Les poissons d'élevage les plus communs sont le bar, la daurade royale, le saumon, le turbot et le maigre pour les espèces élevées en eau de mer. Quelques pisciculteurs élèvent également de la truite en eau de mer.
Sur le plan nutritionnel, les poissons d'élevage sont équivalents aux espèces sauvages. Leurs protéines sont de bonne qualité, ils apportent des vitamines (A, D, E et certaines du groupe B), des minéraux (phosphore) et des oligo-éléments.
Pendant longtemps, l'aquaculture a accru la demande de produits de la pêche. Les poissons d'élevage les plus prisés sont des carnivores (saumon, daurade, bar, truite, turbot…) nourris avec des farines et huiles de « poissons fourrage » (anchois, sardines, merlans bleus…).
En hiver : la coquille Saint-Jacques, le colin, la lotte, le bigorneau, le bulot... En été : les moules, le merlu, le turbot, la crevette, le homard, la sardine, le thon blanc, la langoustine, etc. Au printemps : le merlan, la carpe, le hareng, le brochet, la raie, etc.
Traditionnellement, les régime complets se trouvent sous forme de granulés, ou d'aliments semi-humides préparés à partir de différents ingrédients se rapprochant le plus possible des besoins nutritionnels du poisson entrainant le maximum de croissance.
On peut manger tous les poissons, en étant aussi raisonnable et sélectif que possible. La meilleure solution est de diversifier les espèces. Il ne faut pas se contenter d'acheter de la sole et du cabillaud.
Si la majorité des poissons sont carnivores, tel que la daurade, le bar ou encore la truite, certains poissons sont herbivores, se nourrissant exclusivement d'algues ou de plantes aquatiques, le poisson chirurgien par exemple.
L'espadon. D'un point de vue général, il est recommandé d'éviter les poissons prédateurs. En effet, ces gros spécimens sont souvent riches en mercure parce qu'ils consomment eux-mêmes d'autres petits poissons contaminés au mercure. C'est le cas de l'espadon dont la chair peut rappeler celle du thon.
Acide gras oméga-3
C'est le « bon » cholestérol dont a besoin notre corps pour fonctionner convenablement. La teneur en oméga-3 dépend de la variété de poisson. Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Avant d'être cuites au barbecue, il est en effet conseillé de vider les sardines. Cette étape, plutôt simple, diffère de la façon dont on vide les autres poissons, car les sardines sont plus petites et fragiles que leurs congénères. Pour les vider, il ne faut l'ouvrir totalement.
Gros consommateurs de sardines
Les Portugais sont les plus gros consommateurs de poisson en Europe, avec une moyenne annuelle de 56 kg par personne. Et sont notoirement friands de sardine : selon les calculs de l'IPMA, ils en ont mangé 13 par seconde en juin, le mois des fêtes populaires.
Avec le poisson, nous ingérons également du mercure des rivières, des mers et des océans. En quantités excessives, le mercure est très toxique, et particulièrement le méthylmercure, qui représente 90 % du mercure dans le poisson.
L'intérieur des ouïes doit être rouge; les ouïes ne doivent pas être décolorées, distendues ou enflées; L'œil doit être clair et non vitreux; En règle générale, les poissons doivent consommer la nourriture et nager activement.
On se doutait déjà que la panure et la friture n'étaient pas ce qu'il y avait de plus conseillé pour la santé. Mais selon une étude publiée ce jeudi, le poisson pané, longtemps star des cantines, serait véritablement à éviter. Il contiendrait en effet bien trop d'additifs, d'arômes et de sucres ajoutés.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Les poissons panés surgelés qui arrivent en tête de notre classement sont de la marque Picard. Notés 90/10 sur Yuka, ils sont garantis 100 % filet, et sans substance à risque. Nutri-score A, les cabillauds panés MSC Picard sont peu caloriques (154 kcal pour 100 g), peu sucrés et peu salés.
Le Merlu fait partie des poissons blancs les plus connus et réputés. Pêché dans les eaux de la Manche, il mesure de 27 cm à 1 m de long. Si vous cherchez un moyen pour que vos enfants mangent du poisson, il est idéal. Le dos de merlu est une excellente alternative au dos de Cabillaud.
Néanmoins, il est recommandé de n'en consommer qu'une fois par semaine, soit un peu moins souvent que le hareng, la morue ou le maquereau tacheté qu'il est possible de consommer sans risque deux fois par semaine selon l'OMS. Enfin, le saumon, la truite et l'aiglefin figurent parmi les espèces les moins contaminées.
Les parasites, les maladies et les évasions potentielles des fermes piscicoles à filets ouverts mettent en danger tous les saumons sauvages du Pacifique, y compris le saumon chinook, qui constitue l'aliment principal des orques résidentes du Sud, une espèce menacée.
Protéiné Pour peu de calories et de gras, le tilapia offre une teneur en protéines très intéressante. Les protéines sont réputées pour leur rôle dans la croissance et le maintien de la masse musculaire. Saviez-vous qu'elles sont aussi impliquées dans le sentiment de satiété et la fonction immunitaire?
Les avantages de la viande par rapport au poisson
La viande est une bien meilleure source de fer que le poisson, en particulier les viandes rouges. Or, le fer est indispensable à la synthèse des globules rouges : sa carence fait d'ailleurs partie des principales sources d'anémie.
Alors, un bon conseil mangez régulièrement du poisson et si possible du poisson gras au moins 2 fois par semaine : quoi de meilleur que des sardines en conserve sur du pain frais et un filet de citron - une darne de saumon et un filet d'huile d'olive - un filet de hareng pommes à l'huile - des maquereaux en papillotte.
Le régime pesco-végétarien ou pescétarisme.
Les personnes se définissant comme pesco-végétariennes suivent un régime végétarien et mangent du poisson. La définition de végétarisme exclut de manger toute forme de chaire animale. Je peux comprendre que l'on puisse vouloir indiquer que l'on ne mange pas de viande.