Le système de numération octal est le système de numération de base 8, et utilise les chiffres de 0 à 7.
Dans ce système de numérotation, un nombre peut être noté entre parenthèses avec l'indice 8 pour le différencier des autres bases de numérotation [ par exemple : (126)8 ]. Une autre façon d'écrire un nombre octal est d'ajouter à sa droite la lettre O en majuscule.
Pour passer du binaire en octal : on parcourt le nombre binaire de la droite vers la gauche en regroupant les chiffres binaires par paquets de 3 (en complétant éventuellement par des zéros). Il suffit ensuite de remplacer chaque paquet de 3 par le chiffre octal.
En base 8, le principe est le même, il faut diviser le nombre à convertir par la plus forte puissance. C'est ainsi que 98 sera divisé par 64 et vous ne retiendrez que la partie entière du quotient. Les calculs en cascade se font horizontalement, de la gauche vers la droite X Source de recherche .
décimal → octal (hexadécimal) La conversion correspond à des divisions entières successives par 8 (16). Le nombre octal (hexadécimal) est obtenu en prenant les différents restes du dernier vers le premier.
Par exemple, la représentation binaire du nombre décimal 74 est 1001010, que l'on groupe en (00)1 001 010 ; ainsi, la représentation octale est 1 pour 1, 1 pour le groupe 001, et 2 pour le groupe 010, ce qui donne 112. Le système octal est quelquefois utilisé en calcul à la place de l'hexadécimal.
pour passer d'une base 16 à 8, tu peux passer en binaire puis prendre les chiffres par 3. C'est une astuce. On peut toujours utiliser la division successive, mais diviser de l'hexadécimal, c'est pas nécessairement facile...
Pour convertir un nombre décimal en hexadécimal, la méthode est similaire au binaire, sauf que cette fois on divise par 16. 11 = 16 x 0 + 11 (c'est à dire B) Attention, il faut bien lire de bas en haut ! 185 en base 10 vaut donc B9 en hexadécimal.
La méthode la plus simple pour convertir un nombre décimal en binaire est la méthode euclidienne. On divise le décimal par 2, on note le reste de la division 1 ou 0. On réapplique le même procédé avec le quotient précédent, et on met de nouveau le reste de côté. On réitère la division jusqu'à ce que le quotient soit 0.
Le premier rang (en partant de la droite) est le rang 0, le second est le 1, etc. Pour convertir le tout en décimale, on procède de la manière suivante : on multiplie par 20 la valeur du rang 0, par 21 la valeur du rang 1, par 22 la valeur du rang 2, [...], par 210 la valeur du rang 10, etc.
Sur 8 bits le plus grand entier positif possible est 11111111 (soit 255) et le plus petit 00000000 (soit 0), on peut donc représenter 28 entiers. Propriété :Plus généralement, nous pouvons dire que pour une représentation sur n bits, il sera possible de coder des valeurs comprises entre 2n-1 et 0, soit 2n entiers.
Ce nombre se lit donc : cinq quintillions, huit cent quatre-vingt mille quadrillions, cinq cent quarante-quatre mille cinq cent douze trillions, quatre cent cinquante mille deux cent dix-sept billions, huit cent dix mille cent vingt-trois millions, cent quatre-vingt-dix mille deux cent vingt.
Ex : On veut additionner 34 cinq et 23 cinq. 4 + 3 = 12 en base 5.
on utilise un nombre petit de symboles (les chiffres) dont la valeur dépend de la position. Chaque décalage vers la gauche du symbole le multiplie par une certaine quantité appelée la base. Par exemple, en écriture décimale 2345 signifie 5+4×10+3×100+2× 1000. C'est ce que l'on appelle la numération de position.
Pour convertir un nombre décimal en nombre binaire (en base B = 2), il suffit de faire des divisions entières successives par 2 jusqu'à ce que le quotient devienne nul. Le résultat sera la juxtaposition des restes. Le bit de poids fort correspondant au reste obtenu à l'ultime étape de la division.
Pour poser une addition en base 4, on utilise exactement les mêmes règles que d'habitude, il faudra juste faire très attention en additionnant et en ajoutant les retenues. Exemple : le nombre 14 s'écrit 32 en base 4, et le nombre 11 s'écrit 23 en base 4. restante : 1+3+2=12, j'inscrit mon résultat.
Et cette écriture en base 2 n'utilise cette fois que des chiffres pris dans l'ensemble {0,1}. Par exemple, le nombre 27 se décompose en base 2 sous la forme 27=16+8+2+1=1×16+1×8+0×4+1×2+1×1, et son écriture en base 2 est donc 11011.
La numération ternaire classique, ou à base 3, utilise les chiffres: 0, 1 et 2. On compte: 0, 1, 2, 10, 11, 20, 21, 22, 100 … En binaire on parle de bit; en ternaire, les chiffres sont appelés: trit (trinary digit).
La conversion de la partie fractionnelle s'effectue par des multiplications successives par 2. La partie entière du résultat obtenu à chaque multiplication (1 ou 0) représente alors le bit correspondant. L'emplacement des bits s'effectue de la gauche vers la droite à partir de la virgule binaire.
La base hexadécimale consiste à compter sur une base 16, c'est pourquoi au-delà des 10 premiers chiffres on a décidé d'ajouter les 6 premières lettres : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, A, B, C, D, E, F.
En informatique, outre la base 10, on utilise très fréquemment le système binaire (base 2) puisque la logique booléenne est à la base de l'électronique numérique. Deux symboles suffisent: 0 et 1. Cette unité élémentaire ne pouvant prendre que les valeurs 0 et 1 s'appelle un bit (de l'anglais binary digit).