Il existe trois principaux types de liaisons chimiques: les liaisons covalentes, qui se forment spécifiquement entre les éléments non métalliques, les liaisons ioniques, qui se forment entre un métal et un non-métal, et les liaisons métalliques qui se forment entre métaux.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
Lorsque deux atomes interagissent, ils peuvent former une liaison chimique. Généralement, cette liaison chimique est covalente ou ionique.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
La liaison est interdite devant les noms d'origine étrangère commençant par la semi-voyelle (aussi appelée semi-consonne) [j] (ces noms commencent généralement par la lettre y) ainsi que devant oui, ouistiti, whisky et devant un, huit, huitième, onze et onzième.
Les liaisons de Van der Waals peuvent s'établir entre les molécules d'un corps lorsque ces dernières sont polaires. Ces molécules sont caractérisées par un moment dipolaire non nul qui résulte de l'addition des moments dipolaires associés aux différentes liaisons polarisées.
Une liaison covalente est une liaison dans laquelle deux électrons de valence sont partagés entre deux non-métaux. Dans ce type de liaison, il doit y avoir une différence d'électronégativité inférieure à 1,7 sur l'échelle de Pauling.
Les interactions non covalentes peuvent être classées en différentes catégories, telles que les effets électrostatiques, les effets π, les forces de van der Waals et les effets hydrophobes.
Si deux atomes partagent une seule liaison covalente, on parle de simple liaison. Si deux atomes partagent deux liaisons covalentes, on parle de double liaison, s'ils partagent trois liaisons covalentes, on parle de triple liaison. Les liaisons doubles sont plus stables et fortes que les liaisons simples.
Représenter les liaisons simples par un trait entre les deux atomes, les liaisons doubles par un double trait entre les deux atomes et les liaisons triples par un triple trait entre les deux atomes.
Une liaison covalente est polarisée (ou polaire) si les atomes engagés dans la liaison ont des électronégativités différentes. On détermine le sens de la polarité en comparant les électronégativités.
La liaison covalente est directionnelle, c'est-à-dire qu'elle ne se forme que dans des directions déterminées de l'espace. Cette particularité est liée à la forme des orbitales pour les états p, d, f ... Les orbitales moléculaires (O.M) s'obtiennent par combinaison linéaire d'orbitales atomiques C.L.O.A (L.C.A.O.
Ils forment une sorte de « gaz d'électrons » en mouvement constant et désordonné. Les liaisons métalliques sont plus faibles que les liaisons ioniques et les liaisons covalentes.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
Si aucune des liaisons n'est polarisée ou si les barycentres des charges partielles sont confondus, la molécule est apolaire. Sinon, la molécule est polaire.
Une liaison hydrogène peut s'établir entre un atome d'hydrogène lié par covalence à un atome A très électronégatif -- comme le fluor (F), l'oxygène (O) ou l'azote (N) -- et un atome B très électronégatif porteur d'un doublet non liant.
On distingue schématiquement trois types de liaisons fortes – énergie de liaison supérieure à 100 kJ. mol−1 – (liaisons ionique, covalente, métallique), et deux types de liaisons faibles (liaison de Van der Waals et liaison hydrogène).
La liaison hydrogène (HB) ou pont hydrogène est une liaison de faible intensité qui relie les molécules. Elle implique un atome d'hydrogène et un atome assez électronégatif (comme l'oxygène par exemple).
Une liaison est polarisée si les deux atomes liés possèdent une électronégativité différente. L'atome le plus électronégatif (celui qui possède l'électronégativité la plus grande) attire davantage les deux électrons du doublet liant (ceux qui constituent la liaison covalente) que l'atome le moins électronégatif.
Une liaison ionique (ou liaison électrovalente) est un type de liaison chimique qui peut être formé par une paire d'atomes possédant une grande différence d'électronégativité (par convention, supérieure à 1,7) typiquement entre un non-métal et un métal.
Les liaisons hydrogène ne se forment généralement qu'entre des molécules qui contiennent au moins un atome très électronégatif lié par covalence à un atome d'hydrogène. L'atome très électronégatif est presque toujours un atome d'azote, d'oxygène ou de fluor.
La liaison est obligatoire, dans le groupe nominal, entre le déterminant (possessif, indéfini, numéral, interrogatif ou exclamatif) et le nom qu'il accompagne, ou avec l'adjectif qui précède ce nom. La liaison est aussi obligatoire, dans le groupe nominal, entre le nom et l'adjectif qui le précède.
Faire une liaison avec un «s» ou «z» inopportuns s'appelle un velours. Exemple: «C'est eux qui-z-ont», «Donne moi-z-en» ou encore, «Moi-z-aussi». Nous avons une fâcheuse tendance à utiliser la liaison en «z» plutôt qu'en «t»: «Il a dépensé cent-z-euros», «J'ai compté vingt-z-animaux».