Lorsque, pour répondre à une question de recherche il faut avoir recours à des chiffres, à des statistiques, pour expliquer, décrire ou « mesurer » un ou des phénomènes, une recherche empruntant aux méthodes quantitatives est nécessaire.
Bien qu'il existe de nombreuses autres méthodes de collecte de données quantitatives. Les méthodes les plus courantes et les plus utilisées pour la collecte de données sont l'échantillonnage probabiliste, les entretiens, l'observation par questionnaire et l'examen de documents.
Les données quantitatives permettent d'avoir une vision globale, tandis que les données qualitatives apportent plus de détails et d'humanité aux résultats de vos sondages. Voyons comment utiliser chacune de ces méthodes dans un projet d'étude.
Une étude quantitative sert à prouver ou démontrer des faits en quantifiant un phénomène. Les résultats sont souvent exprimés sous forme de données chiffrées (statistiques). Cette méthode peut par exemple être menée à l'aide : D'un sondage (réponse à une question).
L'étude qualitative, quant à elle, est une méthodologie d'étude basée sur la compréhension des comportements, des besoins et de la perception des individus. Si l'approche quantitative vise à répondre à la question « qui » ou « quoi », l'analyse qualitative va elle, expliquer « comment » et « pourquoi ».
Lorsqu'on fait une analyse quantitative, il faut s'interroger sur le type de variables et ensuite on choisit l'outil à utiliser. On peut distinguer entre deux grands types de mesures c'est-à-dire entre deux types d'informations qu'on veut avoir des variables uniques : mesures de tendance centrale. mesures de dispersion ...
Il est possible de distinguer huit étapes lors de la réalisation d'une étude qualitative : délimiter la question de recherche, émettre des hypothèses, choisir une méthode, définir un échantillon, préparer l'enquête, collecter les données, analyser les résultats et les présenter.
Les méthodes de recensement de données quantitatives permettent d'analyser une grande masse d'informations via des procédés prédéfinis. Les informations qu'elles délivrent peuvent être analysées et comparées à l'aide de procédés statistiques.
La sociologie quantitative, avec ses « variables » dont on analyse les « effets », descend directement du tableau des « causes constantes » et des « propensions » des individus, inventés par Quetelet.
L'approche qualitative permet d'explorer les émotions, les sentiments ainsi que l'expérience personnelle des individus concernés, contribuant ainsi à une meilleure compréhension des interactions entre les sujets et partant du fonctionnement des sociétés.
Les données quantitatives sont tout ce qui peut être compté ou mesuré. Elles se réfèrent à des données numériques. Les données qualitatives sont descriptives, se référant à des choses qui peuvent être observées, mais pas mesurées, comme les couleurs ou les émotions.
Les études quantitatives ont une limite : elles constatent une fréquentation, des pratiques, des satisfactions, des attentes, mais elles n'expliquent en aucun cas pourquoi cette situation existe.
Une hypothèse est une supposition qui est faite en réponse à une sous-question de recherche et qui aide à répondre à la question centrale.
Les questions quantitatives sont objectives. Ces questions sont fermées, ce qui les rend plus faciles et plus rapides à répondre. Les questions quantitatives rassemblent des données numériques, qui peuvent être analysées à l'aide d'une plateforme d'analyse de données.
Dans le cadre d'une étude qualitative, il convient d'utiliser des questions ouvertes afin de permettre aux participants de fournir des réponses complètes et approfondies. Évitez les questions de type « oui/non » et les questions dont la réponse se résume à un seul mot.