente, plus précisément, un satellite (une proposition subordonnée conjonctive) au noyau (c'est-à-dire le verbe régissant ce satellite).
La principale différence est dans la relation que ces mots effectuent. La conjonction relie deux mots, groupes de mots ou phrases, alors que la préposition les met en rapport, précise et complète le message dans la phrase.
« Les conjonctions sont des mots qui servent à relier les autres parties du discours entre elles, et à faire suivre une proposition à une autre dans la phrase. » (trad.
Adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
L'interjection est un « mot invariable isolé qui traduit un sentiment, une émotion, un ordre » (hélas, chut, oh). L'interjection n'est pas toujours une onomatopée. À titre d'exemple, les mots suivants sont des interjections, mais pas des onomatopées, car ils n'imitent pas un bruit en particulier : Hélas!