La dot est un symbole fort du mariage coutumier. Elle est une grande marque de considération pour l'homme et la femme. Il paraît ainsi très important pour le jeune, appelé à découvrir sa vocation, de disposer de toute la connaissance relative cette dernière.
Pour François Masabo, un etudiant, « La dot ne doit pas être supprimée, mais elle doit être règlementée. Il faut qu'elle soit fixée à 100 000 FBu.» Signalons qu'avant les cérémonies de dot, les familles respectives des époux se rencontraient informellement pour fixer le montant de la dot.
la dot de mariage, apportée par la famille de l'épouse à celle-ci ou au ménage (pratique qui avait cours dans la bourgeoisie) ; le prix de la fiancée apporté par le mari ou sa famille à la famille de son épouse ; le douaire apporté par le mari à son épouse.
Ce qui rend la dot si importante pour le mariage en Afrique est qu'elle est synonyme d'union de deux familles. Le respect mutuel et la dignité sont présents tout le long du procédé, et l'amour entre l'homme et la femme est élargi pour y inclure la famille proche et large.
Les dots discriminent les personnes handicapées
Le système de dot désavantage les femmes qui sont handicapées ou qui ont des problèmes de santé, puisque que la famille d'un futur mari exigera souvent des paiements plus élevés pour le mariage.
En théorie, les biens placés sous le régime dotal étaient inaliénables, c'est-à-dire qu'ils ne pouvaient être ni vendus, ni laissés, ni encore remis à titre gratuit à quiconque. Toutefois, selon le droit romain, la dot était constituée pour permettre aux conjoints de soutenir les dépenses et les charges du mariage.
Au Sénégal par exemple, la dot n'est exigée que si les époux le décident. Une modeste somme de 3000 francs CFA (environ cinq euros) est attribuée à l'épouse et des frais de réjouissances fixés à 15.000 francs CFA (23 euros) sont nécessaires pour convoler en justes noces.
Ce don peut prendre diverses formes, comme une somme d'argent ou d'autres biens. Il peut également être divisé en plusieurs parts : l'une remise à l'épouse au moment du mariage, l'autre après sa consommation et restant due en cas de divorce (si répudiation) ou de veuvage.
La dot n'est pas la seule forme de prestation matrimoniale. Comme chacun le sait, on observe, en gros, deux systèmes. Dans l'un, et on y range pour simplifier le cas du douaire, c'est le mari ou sa famille qui doivent apporter lors du mariage des biens ou des valeurs destinés à la femme ou à sa famille.
Delhi, les magistrats déclaraient (Verghese, ibid., 177) : « La dot est un mal social dans ce pays depuis plusieurs siècles [...]. Il est grand temps de combattre ce mal au plan social comme à celui de l'État. »
1. Ensemble des biens meubles ou immeubles donnés par un tiers à l'un ou l'autre des époux dans le contrat de mariage. 2. Biens qu'une femme apporte en se mariant : Un coureur de dot.
C'est à partir du XIIe siècle que s'est généralisée en Occident la pratique de la dot, cadeau apporté au marié par la famille de sa future épouse. Une révolution venue du droit romain qui allait s'accompagner, pour longtemps, d'une dégradation de la condition féminine.
Le mariage musulman peut se célébrer à n'importe quelle période de l'année, bien que certains juristes islamiques recommandent un mariage durant le mois suivant le Ramadan.
Selon l'Islam, comment la dot devrait se faire ? La dot peut être une somme d'argent, des bœufs, ou n'importe quels objets (qui a une valeur). si le montant de la dot est fixé, Il ne faut pas que la valeur de ces objets ou de ces bœufs soit être inférieur au montant fixé.
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
La dot constitue un ensemble des biens et/ou d'argent que le futur époux et sa famille remettent aux parents de sa fiancée pour qu'ils consentent au mariage. La dot doit être conforme à la coutume de la famille de la future épouse.
Pour Me Cissé, la monogamie est un régime d'exception et non de principe. “C'est un régime d'exception, de sorte que la loi ne l'encourage pas. Si vous en faites l'option, vous ne pouvez, en aucun cas, le changer et si vous ne le respectez pas, vous vous rendez coupable de bigamie”.
Au Sénégal, il existe deux formes de mariage : le mariage célébré et le mariage coutumier.
Ces paiements peuvent être classés en deux catégories : la dot dans les pays asiatiques implique des paiements effectués par la mariée au marié et à sa famille ; et la dot en Afrique (« prix de la mariée »), où c'est le futur époux et sa famille qui la paient à une future épouse et à sa famille.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
Celui-ci peut se manifester de diverses manières notamment par la réappropriation des mœurs, rites et symboles culturels de notre passé. Cependant il nous semble que cette réappropriation est en fait la plupart du temps une simple réaffirmation de la pensée dominante sur les mœurs, les rites ou les symboles concernés.
Comment ça se passe ? Deux familles se réunissent pour unir dans le respect de nos traditions deux de leurs enfants. Pour sceller cette union, une dot est versée par le marié pour valider l'union, mais aussi pour prouver l'amour que ce dernier porte à sa dulcinée.
L'inconvénient du mariage réside dans la séparation puisqu'en l'absence d'accord entre les époux, le divorce peut durer des années avec des procédures souvent douloureuses.