Les légumes qui n'apprécient pas le fumier : les oignons, l'ail, les échalotes, le cresson, l'endive, les fèves, la mâche, les navets, les radis et les carottes.
Évitez par contre de planter des alliacées comme les oignons, l'ail, l'échalote, à des endroits que vous avez enrichi avec du fumier (ou autres matières organiques d'ailleurs), elles ont horreur de ça !
Le fumier composté peut être utilisé au printemps. Copyright (c) 2022 kram-9/Shutterstock. No use without permission. Certaines plantes ne supportent pas le fumier et notamment celui de cheval, à l'instar de l'ail, de l'échalote ou encore de l'oignon.
Les légumes racines, comme les pommes de terre, les oignons et les carottes, peuvent également être problématiques, car ils ont tendance à se développer à partir des restes compostés. Il est préférable de les retirer du compost pour éviter qu'ils ne prolifèrent.
Les oignons craignent l'humidité, ils préfèrent les sols légers où l'eau ne stagne pas. Dans un sol pauvre, utilisez exclusivement un fertilisant organique à la plantation pour obtenir de beaux bulbes. Surtout n'utilisez jamais de fumier encore frais qui risque fort de faire pourrir les oignons.
Si vous désirez avoir de gros oignons, pliez sans les casser les tiges des oignons quand elles ont atteints une bonne hauteur, comme ça toute l'énergie va se diriger sur le bulbe de l'oignon et non sur les tiges. Également, retirer un peu de terre autour du bulbe pou lui permettre de prendre plus d'expansion.
Les légumes qui aiment le fumier : potirons et courges en général, artichauts, concombres, céleri, courgettes, melons, tomate et autres solanacées (piment, poivrons, aubergines, pommes de terre), choux, épinards, fenouil, fraisier.
Les avis divergent à ce sujet : selon certains spécialistes, il est préférable d'éviter les épluchures de pommes de terre dans votre bac à compost. Selon eux, elles peuvent être porteuses ou encourager le développement de maladies capables de dégrader votre terre.
À moins d'utiliser votre compost pour faire du paillage, les coquilles des fruits à coque n'ont pas d'intérêt et sont trop longues à décomposer. Avocat, pêche, cerise... Ils nous régalent mais ne jetez pas leur noyau dans votre compost, ils ne se décomposent pas.
Enfin, le fumier frais ne doit pas être enfoui, non seulement pour des raisons sanitaires, mais aussi parce que sa fermentation produit des substances toxiques pour les racines des plantes.
Le haricot se plante au soleil, dans un sol plutôt léger, meuble et riche. Par contre, il n'aime pas du tout les fumures fraîches, si vous voulez améliorer votre sol avant la plantation ou le semis n'utilisez que du compost ou du fumier bien décomposé.
Fin janvier-début février : après les grosses pluies d'hiver, maintenant que la terre est moins boueuse, c'est le moment de planter nos oignons. Attention : surtout pas de fumier !
1 - Le fumier de cheval
Au printemps, bien composté, il pourra être étalé au potager, y libérant progressivement ses ressources en potassium et azote. Il sera également utilisé en paillage au pied des plantations les plus gourmandes (cucurbitacées, tomates).
Après désherbage et bêchage, faites un apport de fumier décomposé et de compost que vous enfouirez dans le sol. Juste avant la plantation, le sol doit être amendé par du compost bien mûr.
Le fumier de lapin est une excellente source d'azote, de phosphore et de potassium, des éléments nutritifs essentiels à la croissance des plantes. Plus sec il est plus facile à manipuler et contribue à améliorer la structure du sol en augmentant sa capacité de rétention d'eau.
ail et autres oignons et échalotes, en petites quantités, agrumes, en petites quantités, restes de repas préparés, en petites quantités, n'hésitez pas à mettre également le résultat de vos désherbages, les plantes que vous arrachez une fois la saison terminée comme les pieds de tomates et de courgettes.
Voici une liste des aliments facilement compostables :
Pâtes cuites, riz cuit, tous les fruits et légumes, les restes de légumes cuits, thé, café, cendres de cheminée, sciure de bois, céréales, agrumes et tous les restes alimentaires d'origine végétale peuvent être facilement compostables.
La peau de l'avocat est tellement dure qu'il est déconseillé de la déposer sur le tas de compost. Si vous voulez absolument la composter, découpez-la en petits morceaux pour une décomposition plus rapide.
Boîtes à œufs
Les teintes sont compatibles avec les normes alimentaires. Les boîtes de couleur peuvent donc être compostées mais l'étiquette sur le couvercle doit être décollée. Déchirée en petits morceaux, la boîte à œufs est idéale, placée au fond du bio-seau, pour absorber le liquide de décomposition des déchets.
Les déchets lombricompostable
Les vers consomment les épluchures, le marc de café, les feuilles de thé, les restes de riz, pâtes… sans trop de sauces. Ne leur donnez pas de viande, de produits laitiers, d'agrumes, d'ail, d'oignons, de poireaux et de restes très épicés.
L'utilisation du carton en paillage
Ainsi, en le plaçant sur les planches potagères, il évite le développement des adventices. Puisqu'il laisse passer l'eau et qu'il pourrit et se décompose avec le temps, il amende le sol au même titre qu'un paillage en paille ou en feuilles morte.
Les haricots verts ont besoin d'un apport équilibré en nutriments, notamment en azote, en phosphore et en potassium. Les engrais organiques, tels que le compost ou le fumier bien décomposé, sont recommandés pour fournir ces éléments essentiels.
En tant que légume-feuille, le poireau a également besoin d'une bonne quantité d'azote, que vous pourrez lui apporter grâce à un engrais organique azoté type corne broyée au moment de la plantation, à raison de 100 g par m2 que vous intégrerez légèrement en griffant le sol.
Le chou a besoin d'un sol bien décompacté, moyennement nourri de compost ou de fumier bien décomposé. Il apprécie un sol frais et profond, plutôt argileux. Après la plantation, il est en général nécessaire de renforcer l'ancrage de ces plantes par un voire deux buttages.