D'ailleurs, pendant un certain temps, au Moyen Âge, l'Église contrôle la prostitution qui est chose légale. Cependant, il est interdit aux femmes mariées, aux religieuses et aux enfants de s'y livrer. De plus, les femmes doivent être de l'extérieur de la ville afin d'éviter l'inceste.
En théorie comme dans la pratique, les femmes au Moyen Âge devaient donc être soumises aux hommes, car elles étaient jugées inférieures à eux. Mais un examen plus fin des sources dévoile qu'en privé, voire en public, elles ont pu revendiquer et exercer une certaine influence, et même un pouvoir manifeste.
Les femmes portaient une robe. Ce mot désignait l'ensemble du vêtement féminin. Les femmes du peuple portaient une cotte sans manches ou à manches courtes (rallongées en hiver par laçage ou épinglage) sur leur chemise.
Au Moyen-âge, les femmes ne portaient ni protections, ni sous-vêtements, leurs jupons faisant l'affaire.
La robe traditionnelle s'appelle la coule. Par dessus, les frères portaient une longue tunique. Une pièce rectangulaire noire, serrée par une ceinture, servait également de tablier de travail. On l'appelait le scapulaire.
Jeanne d'Arc (1412-1431) est une héroïne de l'histoire de France de la fin du Moyen Âge ayant eu une influence majeure dans la guerre de Cent Ans.
Le latin fēmĭna était en concurrence sur le territoire gallo-romain avec les mots mulier (« femme ») et uxor (« épouse »). Ces deux derniers mots passeront en ancien français, sous la forme : moillier (« épouse, femme ») et oissour (« épouse »).
Même mariées, les femmes exercèrent de nombreux métiers au moyen-âge: en ville elles peuvent travailler dans le commerce, le secteur du textile et de l'alimentation (boulangerie, fabrication de la bière et industrie laitière) ou bien en tant que lingères, bonnetières, couturières, blanchisseuses, servantes.
Du Moyen Âge à nos jours les femmes ont eu un rôle dans le monde du travail. Elles ont toujours été présentes mais bien souvent dans l'ombre. Afin d'obtenir une place réelle et reconnue, de nombreuses femmes ont au cours de l'histoire lutté pour l'égalité.
"Chevaleresse", un terme employé au Moyen Âge
Avec "chevalière", ces deux mots sont en usage au Moyen Âge. Ils ne désignent pas la femme du chevalier, non, mais bien la cavalière qui combat à cheval.
Elles sont souvent confiées à un monastère pour y parfaire leur éducation et devenir ainsi de futures bonnes épouses dévouées. À la campagne, les jeunes filles restent auprès de leur famille, et aident aux tâches ménagères et aux champs.
La raison ? Elles sont trop faibles physiquement et elles doivent s'occuper des enfants ! C'est ainsi que, peu à peu, les femmes sont exclues du travail. Bien sûr, il y a toujours des femmes qui ont une activité.
Il y a moins de secteurs "interdits" aux hommes par la tradition, même si certains métiers ont une image plus virile. Ainsi les professions liées aux valeurs de force et de combat, policiers, militaires, ou nécessitant une certaine endurance physique, pompier, bûcheron, forgeron, agriculteur...
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Quelle est l'étymologie du mot femme ? Le mot femme provient du mot latin femina . En latin, le nom femina provenait d'un verbe proche de sucer , allaiter . Ce nom latin a d'abord servi à dénommer la femelle d'un animal, puis une femme humaine, puis l'épouse d'un homme.
( X e siècle) de l'ancien français mercit (881), issu du latin mercēdem , accusatif de merces « salaire, prix, récompense », tardivement « faveur, grâce ». (Vers 980) merci (Vie de Saint Léger).
Surnommée Jeanne la Pucelle ou la Pucelle d'Orléans, Jeanne d'Arc (1412-1431) est une figure incontournable de l'histoire de France.
C'est généralement une activité réalisée par les paysans en plus de leurs travaux à la ferme. En effet, ils n'ont pas assez de revenus leur permettant de payer toutes les taxes dont ils doivent s'acquitter. La palette des métiers est variée : charpentier, cordonnier, tisserand, meunier, forgeron, tanneur, boulanger...
Les chaussures au Moyen-âge sont très raffinées pour les nobles et sont confectionnées en cuir très souple. La poulaine est, au XVème, la chaussure de préférence pour les classes supérieures. De forme allongée et pointue, elles pouvaient mesurer jusqu'à 50 cm, selon la classe sociale.
Lorsque l'on consulte malgré tout les sources écrites médiévales sur le sujet, on découvre que les couleurs principales au Moyen Âge sont au nombre de six : blanc, jaune, rouge, vert, bleu et noir. Le blanc et le noir sont donc considérées comme des couleurs.
Cape poncho femme | La Redoute.