Risque de somnolence ou de sensations vertigineuses fugaces apparaissant 1 à 3 heures après la prise du médicament, modifications des règles, interruption des règles, saignements entre les règles. Ces effets témoignent le plus souvent d'un surdosage.
Les effets indésirables suivants ont également été rapportés. Parlez-en à votre médecin de la clinique s'ils vous incommodent : Crampes et douleurs abdominales, ballonnements, constipation, nausée, vomissements, spasme utérin, saignements vaginaux, douleurs mammaires, maux de tête, somnolence.
Le cycle menstruel : une question d'hormones
Après une ovulation sans fécondation, la chute de la progestérone peut perturber notre digestion, ce qui se traduit par des gaz et des ballonnements.
Effets indésirables possibles du médicament PROGESTAN
Par voie orale : somnolence, vertiges 1 à 3 heures après la prise du médicament, léger saignement, règles plus fréquentes. Ces effets sont le plus souvent le signe d'un surdosage.
En dehors de la grossesse, la progestérone a d'autres actions : elle a un effet sédatif sur le système nerveux central et est responsable du décalage thermique après l'ovulation. Elle s'oppose à l'effet des œstrogènes sur les glandes mammaires et la muqueuse utérine, régulant ainsi leur action.
En cas de grossesse, il peut être nécessaire de prescrire de la progestérone si l'hormone n'est pas assez présente naturellement, notamment afin d'éviter une fausse couche, mais aussi pour traiter une insuffisance lutéale (voir plus bas) ou encore réduire les nausées et vomissements liés à la grossesse.
Le traitement d'œstrogène doit être associé à la prise de progestérone ou d'un progestatif de synthèse afin de protéger l'utérus contre la survenue d'un cancer de l'endomètre.
L'utilisation de progestérone naturelle micronisée n'est pas associée à une augmentation significative du risque de cancer du sein par rapport à celui observé chez les femmes ne prenant pas de traitement hormonal de la ménopause.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
D'un autre côté, la progestérone a également une action au niveau des neurones, en agissant sur les récepteurs “GABA”. Ces récepteurs servent à freiner l'activité globale du cerveau, et aident donc au sommeil.
Elle favorise un métabolisme sain. Chez les femmes, plus spécifiquement, ce sont les œstrogènes et la progestérone qui jouent un rôle important dans la rétention d'eau, les fringales et la prise de poids. Leur équilibre et leur stabilité sont essentiels pour garder un poids sain.
Diabète : comme les autres traitements hormonaux de substitution, la progestérone peut provoquer une augmentation des taux de sucre sanguin et un changement de la tolérance au glucose.
Préménopause et douleurs du bas ventre : Comment expliquer ces douleurs ? Pendant la préménopause, les oestrogènes et la progestérone sont encore produites dans l'organisme mais de façon beaucoup plus irrégulière qu'avant, ce qui peut provoquer des douleurs du bas du ventre (abdomen) et dans le bassin.
Votre foie et vos reins sont en fait surchargés par les différentes hormones sécrétées durant ce premier trimestre (progestérone, œstrogène, gonadotrophine chorionique humaine…). Ils ne peuvent remplir leur rôle de détoxification des toxines du corps, ce qui entraine plus de fatigue.
Les hormones sexuelles féminines : Les hormones sexuelles féminines jouent un rôle essentiel dans la régulation de l'appétit. Des études ont montré que la progestérone et la testostérone stimulent l'appétit, tandis que les œstrogènes l'inhibent.
Votre taux de progestérone augmente avant l'arrivée de vos règles et explique ballonnements et épisodes de constipation.
Pour stimuler les glandes mammaires et essayer de faire grossir sa poitrine, il est recommandé de consommer des aliments riches en œstrogènes. Cette hormone féminine qui assure le développement des organes génitaux, est également un facteur connu pour déterminer le volume des seins.
Excès de progestérone : bien plus rare que l'hyperoestrogénie, il peut se rencontrer en cas de corps jaune persistant, en cas de prise de médicaments inducteurs de l'ovulation, parfois en cas de tumeurs corticosurrénales. -> Signes : déprime, seins sensibles, vertiges, constipation, troubles du sommeil, maux de tête...
Une dépression, une irritabilité, une angoisse, une nervosité, des troubles du sommeil (allant jusqu'à l'insomnie), des difficultés de concentration, des céphalées et une fatigue peuvent également survenir. De nombreuses femmes ressentent ces symptômes pendant la périménopause.
Comment savoir si j'ai un manque de progestérone ? Certains symptômes comme un cycle court, des spottings réguliers, des épisodes depressifs fréquents, de la fatigue chronique, les insomnies... sont des indicateurs assez fiables d'un manque de progestérone.
Ainsi, les oestrogènes ont notamment pour effet de stimuler la production de collagène et d'élastine, protéines responsables du maintien et de la souplesse de la peau. Les oestrogènes vont aussi booster la synthèse d'acide hyaluronique.
La progestérone sous forme de pilule en voie orale entraîne vertiges, pertes d'équilibre et somnolences. Ces effets s'estompent après quelques semaines par accoutumance. Veillez donc à la prendre à distance des repas et juste avant de dormir.
La ménopause est généralement divisée en trois phases: la préménopause, la ménopause et la postménopause. La préménopause est la période qui précède la ménopause, où les fluctuations hormonales sont plus prononcées.
Le safran c'est l'anti-dépresseur naturel le plus efficace. Prouvé cliniquement, il permet de lutter contre les baisses de moral et d'énergie pendant la ménopause. Mindology l'associe à des plantes adaptogènes, du magnésium et un complexe de vitamines D, B et C pour un soutien global complet.