Derniers rapports spéciaux du GIEC
On peut les consulter sous la rubrique Rapports. Durant le sixième cycle d'évaluation, entre octobre 2018 et septembre 2019, le GIEC a apporté la touche finale à trois rapports spéciaux.
Le Résumé à l'intention des décideurs que le Groupe de travail III a rédigé à titre de contribution au sixième Rapport d'évaluation ainsi que des documents et informations supplémentaires peuvent être consultés sur le site: https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg3/.
Les auteurs des rapports se répartissent actuellement en trois groupes de travail: le Groupe de travail I – Les bases scientifiques physiques; le Groupe de travail II – Conséquences, adaptation et vulnérabilité; le Groupe de travail III – L'atténuation du changement climatique, à quoi s'ajoute l'Équipe spéciale chargée ...
Tout d'abord, le budget annuel du GIEC varie entre 5 et 8 millions d'euros, celui-ci étant financé par les 195 Etats membres de l'ONU qui y contribuent de « manière indépendante et volontaire ».
Activités et procédures du GIEC
La principale mission du GIEC consiste à évaluer, à chacun de ses cycles, l'état des connaissances les plus avancées relatives au changement climatique. Pour ce faire, il produit durant chacun de ses cycles : un rapport d'évaluation composé de plusieurs volumes.
Le dernier rapport du Giec confirme que le changement climatique concerne toutes les régions du monde, que l'adaptation est nécessaire et que les mesures d'atténuation seront moins coûteuses que l'inaction. Le travail du Giec s'organise en cycles d'évaluation.
Le GIEC est créé en 1988 à la demande du G7, afin de balayer tout risque de politisation de l'expertise climatique. Il découle de deux institutions des Nations Unies : l'Organisation Météorologique Mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE).
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Le 4 avril 2022 dernier est paru le nouveau rapport du groupe de travail III du GIEC (en anglais, IPCC — Intergovernmental Panel on Climate Change).
On pourra consulter le Résumé à l'intention des décideurs de la contribution du Groupe de travail I au sixième Rapport d'évaluation, ainsi que des documents et informations supplémentaires, sur le site: https://www.ipcc.ch/report/ar6/wg1/.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
A 69 ans, le Coréen Hoesung Lee a été élu à la présidence du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Il succède à Rajendra Pachauri, démissionnaire.
Le GIEC est le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Créé en 1988 par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation météorologique mondiale (OMM), il rassemble 195 États membres.
Le Giec est composé d'experts scientifiques (climatologues, économistes...) mandatés par les gouvernements des 195 pays membres. Ils sont chargés de dégager un consensus entre tous les pays, ce qui n'est pas toujours simple !
Vincent Courtillot, géophysicien, un temps directeur de l'Institut de physique du globe – comme Claude Allègre dans les années 1980 – et aujourd'hui membre de l'Académie des Sciences, incarne sans doute la figure la plus connue des climato-faussaires français actuels.
La conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques, qui s'est tenue du 30 novembre au 12 décembre 2015 au Bourget en France, est à la fois la 21e conférence des parties (d'où le nom COP 21) à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et la 11e conférence des parties ...
Le réchauffement du système climatique est sans équivoque, comme l'attestent l'augmentation observée des températures moyennes de l'air et de l'océan, la fonte généralisée de la neige et des glaces et l'élévation du niveau de la mer.
La COP15 sur la biodiversité est de celles qui visent à fixer de nouveaux objectifs et à rehausser le niveau d'ambition des États. À cet égard, elle embrasse elle-même un objectif ambitieux : le développement d'un cadre mondial commun pour restaurer et protéger la biodiversité pour l'après-2020.
Le rapport du GIEC souligne que les conséquences d'un réchauffement planétaire de 1 °C sont déjà bien réelles, comme l'attestent notamment l'augmentation des extrêmes météorologiques, l'élévation du niveau de la mer et la diminution de la banquise arctique.