En augmentant le nombre de biens et services disponibles, la croissance améliore le bien-être des populations, mais elle peut aussi avoir des effets négatifs comme la pollution, la destruction des ressources ou l'augmentation des inégalités.
La croissance économique, c'est à dire l'augmentation de la production de richesses, permet le développement d'un pays. Une forte croissance économique constitue un moyen incontournable pour augmenter le niveau de vie, ainsi que pour la protection sociale ; et agit donc sur le développement sur l'aspect qualitatif.
La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement. Elle correspond à l'augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des richesses d'un pays.
Elle est indispensable pour faire face à bon nombre de problèmes économiques et sociaux, celui du chômage en premier. Elle permet l'élévation du niveau de vie général. La richesse des nations et de ses citoyens en dépend.
Les pays en voie de développement supportent l'essentiel de cette croissance. La croissance démographique provoque une hausse des besoins humains (énergie, nourriture, services, etc.) dont la satisfaction engendre des problèmes environnementaux et sociaux.
Les réserves d'eau potable diminuent, favorisant l'apparition de maladies et d'épidémies, en particulier dans les régions les plus touchées par la sécheresse. La famine et la malnutrition ainsi que l'insuffisance des vivres sont les conséquences de la surpopulation dans de nombreux pays du monde.
L'augmentation de la quantité de capital physique permet de substituer des capitaux économiques à des capitaux humain et naturel. Pour contribuer à un développement durable, cette substitution ne doit pas mettre en danger les capitaux humain et naturel.
La croissance économique, source d'enrichissement et de progrès, engendre en parallèle des externalités négatives : pollution, nuisances, gaspillages, réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des ressources non renouvelables (ex: pétrole, gaz naturel…).
Aujourd'hui, la croissance démographique rapide, provoquée par un taux de fécondité élevé et durable, est associée à des taux de pauvreté plus élevés, de faibles taux d'éducation primaire et des taux de mortalité infantile et maternelle qui restent élevés.
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
Ces vingt dernières années, la croissance du capital économique se heurte à des limites écologiques. Que ce soit l'augmentation des gaz à effet de serre, les sécheresses, l'épuisement des ressources naturelles, etc.
la concentration. l'intégration verticale. la diversification. la globalisation (internationalisation)
La croissance économique a des conséquences négatives sur l'environnement. Elle est responsable de l'augmentation de la pollution et des risques d'épuisement du capital naturel (car les ressources sont non-renouvelable ou que l'utilisation intensive de ces ressources ne permet pas leur renouvellement).
On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
Social, économique et environnemental : les 3 piliers du développement durable sont également ses enjeux principaux. L'avenir des générations futures ne saurait en effet être prospère sans une organisation cohérente et responsable de ces 3 enjeux dès aujourd'hui.
Le développement économique s'attarde à la création de nouvelles entreprises, le maintien et la survie des entreprises existantes, la croissance optimale des entreprises, le développement de secteurs innovants ainsi que l'attraction d'investissements. La stagnation économique représente également un enjeu important.
La croissance verte signifie promouvoir la croissance économique et le développement tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et services environnementaux dont dépend notre bien-être.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
Nous parlerons tout d'abord du facteur économique, puis du facteur social pour enfin parler du facteur environnemental.
Tout d'abord, la croissance démographique peut avoir des effets néfastes sur la croissance économique. En effet, les ressources naturelles peuvent s'avérer être insuffisantes pour répondre au besoin d'une population qui subit une croissance démographique, ce qui peut freiner la croissance économique sur le long terme.
La surpopulation alimente bien des craintes. Les quelque 8 milliards d'individus d'aujourd'hui seraient responsables du réchauffement climatique, de la perte de biodiversité ou encore des pandémies.
Thomas Robert Malthus est né près de Wotton en Angleterre, le 13 février 1766. Il est mort le 29 décembre 1834 à l'âge de 68 ans. Malthus reste essentiellement célèbre pour son idée de limitation de l'accroissement de la population.