L'âge, la culture, le sexe, la situation familiale et matrimoniale, la gestion des soins, la situation socio-économique et de nombreux autres facteurs affectent l'équilibre travail-vie personnelle.
L'intensité et le temps de travail
un manque de clarté sur les objectifs. un manque de clarté sur les délais. La surcharge des tâches professionnelles et le manque de temps. La polyvalence subie.
L'évaluation des facteurs de risques psychosociaux doit être issue des échanges por- tant sur les situations réelles de travail au sein des unités de travail. Elle implique que les membres du groupe de travail puissent s'exprimer, sans entrave ni censure, sur les dimensions concrètes du travail évoquées dans la grille.
Un facteur psychosocial en milieu de travail est un aspect non physique du milieu de travail qui se développe en fonction de la culture, des politiques, des attentes et de l'attitude sociale adoptées par l'organisation.
une démotivation, une baisse de créativité, une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des malfaçons, une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail, des atteintes à l'image de l'entreprise…
Les facteurs sociaux font référence à la manière dont les relations, la démographie et les structures sociales, comme la culture et l'environnement, peuvent avoir une incidence sur les préjudices liés au jeu.
Manque de reconnaissance et épuisement
D'ailleurs, le baromètre estime que les deux principaux facteurs de stress au travail (qui sont en hausse respective de 1 et 7 points par rapport à 2016) sont la mauvaise organisation du travail (40%) ainsi que les conflits (37%).
Envoyer un signal fort aux équipes
Former et sensibiliser à la détection des risques psycho-sociaux permet d'envoyer aux équipes un signal fort. Ainsi, le sujet des RPS est pris au sérieux par la direction et les RH. Les managers mais aussi l'ensemble des collaborateurs doivent y avoir accès.
Les risques psychosociaux regroupent notamment le stress au travail (c'est-à-dire le déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes de son environnement de travail et la per- ception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face), les violences externes (insultes, menaces, agressions ...
Les trois dimensions de la santé mentale
La santé mentale positive qui recouvre le bien-être, l'épanouissement personnel, les ressources psychologiques et les capacités d'agir de l'individu dans ses rôles sociaux.
La dépression est l'une des maladies mentales les plus répandues - et parmi celles qui se traitent le mieux. Au Canada, à un moment ou l'autre de sa vie, une personne sur quatre souffrira d'une dépression assez grave pour devoir se faire soigner.
L'optimisme: La personne sait que ça ne va pas bien, mais se croit capable de s'en sortir. Le soutien social. Trouver des moyens de communiquer et de se soutenir. La capacité de faire face à sa peur.
Les causes du stress en milieu professionnel sont multiples : manque de reconnaissance, peur de ne pas être à la hauteur du poste confié, supérieur hiérarchique trop exigent, monotonie des tâches ou mutation dans une autre région.
Une tentative de définition générale des facteurs des risques humains serait qu'il s'agit d'une catégorie de risques professionnels relatifs aux conditions de travail dont les effets portent atteinte à la santé physique et mentale des travailleurs, regroupant notamment le stress, le harcèlement (loi du 6 août 2012 sur ...
En plus de leurs effets sur la santé des individus, les risques psychosociaux ont un impact sur le fonctionnement des entreprises (absentéisme, turnover, ambiance de travail…). Agir pour mieux les prévenir et en limiter leurs conséquences est aujourd'hui incontournable pour toute organisation.
Réglementation générale
4121-1 du Code du travail). Il lui revient d'évaluer les risques, y compris psychosociaux, et de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale de ses salariés.
La première liste d'indicateurs comporte six thèmes (temps de travail, mouvements du personnel, activité de l'entreprise, relations sociales, formation et rémunération, organisation du travail) ; la seconde en compte sept (accidents du travail, maladies professionnelles, situations graves, situations dégradées, stress ...
Sont classiquement distinguées la prévention primaire qui agit en amont de la maladie (ex : vaccination et action sur les facteurs de risque), la prévention secondaire qui agit à un stade précoce de son évolution (dépistages), et la prévention tertiaire qui agit sur les complications et les risques de récidive.
L'expression « risques psychosociaux » (RPS) regroupe généralement : le stress au travail (surcharge de travail, manque de moyens, manque d'autonomie…) ; les violences internes à l'entreprise (harcèlement, conflit…) ; les violences externes à l'entreprise (insultes, menaces, agressions…).
Les ressources ne manquent pas (heureusement) pour aider les entreprises à lutter contre les RPS chez leurs collaborateurs. De nombreux organismes sont à disposition comme AMELI, CARSAT, MSA, ARACT, ANACT, OPPPBTP, les services de santé au travail, les médecins du travail ou les IPRP spécialisés.
On qualifie de « risques psychosociaux » (ou RPS) les éléments qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la santé mentale des salariés au sein de leur environnement professionnel.