Selon le type de polluant, on peut classer la pollution en trois catégories : pollution physique, pollution chimique et pollution biologique.
Il existe trois types de pollution atmosphérique. On distingue souvent la pollution atmosphérique à l'échelle locale, la pollution à l'échelle régionale et la pollution à l'échelle globale.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
À tous les stades de l'activité humaine, l'usage des hydrocarbures liquides et du charbon, les place au premier rang des sources de contamination de l'environnement.
Définition : On dit qu'un sol est pollué lorsqu'il contient une concentration anormale de composés chimiques potentiellement dangereux pour la santé, des plantes ou des animaux.
Il s'agit par exemple des oxydes d'azote (NOx), du dioxyde de soufre (SO2), des composés organiques volatiles (COV), des hydrocarbures, et de certains métaux (plomb, cadmium…) ; ou secondaires : créés dans l'atmosphère via des réactions chimiques entre des polluants.
Privilégiez les vaporisateurs aux bombes aérosols (laque, désodorisants, etc produisent des polluants. Limitez l'utilisation des désodorisants d'intérieurs, les encens et les bougies qui produisent de nombreux composés. Aérez votre maison, renouvelez l'air. Pendant un pic d'Ozone préférez une aération le matin.
Les composés chimiques sont classés en deux catégories : les métaux et les substances organiques (pesticides, hydrocarbures).
Les sources humaines de pollution atmosphérique comprennent les activités qui reposent sur l'utilisation de combustibles à base de carbone (par exemple, le transport, les véhicules hors route et l'équipement mobile, ainsi que la production d'électricité), les procédés industriels comme ceux liés à la production de ...
La pollution de l'air peut notamment causer des problèmes cardiovasculaires, des allergies, des crises d'asthme, des conjonctivites, des maladies des bronches, des cancers du poumon ou de la peau, des problèmes de vision, des maladies du sang, des problèmes dans le développement mental de l'enfant, entre autres.
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Les principaux polluants dans les sols sont les métaux lourds (cadmium, cuivre, mercure, plomb, zinc) et les polluants organiques (dioxines et furanes, HAP, PCB). Des teneurs élevées en polluants peuvent avoir des effets sur l'homme, les animaux et les plantes.
La pollution chimique est engendrée par des rejets de produits chimiques à la fois d'origine industrielle et domestique. Elle peut résulter notamment de l'utilisation de pesticides, de détergents ou encore de métaux lourds.
Dégradation de l'environnement par des substances (naturelles, chimiques ou radioactives), des déchets (ménagers ou industriels) ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, thermiques, biologiques, etc.).
Gestion des déchets, industrie et situation transfrontalière
Les pratiques agricoles sont loin d'être la seule source de pollution des terres et des sols. Les déchets mal gérés, aussi bien municipaux qu'industriels, sont responsables de plus d'un tiers des contaminations locales, suivis par les activités industrielles.
Une dégradation de la fonction ventilatoire : baisse de la capacité respiratoire, excès de toux ou de crises d'asthme. Une hypersécrétion bronchique. Une augmentation des irritations oculaires. Une augmentation de la morbidité cardio-vasculaire (particules fines).
C'est certainement celle produite par les déchets de l'industrie nucléaire. Ces déchets sont produits par les centrales nucléaires qui fournissent la plus grande partie de notre électricité.
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).