Sont qualifiés « d'ennemis des plantes » ou de « ravageurs » l'ensemble des animaux : insectes, acariens, gastéropodes, oiseaux ou rongeurs qui se nourrissent de plantes cultivées. Dans la maison, leur nombre est limité, mais leurs actions rapides et violentes les font redouter à juste titre.
Les bioagresseurs, appelés aussi « ennemis des cultures », sont des organismes vivants qui attaquent les plantes cultivées et sont susceptibles de causer des pertes économiques.
Pour limiter les ravageurs, rien de tel que de disposer de leurs prédateurs autour du potager. On peut attirer ceux-ci, en installant des plantes hôtes, des abris ou encore en aménageant des milieux adéquats.
On peut aussi classer les méthodes physiques selon le mode d'utilisation de l'énergie, soit la lutte mécanique, lutte thermique, lutte électromagnétique et lutte pneumatique.
Utiliser un mélange d'eau et de savon noir
Dissoudre ensuite un verre de savon noir liquide ; Prendre une grande bassine pouvant servir à immerger les plantes et y verser la solution obtenue ; Plonger dans l'eau chaude le pot, les feuilles et le substrat durant environ 5 minutes.
Bien qu'ils soient très petits, il y a des signes qui ne trompent pas : si vous voyez que les dessous des feuilles sont poussiéreux, qu'il y a des sortes de toiles tissées sur les tiges et les feuilles et que les feuilles ont une couleur différente (petites taches) ou se déforment, alors votre plante est sûrement ...
Heureusement, il existe aujourd'hui de nombreuses solutions naturelles pour lutter contre ces parasites issus de la nature. Depuis plus de trente ans, Biobest, pionnier mondial de la production de bourdons, est l'une des principales entreprises dans le domaine de la protection naturelle et intégrée des cultures.
Méthode de lutte visant à soigner une plante déjà malade ou attaquée par un ravageur.
Méthodes de lutte chimique
La lutte chimique repose sur l'emploi de pesticides synthétiques, inorganiques, botaniques et biologiques. Ces produits tuent les ennemis ciblés, en limitent les populations et sont d'importants outils de protection des cultures quand ils font partie d'un programme de LI.
Il existe aussi deux autres types de lutte biologique : la lutte biologique contre les maladies des plantes, qui fait intervenir des agents pathogènes antagonistes (appelés biopesticides), et la lutte biologique contre les mauvaises herbes, qui fait appel à des herbivores, des agents pathogènes, et des prédateurs de ...
Toute créature qui se nourrit d'une autre créature ou qui en réduit par ailleurs les populations en est un « ennemi naturel ». Tous les ravageurs des cultures ont des ennemis naturels, souvent qualifiés d'« utiles » et la réduction des populations de ravageurs par ces ennemis naturels s'appelle lutte biologique.
L'otiorhynque (Otiorhynchus sulcatus) est un insecte de la famille des charançons commun en Europe qui s'attaquent à de nombreuses plantes au jardin. Les feuilles sont dévorées, en commençant par les bords extérieurs.
Les ravageurs sont l'ensemble des organismes qui entrainent des dégâts sur les plantes cultivées, i.e. une perte de rendement liés à une baisse de la qualité ou de la quantité de la production.
On distingue trois stratégies de lutte biologique : la lutte classique (acclimatation d'agents auxiliaires introduits), augmentative (traitements répétitifs par des agents auxiliaires) et de conservation (promotion des agents auxiliaires existants).
Les coccinelles
Ces petits coléoptères sont communs sur les végétaux de la famille des Rosacées, ainsi que sur les arbres fruitiers et les petits fruitiers comme les fraisiers. Elles seront employées autant sous abri qu'à l'extérieur et tolèrent la sécheresse et une température jusqu'à 35°.
Il s'agit d'agents et produits utilisant des mécanismes naturels de lutte dans le cadre de la lutte intégrée contre les ennemis des cultures qui comprennent, en particulier, d'une part les macro-organismes et d'autre part, les produits phytopharmaceutiques comprenant des micro-organismes, des médiateurs chimiques ( ...
Mettre du paillage sec, idéalement de la paille, sur la terre pour protéger la base de la plante. Une couche de 10 à 20 cm de paille permet de gagner 3 à 5 degrés au niveau du pied et des racines. Confectionnez ce tapis de paillage lors d'une période de beau temps et de faible humidité.
Le paillage : en recouvrant le sol autour des plantations de paille, de feuilles mortes, d'écorces de conifère… ou de plastique, on limite l'évaporation pendant l'été et l'on protège certaines plantes du gel pendant l'hiver. Le binage : il a pour but de ralentir l'évaporation.
Le marc de café est un engrais naturel riche en azote (N) et phosphore (P) assimilables à la longue, potassium et magnésium assimilables immédiatement. Attention toutefois à ne pas en abuser car il favorisera le développement de la végétation au détriment de la floraison.
Grâce à sa teneur élevée en azote, en phosphore et en potassium, le marc de café constitue un véritable allié des plantes car il stimule leur croissance. En plus d'améliorer la qualité du sol, il fournit de l'énergie et des nutriments.
Les bienfaits du marc de café au jardin
Saupoudrez un peu de marc de café au pied des plantes et mélangez le produit en binant la terre. Le marc de café s'utilise aussi comme terreau pour semis car il est riche en azote, phosphore et potassium. C'est également un excellent répulsif naturel contre les ravageurs.