La culture influe également sur la santé d'autres manières, comme celles qui suivent : L'acceptation du diagnostic, y compris qui informer, quand et comment les informer. L'acceptation des mesures de santé préventive ou de promotion de la santé (p. ex., vaccins, soins prénatals, contraception, tests de dépistage, etc.)
La culture peut ainsi exercer une influence favorable dans des domaines tels que la rénovation urbaine, la cohésion sociale, la prévention pénale, la santé ou la lutte contre la pollution. La société joue un rôle essentiel dans le développement de la créativité.
La culture offre également le moyen d'exprimer sa créativité, de se forger une identité propre et de renforcer ou de préserver le sentiment d'appartenance à la communauté. Les expériences culturelles offrent des occasions de loisirs, de divertissement, d'apprentissage et de partage d'expériences avec d'autres.
La culture personnelle a également une grande importance : un haut niveau de culture favorise la compréhension du monde, l'analyse des forces qui le font évoluer et la découverte d'idées nouvelles.
Point clef. Les décisions de consommation subissent des influences culturelles et sociales. La culture, les groupes d'appartenance et de référence produisent des normes et des valeurs au sein desquelles les décisions de consommation sont prises. Les décisions de consommation deviennent des signes d'appartenance.
La culture n'est pas seulement l'ensemble des caractères de civilisation qui préexiste à l'apparition des identités, elle est également le socle proprement personnel de l'identité – car il faut à présent prendre en compte le fait que l'individualité revendique sa culture personnelle comme son bien le plus propre.
La culture influence de la manière la plus profonde nos comportements, en particulier ceux qui nous semblent les plus évidents et les plus naturels. Les codes culturels sont intégrés et incorporés tout au long d'un processus de socialisation. La culture est partagée et collective.
La culture fournit à l'individu le cadre dans lequel s'opèrent ces interprétations touchant les phénomènes du corps, et en particulier, la maladie et ses symptômes. La culture contribue à définir : *Les croyances des patients et des dispensateurs de soins quant aux causes de la maladie.
Le fait de connaître la culture d'un patient peut favoriser la confiance, de meilleurs soins, un taux d'acceptation plus élevé du diagnostic et un meilleur respect du traitement. intégrée à tous les aspects de la vie d'un individu. La diversité existe au sein d'une même culture.
La culture permet aussi de découvrir le monde. Tous les styles de vie, les valeurs et les croyances sont différents selon les pays. Nous pouvons ainsi savoir comment ils vivent, ce qui est important pour eux et ce qui ne l'est pas, leurs inquiétudes, leurs appréhensions et comment ils envisagent leur avenir.
CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.
Par la suite, le terme a pris un sens plus large : il désigne l'ensemble des activités humaines qui s'écartent des simples déterminismes naturels et qui sont issues de la réflexion. La culture est donc ce qui s'oppose à la nature : c'est ce qui est acquis.
Les influences de la famille, des amis, de l'école et des enseignants, ainsi que des médias – spécialement des médias sociaux – contribuent à modeler et à modifier les goûts et les façons de consommer la culture ou de s'approvisionner en contenus culturels.
Ces facteurs sont les facteurs d'ordre technologique, religieux, philosophique, familial, social, politique, légal, économique, éducationnel, et relatif au mode de vie et aux valeurs culturelles.
Cinq traits distinctifs d'une culture. Ces éléments culturels de base sont : la langue, le patrimoine culturel, les coutumes, les arts, et la famille ou « les acteurs culturels ». Les aspects saillants d'une communauté sont identifiés et représentés par ces cinq éléments distinctifs.
La virtualité et la diversité culturelle peuvent conduire à des problèmes de dissonance communicationnelle, à des points aveugles ainsi qu'à des situations d'interopérabilité linguistique et/ou technologique.
Un des principaux canaux de transmission et de conservation de la tradition et du patrimoine, est l'échange intergénérationnel. Il est positif d'avoir des relais qui symbolisent une mémoire des événements passés et qui la transmettent aux jeunes.
Les normes et les valeurs culturelles peuvent influencer la manifestation et l'importance de ce fonctionnement. L'impact du contexte culturel sur le développement socioaffectif est susceptible de découler des pratiques de socialisation des parents et, ultérieurement, des interactions avec les pairs.
La façon dont nous percevons notre état de santé est influencée par un ensemble complexe de facteurs, notamment environnementauxn, culturels et socioéconomiques. Sans grande surprise, plus on avance en âge, moins on se sent en bonne santé, et c'est la même chose pour les femmes et les hommes.
On distingue généralement trois grandes formes de manifestation de la culture: l'art, le langage et la technique. Dans un sens plus large, le mot culture peut s'appliquer aux animaux sociaux et correspond aux savoirs et pratiques qui se transmettent et se partagent.
«Un environnement bien aménagé favorise les bons comportements chez l'enfant, car il répond à ses besoins. De plus, il aide l'enfant à évoluer dans les différentes sphères de son développement (cognitif, physique, social, émotif et affectif), dans le respect de son unicité».
La considération de la dimension culturelle de la communication n'est rien d'autre que la prise en compte du processus symbolique par lequel la réalité se construit, se maintient et se transforme. Ce processus permet la mise en commun de l'expérience sensible et intelligible.
La culture fait donc l'homme, mais sans avoir de rôle modélisant. Au contraire, c'est de façon émancipatrice que la culture permet à l'homme de se faire, puisque finalement, c'est une multiplicité sans fin d'hommes singuliers qui constitue l'oeuvre de la culture. C'est donc bel et bien la culture qui fait les hommes.