Plus beau poème du monde ? La courbe de tes yeux, Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 | Paul eluard poeme, Poeme francais, Poeme et citation.
1. "Demain, dès l'aube", Victor Hugo.
L'Homme et la Mer.
Mon rêve familier (Paul Verlaine), La courbe de tes yeux (Paul Éluard), Nos deux corps sont en toi (Marguerite de Valois), Les roses de Saadi, Le serment (Marceline Desbordes-Valmore), je meurs (Louise Labé), À une passante (Charles Baudelaire) font partie des poèmes d'amour incontournables.
Parmi les poèmes les plus connus : - l'« Albatros », qui dévoile l'analogie entre « le[s] vaste[s] oiseau[x] des mers » persécuté par les marins sur le pont du navire et le poète, « Prince des nuées » que « ses ailes de géant [l] empêchent de marcher ».
Demain, dès l'aube de Victor Hugo est possiblement le plus beau poème de l'histoire. Publié dans le recueil Les Contemplations (1856), il se compose de trois quatrains d'alexandrins en rimes croisées.
Une des sections du recueil Les fleurs du mal a pour titre « La Mort » et est composé des poèmes suivants : « La mort des amants » (CXXI), « La mort des pauvres » (CXXII) et « La mort des artistes », tandis que le dernier chapitre (CXXVI) « Le Voyage » s'achève sur une invocation de la mort : « Ô Mort, vieux capitaine ...
la pesanteur du souvenir et la vacuité de l'existence (II - J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans) ; un mal-être intense, où l'instinct de mort s'installe (III - Je suis comme le roi d'un pays pluvieux) puis triomphe (IV - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle).
Le haïku, qués a quo ? Un poème d'origine japonaise qui remonte à la nuit des temps, le plus court du monde ! Trois vers : le premier de cinq syllabes, le deuxième sept et le troisième cinq. Pas de verbe.
Shakespeare, Baudelaire, Leopardi, Allan Poe, García Lorca, Pablo Neruda, Edgar Lee Masters, Emily Dickinson, Giovanni Pascoli ou Jacques Prévert… les poèmes des 19 plus grands poètes du monde y seront déclamés.
Chanson d'automne est probablement le poème de Paul Verlaine le plus beau et le plus célèbre. Il est paru dans son 1er recueil poétique, Poèmes saturniens (1866).
Je t'aime aujourd'hui comme le soleil qui brille / Au-dessus de nos vies à jamais réunies, Je t'aime cette nuit, alors que la lune luit / Sur tes cheveux d'or, mon ange assoupi. Je t'aimerai demain, embrasserai ta main, /Et t'entraînerai, joyeux, sur l'éternel chemin.
Ces vers ouvrent « El Desdichado », le poème le plus célèbre de Nerval, qui offre la représentation d'un poète romantique et inconsolé. « El Desdichado » est un personnage emprunté à Walter Scott, « déshérité », « dépossédé de son château.
Le monde devient merveilleux et lumineux quand je suis avec toi. J'ai besoin d'être avec toi, de vivre et de jouir de notre si bel amour. Sans toi, il n'y a pas d'amour, sans toi, je n'existe pas. Sans toi, le monde est vide et n'a aucun sens, je te demande de rester à mes côtés, car j'aurai toujours besoin de toi.
L'homme et la mer.
« La mort » est la dernière section des Fleurs du mal de Baudelaire. Elle est la dernière force permettant au poète d'échapper au spleen. Dans « La mort des amants », il évoque l'idée d'un bonheur futur pour les amants dans une réalité autre que celle dans laquelle ils ont vécu.
Cette quête, qu'il exprime dans Les Fleurs du Mal à travers les poèmes de la section « Spleen et Idéal », comme « L'horloge », « Le goût du néant » ou « L'ennemi », se traduit par une invitation au voyage, un attrait pour l'exotisme et une attirance pour la femme et le vin...
Sa réputation de « fauteur de troubles » mise à part, Stephán G. Stephansson est considéré comme « le plus grand poète du monde occidental ». Il est certes un poète des plus prolifiques, publiant plus de 2000 pages de poésie, la plupart d'une très haute tenue.
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne.
Tu es au crépuscule un nuage dans mon ciel, ta forme, ta couleur sont comme je les veux. et mon songe infini s'établit dans ta vie.
Les poèmes contenant « des passages ou expressions obscènes et immorales » étaient : Les Bijoux, Le Léthé, A celle qui est trop gaie, Femmes damnées, Lesbos et Les Métamorphoses du vampire . Ces six poèmes devaient être retranchés du recueil.
Ces poèmes condamnés pour « un réalisme grossier et offensant pour la pudeur » et des « passages ou expressions obscènes et immorales » resteront interdits de publication en France jusqu'à ce que la Cour de cassation rende, le 31 mai 1949 , un arrêt annulant la condamnation de 1857.