Ainsi, les cumulonimbus sont réputés extrêmement dangereux pour la navigation aérienne et il est recommandé de les éviter autant que possible. Ils peuvent être extrêmement sournois et un pilote inattentif peut se retrouver dans une situation très dangereuse tout en volant dans un air absolument calme en apparence.
L'albatros est peut-être le prince des nuées, mais le roi, c'est lui – le cumulonimbus. Car il est le plus haut, le plus puissant, le plus dangereux des nuages, lui qui génère les orages - éclairs, tonnerre, pluies diluviennes et vents violents.
Le cumulonimbus : 300 m a 17 km
Ce sont des cumulus annonciateurs de mauvais temps : orages, averses, grêles. Ils sont formés d'énormes volutes au sommet et peuvent engendrer de très violentes intempéries. Ils sont d'ailleurs les seuls nuages à provoquer des orages.
CUMULONIMBUS. Ce sont des cumulus de pluie, d'averses, de grêle... Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
CUMULONIMBUS (Cb) - 600 à 17 000 m d'altitude
Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.
Ainsi, un cumulonimbus est un grand nuage noir floconneux porteur de pluie et d'orage. Un nimbostratus consiste en une couche de nuages bas porteurs de pluie. Le nom que porte un type de nuages indique à quelle altitude il se rencontre.
Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
A 10 000 mètres d'altitude, inutile de vérifier la météo : il fait toujours beau. C'est très difficile à imaginer quand on est sous la grisaille ou la pluie, mais il existe un lieu privilégié où les nuages forment un matelas sur lequel s'allonger pour mieux profiter du soleil.
Nuages bas : stratus, stratocumulus, nimbostratus
Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Stratus (St) | Altitude : 0 à 1 200 m
Nuage que l'on retrouve à une altitude comprise entre 0 et 1 200 mètres. Sous forme de couche uniforme, grise ou blanchâtre. Il s'apparente au nuage bas. Peut donner des "petites" précipitations.
En règle générale, la base des nuages de l'étage supérieur se trouve à une altitude dépassant environ 5 000 mètres (16 500 pieds); celle des nuages de l'étage moyen, à une altitude comprise entre 2 000 et 7 000 m (6 500 à 23 000 pieds); et celle des nuages de l'étage inférieur, à une altitude maximale de 2 000 m (6 500 ...
Lorsqu'un avion rencontre des courants d'air ascendants et descendants, cela peut entrainer des variations d'altitude. L'avion perd subitement quelques dizaines de mètres d'altitude. Rien de très important mais la sensation de chute en cabine peut parfois impressionner les passagers. On parle parfois de « trou d'air ».
La teneur en eau liquide dans un cumulus varie entre 0.25 et 0.30 g/m3. Nous garderons la plus haute valeur. Cela signifie que dans chaque mètre cube de nuage, nous avons 0,30 gramme d'eau. Comme 1 litre d'eau équivaut à 1 000 grammes, nous obtenons que dans un mètre cube de nuage, il n y a que 0,00003 litre.
Le nuage, en apparence statique, a en réalité une dynamique importante. Les courants ascendants à l'intérieur agitent les gouttes d'eau, leur permettant de rester en suspension. Fort de tous ces mouvements, les gouttelettes, et donc le nuage, ne tombent pas.
Inversement, les nuages disparaissent (en réalité, ils s'évaporent) lorsque la quantité de vapeur d'eau diminue ou qu'il fait un peu plus chaud. Si on reprend l'exemple du brouillard, ce dernier se dissipe en général au cours de la matinée dès que la température de l'air a assez remonté.
Les grands déserts des côtes orientales des continents, jouxtant les eaux froides et poissonneuses des océans tropicaux (Atacama au Chili et sa prolongation au Pérou ; Sahara mauritanien ; Namibie…), sont des régions du monde où il ne pleut quasiment jamais.
L'eau de pluie s'écoule lorsqu'elle rencontre un sol imperméable et dévale de l'amont vers l'aval. Le ruissellement part de la source en passant par le ru, le ruisselet, le ruisseau, la rivière, le fleuve pour se jeter dans les mers et les océans.
Les averses de grêle nocturnes sont moins nombreuses mais des chutes dévastatrices peuvent encore se produire notamment en début de nuit.
La présence de poussière tend à donner une coloration jaunâtre au ciel et aux nuages. Or, les orages violents sont plus susceptibles de soulever des quantités significatives de poussière.
La formation de la grêle n'a donc rien à voir avec celle de la neige. Cette dernière se forme dans des nuages stratiformes à faible mouvement vertical, à des températures sous zéro degré Celsius et dans une masse d'air contenant relativement peu d'humidité où il y a peu de gouttelettes surfondues.
Lorsque la pluie arrive, elle s'annonce d'abord par des nuages d'altitude effilés, comme les cirrus. Petit à petit, ils s'épaississent, moutonnent. Les stratocumulus, nuages de basse altitude (inférieure à deux kilomètres) apparaissent alors comme ici, en rouleaux régulièrement disposés sur le ciel.
En effet, la lumière solaire traverse une couche plus importante d'atmosphère : la plupart des couleurs de la lumière ont été dispersées, dont le bleu, et la couleur du ciel et du soleil vire alors au rose, orange ou rouge.
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire.