Il existe sept noms de notes : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si. Il n'en existe pas d'autres. Ces notes peuvent être modifiées (plus précisément la hauteur du son) par les altérations telles que le # (dièse) ou le b (bémol).
À Retenir : dans l'ordre suivant : do(C), ré(D), mi(E), fa(F), sol(G), la(A), si(B), do(C), ré(D),… Pour les apprendre, il suffit de les répéter en boucle dans la tête, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si, Do, Ré…
Il existe sept principales formes ou figures de note (et 7 silences musicaux de même durée) : la Ronde, la Blanche, la Noire, la Croche, la Double croche, la Triple croche, la Quadruple croche. Les différentes figures de note: ronde, blanche, noire, croche…
C'est à un moine toscan, le musicien Guido d'Arezzo (995–1050), que l'on doit les noms des notes de la gamme que nous utilisons aujourd'hui. Elles ont été pensées selon un chant religieux, l'hymne à St Jean-Baptiste. Pour le créer, le moine il a utilisé les initiales des sept phrases de cette chanson.
Les notes. Il existe 7 notes naturelles : Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si. Ces notes sont répétées dans le même ordre pour atteindre des tons plus graves ou plus aigus. Chacune de ces répétitions est appelée une octave.
Sept noms de notes
Cette notation française des notes (Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La et Si) a été initiée par le moine italien Guido d'Arezzo (XIème siècle) en s'inspirant d'un chant religieux latin : l'Hymne de Saint Jean-Baptiste.
Le do est la seule note de musique à avoir changé de nom. Le nom ut est cependant conservé dans les termes techniques ou théoriques.
L'ut, renommé do, est surtout utilisé dans le langage théorique : clés, tonalités… La septième note si fut ainsi dénommée à partir des initiales de Sancte Ioannes dans le dernier vers.
Or qu'a-t-on la place d'inscrire à côté des chevilles de l'instrument pour faciliter le travail des accordeurs ? Seulement A B C D E F et G. Une différence est à noter toutefois entre anglo-saxons et germains : pour les premiers, le Si correspond au B tandis que pour les seconds, cette même note se dit H.
Etymologie du nom des notes de musique
C'est Guido d'Arezzo, théoricien de la musique qui, en 1028, s'inspira d'un hymne des vêpres pour trouver un nom à chaque note de l'octave. Dans un premier temps, la gamme utilisée par Guido d'Arezzo ne comportait que 6 notes. On a donc obtenu : ut, ré, mi, fa, sol, la.
Section 1 : Située à droite et la plus grande permet de retranscrire presque toutes les idées. 2 Section: À gauche, celle-ci permet de citer les différents points clé et à les résumer. Section 3 : En dessous, elle permet de synthétiser les points de façon claire et concise.
Un neume se lit toujours de gauche à droite (comme en musique moderne) mais de bas en haut quand les notes sont sur la même colonne. Prenons un exemple : Voici trois notes en notation moderne. De la première à la seconde, on monte en fréquence, de la seconde à la troisième également.
La gamme est une suite de 8 notes qui se succèdent de manière ascendante : du grave à l'aigu (do, ré, mi, fa, sol, la, si, do) ; ou de manière descendante : de l'aigu vers le grave (do, si, la, sol, fa, mi, ré, do).
Une altération se place toujours devant la note (alors qu'on dira le contraire, par exemple "F dièse"). Dans ce cas, on dit que la note est altérée. Les altérations placées au cours du jeu sont accidentelles (contrairement à celles placées après la clef, donc l'armure.
G= sol. do, ré, mi, fa, sol, la, si, do, s'écrit donc: C, D, E, F, G, A, B, C.
F = FA (FACILE !)
C'est un moine bénédictin italien du 11ème siècle du nom de Guido d'Arrezo (992-1050), qui posa les bases du Solfège et qui met au point le système de notation musical que nous employons en France et dans les pays Latins.
Le découpage de l'octave en 12 intervalles est mathématiquement optimal: il permet une quinte la plus juste possible, dans un format compact, et dans un tempérament égal (avec des intervalles égaux).
Guido d'Arezzo, un moine italien du 11e siècle.
Les notes modernes
Alors, l'Italien Guido d'Arezzo, moine bénédictin du début du XI e siècle, s'est servi des premières syllabes pour créer le nom des notes utilisées aujourd'hui. Il a inventé la solmisation et ce fut une révolution dans l'enseignement musical.
En solfège, le ton correspond à la seconde majeure. -fa, etc. Le ton est le complémentaire de la quarte pour former une quinte (voir l'article gammes et tempéraments). Traduit en addition d'intervalles, on posera : une quarte plus un ton valent une quinte.
Tim Storms détient le record de la note la plus grave jamais chantée. D'après le Guinness Book, elle a été officiellement flashée au sous Sol-8, à 0.189 Hz ! (sic) Autant dire que personne ne l'entendra jamais.