La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
Si une croix est brodée dans un coin, on s'arrange pour qu'elle soit visible sur le dessus. Selon sa taille, on le plie soit en accordéon dans le sens de la longueur, puis on le plie en deux, soit en deux dans chaque sens, s'il est trop petit pour être plié en accordéon.
Préparer les ornements incombe habituellement au sacristain ou à un servant de messe. Celui-ci dispose alors sur le meuble de la sacristie (ou chasublier) les ornements du prêtre de la manière suivante : Il étend d'abord la chasuble à plat sur le meuble, en mettant le dos de celle ci vers le haut.
Les calices des premiers temps du christianisme sont faits de matières courantes, bois ou argile. Ainsi, le calice de saint Jérôme est en argile blanche. Par la suite, Le calice est souvent en matière noble, or, argent ou vermeil, parfois incrusté de pierreries ou d'émaux.
La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la communion, prêtres, diacres ou laïcs députés à cet effet, pour transporter un petit nombre d'hosties consacrées, en vue de distribuer la communion en dehors de l'église ( ...
La patène (du latin patena, plat creux) : c'est le plat de forme circulaire et concave destiné à recevoir l'hostie.
Pour la célébration de la messe, le prêtre utilise le calice et la patène, le ciboire, le service de burettes, la sonnette d'autel, l'encensoir et la navette à encens, le bénitier et le goupillon (ou aspersoir).
Lorsqu'un autel est consacré dans son ensemble*, il possède généralement des reliques [6] enfermées dans une cavité, dite sépulcre[7]. Celles-ci sont placées dans un récipient, souvent accompagnées d'un texte commémorant la consécration et de trois grains d'encens[8].
L'ostensoir figure très souvent la forme d'un soleil, dans lequel un espace circulaire (la lunule) est aménagé au centre afin de recevoir l'hostie consacrée. Lorsque le prêtre installe l'hostie consacrée dans la lunule, il la soustrait au regard des fidèles grâce au voile huméral.
Les tremper dans un empois très ferme. Les serrer et les rouler dans un linge sec jusqu'au lendemain. Ils doivent rester entièrement humides. Avant de repasser un corporal, le disposer à droit fils dans sa longueur et sa largeur sans étirer les angles, afin que le pliage puisse être régulier.
Le ciboire (du latin ciborium, lui-même du grec kibôrion, qui signifie coupe), est un vase sacré, utilisé dans plusieurs liturgies chrétiennes.
L'hostie faite de pain azyme prend peu de place et se conserve bien. S'il reste des hosties consacrées après la communion, elles sont placées dans une pyxide ou dans un ciboire recouvert et rangé dans le tabernacle ; s'il est impossible de les y placer, elles doivent être mangées par le prêtre ou par les fidèles.
Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Dans l'Antiquité, construction en pierre de forme cylindrique ou quadrangulaire, sur laquelle on déposait les offrandes à la divinité. 2. Dans le culte catholique, table de pierre ou de bois sur laquelle est célébrée la messe.
Pour l'élément Terre : un pot en terre cuite, du bois, de la terre, du sel. Pour l'élément Eau : une coupelle ou une fiole d'eau, un vase de fleurs fraîches, des coquillages. Pour l'élément Feu : des bougies et des allumettes, de l'encens. Pour l'élément Air : des plumes, de l'encens, un diffuseur aérien.
L'autel est d'abord la table du dieu. C'est aussi le véhicule du sacrifice, qui doit obligatoirement s'y dérouler pour parvenir à la divinité. Cette fonction détermine même la forme des autels creux dont il a été fait mention.
On appele attributs des saints (en hagiographie) des caractéristiques figuratives (objets, animaux) des saints chrétiens utilisées dans les représentations artistiques qui permettent de les identifier.
En effet, le code des couleurs liturgiques se voit constitué en autorité par l'article XVIII des Rubricae generales du Missel Romain de 1570. Ces couleurs signifiantes sont le blanc, le rouge, le vert, le violet et le noir. Le blanc représente la pureté, la joie, l'innocence et la vérité absolue.
Se range dans le tabernacle. Plat rond, en métal, servant à l'oblation de l'hostie.
Penser également à retirer l'encens des encensoirs pour éviter la corrosion. - Les objets en verre ou en céramique (vases, soucoupes, jardinières) seront nettoyés à l'eau tiède savonneuse ; ne conserver que les objets en bon état.
Aujourd'hui un ciboire a la forme d'une coupe montée sur un pied et munie d'un couvercle. Son nom vient du latin et signifie « coupe ». Un tissu décoré appelé « pavillon » peut parfois le recouvrir. Elle est généralement rangée à la sacristie et on l'utilise en tête des processions.
En général, les prêtres choisissent des blancs liquoreux de type Sauternes ou Monbazillac. Certains optent pour des rouges puissants, un Cahors par exemple supportant mieux la dilution à l'eau dans le calice (le vin de messe est toujours mélangé à de l'eau contenue dans des burettes).
On sait aussi que jusqu'au XIIIème siècle, les fidèles à la messe buvaient le vin, et ensuite ce sont uniquement les prêtres qui peuvent boire le vin et si possible du bon vin !