La socialisation, un processus d'intériorisation. Au cours de sa socialisation, l'individu acquiert peu à peu des valeurs et des normes qui lui sont transmises par son environnement, mais auxquelles il imprime sa marque personnelle, en fonction des événements qu'il est amené à vivre.
La fonction de la socialisation est double. Elle permet d'une part au groupe ou à la société de maintenir une cohésion suffisante et d'autre part elle favorise l'adaptation sociale des individus en leur donnant les moyens de se comporter de façon conforme aux attentes du groupe.
La socialisation se distingue de l'éducation, elle ne se confond pas avec elle car elle n'est pas qu'explicite (elle peut être implicite). La socialisation permet de ne pas seulement apprendre mais aussi d'intérioriser des normes et des valeurs ce qui permet aux individus de se les approprier et d'agir librement.
La socialisation primaire est la plus déterminante puisqu'elle fournit à l'enfant ses premiers repères sociaux qui le marqueront durant toute son existence et agiront ensuite comme un « filtre » : les expériences vécues ultérieurement sont appréhendées, en effet, en référence aux premières qui ont contribué à ...
La socialisation désigne le processus par lequel l'individu est construit par la société dans laquelle il vit. C'est un processus au cours duquel l'individu acquiert par intériorisation et incorporation des façons de faire, de penser et d'être qui sont situées socialement.
La socialisation désigne l'ensemble des processus par lesquels les individus acquièrent et intériorisent les normes, les valeurs et les rôles qui régissent la vie sociale, construisant ainsi leur identité psychologique et sociale.
La socialisation permet l'intégration sociale des individus qui se sentent alors appartenir à la société. Elle permet d'autre part une cohésion sociale, c'est-à-dire la mise en place de solidarités entre les individus. La socialisation permet donc à la fois de se sentir membre d'une société et de « faire société ».
La socialisation s'effectue par trois grands mécanismes que sont l'inculcation, l'imprégnation et l'interaction. Elle est classiquement verticale et descendante, mais de nouvelles formes émergent : la socialisation inversée et la socialisation horizontale.
Chaque jour, nos comportements sont influencés par les normes sociales qui nous entourent. En agissant selon les normes sociales, l'individu agit en conformité avec les comportements les plus consensuels et ainsi reçoit de l'approbation de son groupe.
Les instances de socialisation
La famille : C'est par elle que les enfants apprennent à marcher, parler, s'habiller, etc. Elle permet l'intériorisation des premières normes et valeurs, mais aussi des rôles masculins et féminins propres à la famille. L'école : Elle participe à la maîtrise des règles sociales communes.
- fonction principale de la socialisation est l'intégration d'un individu dans un groupe. - faire accepter son rôle en assimilant les valeurs et normes qui le définissent. - faciliter à l'entrer en relation. Une partie des contraintes sont intériorisées, pas besoin de rapport physique violent pour se faire accepter.
Conclusion En conclusion, la socialisation est un processus divisé en deux phases : primaire et secondaire, qui sont innés chez l'homme, mais qui sont modulables et qui demandent à être enrichis tout au long de notre vie. La sociabilité est, quant à elle, un apprentissage indispensable pour évoluer en société.
La société agit sur nos comportements dès notre enfance. Cette influence passe par le processus de socialisation. Des instances de socialisation comme la famille ou l'école nous font intérioriser des normes et des valeurs. Cette socialisation se poursuit tout au long de la vie.
Au cours de la socialisation de l'enfant, on retrouve quatre grandes instances de socialisation, c'est-à-dire un ensembles de personnes et d'institutions qui sont en contact avec l'individu et assurent sa socialisation, la famille, l'école, les groupes de pairs et les médias.
On peut en identifier quatre principaux : les besoins, la motivation, la personnalité, la perception. Les facteurs externes sont les éléments constitutifs de l'environnement qui peuvent avoir une influence sur les choix d'un individu. On parle d'influences familiales, sociales, économiques ou encore culturelles.
L'influence sociale ou la pression sociale est l'influence exercée par un individu, ou par un groupe sur chacun de ses membres, dont le résultat est d'imposer des normes dominantes en matière d'attitude et de comportement. Émile Durkheim fut le premier sociologue à souligner la « force » du social sur l'individu.
La famille transmet à l'enfant, dès son plus jeune âge, le langage et les codes sociaux les plus élémentaires (apprendre à manger « correctement » par exemple), mais aussi les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. Elle joue donc un rôle important dans la socialisation.
La socialisation est également différenciée selon le milieu social des individus : ceux-ci acquièrent des valeurs et des normes différentes et ont des habitudes de comportement différentes. Cette socialisation différenciée a notamment pour conséquence, dans le monde social, des phénomènes de reproduction sociale.
La socialisation est le processus d'intériorisation des normes et des valeurs. Elle se fait par imprégnation, par l'imitation et l'interaction avec autrui ou par inculcation, c'est-à-dire de manière plus explicite à travers des sanctions.
Il s'agit de jeunes perçus comme étant en conflit avec les institutions, à la limite de la délinquance, alternant périodes de marginalité et tentatives d'intégration sociale.
La socialisation est un processus d'apprentissage et d'intériorisation des normes et des valeurs. Les membres d'une société apprennent les règles de leurs milieux sociaux et culturels. Ils intègrent progressivement les normes et les valeurs dominantes de la société et les adaptent à leur personnalité.
La socialisation primaire est celle de l'enfance et de l'adolescence sur laquelle se construisent la personnalité et l'identité sociale. Elle se fait essentiellement avec la famille qui a un caractère omniprésent, avec la nourrice, la crèche, l'école, les amis, etc.
Ces différences de traitement entre les garçons et les filles se font de manière inconsciente, les parents reproduisent des modèles qu'eux-même ont intégrés. La société pousse donc les individus à se comporter d'une certaine manière car la socialisation imprime des normes et des valeurs dans leur personnalité.