Conséquences du jeu excessif Le joueur excessif peut vivre les états suivants : dépression, anxiété, culpabilité, colère, solitude, isolement, déception, perte d'estime de soi, perte de contrôle et idées suicidaires. Le joueur excessif peut ressentir différents malaises, souvent liés au stress.
D'autres effets négatifs sont souvent évoqués pour décrier les jeux vidéo, comme les relations entre la pratique du jeu vidéo et l'obésité, les troubles d'attention, les performances scolaires en déclin, la désocialisation...
Pour ce qui est des effets des jeux vidéo sur le cerveau et de l'Internet, ils peuvent altérer les scores d'intelligence et le volume cérébral uniquement en cas d'utilisation intensive. De plus, l'utilisation excessive des médias nuit au traitement visuel et aux fonctions cognitives intellectuelles.
Selon des données scientifiques actuelles, le temps passé devant un écran peut être corrélé à une forme physique moins bonne et à des problèmes de santé mentale et de développement social.
Cela peut dans certains cas affecter la santé mentale, avec un risque accru de dépression, d'anxiété voire de divers troubles émotionnels.
Un surinvestissement du jeune dans l'univers du jeu peut déclencher une perte de contrôle, une obsession et un ensemble de problèmes pouvant nuire à son fonctionnement (conflits, troubles du sommeil, échec scolaire, perte d'emploi, etc.)… auxquels peuvent s'ajouter d'importantes souffrances.
Le joueur excessif peut vivre les états suivants : dépression, anxiété, culpabilité, colère, solitude, isolement, déception, perte d'estime de soi, perte de contrôle et idées suicidaires. Le joueur excessif peut ressentir différents malaises, souvent liés au stress.
avant 3 ans, pas d'écran (ni télévision) ; avant 6 ans, pas de console de jeux. Durée d'écran limitée à 1/2h à 3 ans et 1h maximum à 6 ans pendant un temps de partage parent/enfant ; avant 9 ans, pas d'internet.
Une fragilité psychique (anxiété, dépression, mauvaise estime de soi, impulsivité) peut aussi mener à des comportements compulsifs. Il ne faut pas oublier que certains événements marquants de la vie, ou bien des traumatismes, peuvent aussi mener à l'addiction aux jeux vidéo.
Le temps passé devant les écrans peut avoir un impact sur notre santé et engendrer des troubles cognitifs, en particulier chez les plus jeunes. Mais notre cerveau n'évoluera pas à cause de ces pratiques intenses.
Les jeux vidéo ont la réputation d'être violents et débilitants. Pourtant, de récentes études montrent qu'ils améliorent des capacités cognitives différentes selon le type de jeu. Les risques pour la santé restent très limités et peuvent facilement être évités.
Addiction aux jeux vidéo : le joueur
De même, les adolescents “dépressifs” vont voir les jeux vidéo comme une source de plaisir immédiat bien qu'éphémère, et risquent donc d'en consommer plus souvent que nécessaire pour combler un manque dans le monde réel.
C'est aux parents de décider des limites qu'ils souhaitent fixer à leurs ados en matière de temps d'écran. Voici quelques valeurs indicatives: Entre 12 et 14 ans – maximum 1,5 heure par jour ou 10,5 heures par semaine. Entre 14 et 16 ans – maximum 2 heures par jour ou 14 heures par semaine.
Pour les enfants de 6 à 12 ans, les recommandations sont de limiter le temps d'écran à un maximum de 2 heures par jour. Cela inclut les activités de loisirs sur les écrans, telles que les jeux vidéo, les réseaux sociaux et la télévision.
Règle générale, la durée maximale recommandée est de deux heures par jour pour les activités de loisir. Cependant, cette notion de temps dépend du type de contenu (médias sociaux, jeux vidéo, clavardage, émissions, etc.), du contexte d'utilisation (moment de la journée, simultanéité des activités, etc.)
Prendre du temps pour jouer avec un très jeune enfant lui permet de stimuler ses sens (la vue, l'audition, le goût, le toucher, l'odorat) et de découvrir son corps et son environnement.
C'est par le jeu que les enfants découvrent et comprennent le monde qui les entoure. Tout en s'amusant, ils travaillent sur des aspects essentiels de leur développement, notamment le renforcement de leurs compétences motrices, cognitives, sociales et émotionnelles.
Mais les jeux ne sont pas tous innocents, certains mettent en péril l'intégrité physique de leurs pratiquants. Le jeu de la tomate consiste par exemple à bloquer sa respiration le plus longtemps possible et parfois le jeu tourne mal et l'enfant se retrouve dans le coma.
Il s'agit d'un non-contrôle comportemental, d'une agitation pas encore régulée, qui conduit l'enfant à se mettre en danger en grimpant ou en sautant avec, en filigrane, un risque accidentel important et sans que cela ne soit intentionnel.
La cour de récréation, les temps partagés entre enfants, sont parfois l'occasion de jeux dangereux, d'expériences de mise en danger. Certains enfants veulent essayer d'aller plus vite, plus loin, plus fort. Avides de sensations fortes, ils se mettent parfois en danger au cours de leurs jeux.
Quand le jeu est trop important, le bruit augmente, mais un jeu trop fort ne risque en aucun cas d'endommager le moteur .
En revanche, si vous souhaitez offrir une console à votre enfant, il est préconisé d'attendre ses 6 ans révolus. Avant cet âge, il est très important de s'ouvrir au monde et à son corps. De plus, une console propre à l'enfant est plus difficile à réguler.