Description : les corticoïdes peuvent induire de nombreux effets indésirables cutanés qui sont schématiquement de 3 types : trophiques (= fragilité de la peau) avec notamment vergetures, ecchymoses (certaines formes étant appelées purpura de Bateman, voir photo), sécheresse cutanée et difficultés pour cicatriser.
Est-ce que ces médicaments amincissent la peau ? Cela peut arriver mais c'est rare si vous suivez les directives de votre médecin. En général, l'amincissement est dû à un long usage d'une cortisone de force élevée. Cela survient juste à l'endroit où la cortisone a été mise.
Les symptômes comprennent une rougeur de la peau, une sensation de brûlure et des démangeaisons. Cela peut ensuite être suivi d'un peeling cutané. Ce syndrome résulte de l'usage de dermocorticoïdes durant plus d'un an et ne survient pas à la suite d'une utilisation ponctuelle.
Les crèmes à base de cortisone, appelées dermocorticoïdes, sont l'un des traitements les plus fréquemment prescrits par les dermatologues en cas d'eczéma. Ils ont des effets reconnus contre cette affection et soulagent ses symptômes. Les dermocorticoïdes peuvent être utilisés à partir de l'âge de un an.
L'arrêt d'application quotidienne et prolongée de corticoïdes peut rendre la peau rouge et provoquer des sensations de brûlures.
Les causes pathologiques sont principalement des maladies de la peau, telles que la dermatite atopique, le psoriasis, les inflammations, les allergies, l'acné, mais aussi des maladies systémiques. Pour poser un diagnostic sûr, il est essentiel de consulter un dermatologue.
Important : la plupart des effets secondaires concernent des prises de corticoïdes au long cours, et disparaissent à l'arrêt du traitement.
des modifications physiques, comme une fonte musculaire ou un gonflement du visage ; des tendances à la dépression ou au contraire à l'agitation, avec notamment des insomnies ; l'aggravation ou l'apparition d'un diabète ou d'une hypertension.
A cause d'un traitement trop prolongé, et probablement parce qu'ils sont génétiquement prédisposés, ces malades vont développer, au fil du temps, une vraie dépendance aux dermocorticoïdes : dès que cesse l'effet de la crème à la cortisone, apparaît une rougeur, qui devient écarlate, douloureuse, et qui brûle.
Il semblerait que cette corticothérapie courte spécifiquement prescrite au moment de l'acte chirurgical n'entraine pas de majoration du risque d'infection et n'altère pas la qualité de la cicatrisation.
Des troubles digestifs (acidité gastrique) ; Une immunodépression ; Des troubles du sommeil et des troubles psychiques (dépression, délire, hallucinations) ; Des complications oculaires, de type cataracte, voire de glaucome chez certaines personnes prédisposées.
La crème corps ZEMATOPIC, sans cortisone, protège la peau, limite sa déshydratation et par sa richesse, sa naturalité et son innocuité assurent confort et apaisement aux peaux atopiques, irritées, sujettes à eczéma.
Certains médicaments ou dispositifs médicaux sont à utiliser avec prudence en cas de traitement par corticoïdes : - les anti-inflammatoires dits « non stéroïdiens » (aspirine, ibuprofène…) ont, comme les corticoïdes, de possibles effets indésirables digestifs.
L'un des effets secondaires des traitements à base de corticoïdes est une fragilisation des os et le risque de développer une ostéoporose. Les patients qui utilisent les corticoïdes au long cours doivent donc être régulièrement suivis pour surveiller la bonne santé de leur squelette.
La cortisone ne fait pas systématiquement grossir. « La prise de poids obligatoire est une idée reçue », assure le Dr Grange. La cortisone n'apporte aucune calorie.
En outre, la cortisone a un effet négatif sur l´équilibre osseux dans le sens où la résorption osseuse est accrue et une ostéoporose peut se développer. Ceci est associé à un risque accru de fractures, en particulier des corps vertébraux et des hanches.
cortisone et l'arrêt du traitement : poids, fragilité cutanée, irritabilité, troubles de la libido, hypercholestérolémie et hypertriglycéridémie, brulures d'estomac, fonte musculaire, hypertension… à plus ou moins long terme.
Il s'agit là d'un effet secondaire observé lorsque la cortisone est prise par voie orale ou injectable, à des doses bien plus élevées, qui peuvent rendre bouffi.
L'application très prolongée de corticoïdes favorise la prolifération et l'extension du Candida dans les plis inguinaux et vers le pubis (PHOTO 2).
Certaines personnes observent également une envie plus fréquente d'uriner, des œdèmes suite à une rétention d'eau et une hypertension artérielle. Cortisone inhalée La cortisone inhalée a beaucoup moins d'effets secondaires que la cortisone prise par voie orale.
ostéoporose (décalcification des os), parfois définitive ; troubles hormonaux et métaboliques : diabète (réversible), arrêt de la croissance chez l'enfant, troubles des règles ; troubles digestifs : gastrite, ulcère ; certaines formes de cataracte et de glaucome.
Il est recommandé de boire un grand verre d'eau après une bouffée de cortisone pour en éliminer les résidus.
Je peux avoir du mal à dormir. L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement. Plus la dose est élevée, plus le traitement est long et plus le risque d'effets indésirables augmente.