Elle comporte des avantages : La valorisation énergétique des déchets, par incinération avec récupération d'énergie, entraîne une économie significative de combustibles fossiles (gaz, fioul, charbon…) Elle permet, par la vente de l'énergie, de diminuer d'au moins 20 % le prix de traitement des déchets urbains.
Ce phénomène peut entraîner la pollution des ressources en eau par ruissellement d'eau de lessivage vers les cours d'eau voisins, etc., la pollution de l'air (par dégazage de composés organiques volatils, par envol de débris et poussières emportés par le vent ou transportés par les animaux, etc.).
L'incinération génère naturellement du gaz carbonique (CO2), issu de la combustion des résidus de végétaux, de bois, de plastique, de papier..., et surtout de l'injection d'air. Il faut un excès d'air pour brûler à haute température, et une tonne de déchets incinérés génère 5.000 m3 de fumées et de CO2.
Les fumées de l'incinération sont chargées en nombreuses molécules plus ou moins toxiques pour l'environnement et l'homme. Celles-ci se fixent sur les particules fines et ultrafines que les systèmes de filtration des incinérateurs ne sont pas en mesure de capter totalement.
Les déchets domestiques peuvent être classés en 3 grandes catégories : les déchets recyclables - les déchets non recyclables - les déchets spéciaux.
Selon la capacité et le type de déchets, il existe différents types d'incinérateurs : Incinérateurs à four rotatif. Incinérateurs à grilles amovibles. Incinérateurs à liquides, gaz et fumées.
Grâce aux équipements utilisés, la crémation permet une transformation décente et hygiénique du corps en cendres. Le corps du défunt est placé dans un cercueil qui est introduit dans un four préalablement chauffé à une température de 800 °C.
L'incinération est un mode d'élimination des déchets ménagers, en les brûlant à haute température. La première unité a été implantée au Royaume Uni en 1876. La valorisation énergétique est venue beaucoup plus tard, et reste partielle.
Les mâchefers issus d'incinération des ordures ménagères (MIOM) sont des scories solides résultant de l'incinération des ordures ménagères. Ils se présentent sous la forme de granules de couleur grise, mélange de métaux, de verre, de silice, d'alumine, de calcaire, de chaux, d'imbrûlés et d'eau.
Elle comporte des avantages : la valorisation énergétique des déchets, par incinération avec récupération d'énergie, entraîne une économie significative de combustibles fossiles (gaz, fioul, charbon…) Elle permet, par la vente de l'énergie, de diminuer d'au moins 20 % le prix de traitement des déchets urbains.
Méthode de traitement thermique des déchets qui consiste en une combustion (technologie et température variant selon la nature du déchet) et un traitement des fumées. De cette technique résultent trois catégories de résidus : mâchefers, cendres et résidus d'épuration des fumées.
La fumée produite par l'incinération des sachets plastiques contient des dioxines qui s'attaquent aux poumons ou aux hormones. Ce qui peut provoquer des cancers et des malformations chez les nouveaux nés.
Les dépôts d'ordures ménagères représentent non seulement une pollution « esthétique » du cadre de vie, mais ils sont surtout une source très diverse de maladies. Paludisme, intoxications alimentaires, fièvre typhoïde, choléra…
En plus de causer une pollution massive, l'ensemble du processus de recyclage pose des risques pour la santé des personnes responsables du recyclage de ces déchets. En outre, si de tels déchets entrent en contact avec de l'eau, il en résulte une formation de produit nocif qui finit par polluer les masses d'eau potable.
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
Pour organiser une crémation, il faut compter entre 1500 et 7000 euros. Ce tarif peut se varier selon les prestations choisies par les familles : cérémonies, chambre funéraire, salle de convivialité, fleurs, maître de cérémonie… Mais aussi le modèle d'urne.
La Crémation : Définition
Le processus d'incinération consiste dans un premier temps à brûler le corps du défunt puis à le réduire en cendres dans un second temps. Les cendres funéraires obtenues sont ensuite recueillies dans une urne funéraire. La crémation est également appelée “incinération”.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
Celui des matériaux précieux récupérés sur les défunts après leur incinération. Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
L'énergie libérée lors de l'incinération des déchets est transformée en chaleur et en électricité ; environ 4/5 des résidus solides sont utilisés sous la forme de sous-couches routières, et l'essentiel des ferrailles et autres métaux issus de déchets est récupéré et recyclé.
Le rendement se révèle alors très bon : 70 à 80 % de la chaleur de combustion sont récupérés après incinération, soit environ 1 500 kilowatts/heure thermiques par tonne d'ordures.
Triez le papier, c'est un geste simple ; où que vous soyez, à la maison, dans la rue, au bureau, pensez au tri : le papier est entièrement recyclable... au moins 5 fois ! Tous les papiers de notre quotidien se trient et se recyclent !