Les risques d'image ou de réputation : c'est la perte de confiance, de crédibilité ou de notoriété d'une banque auprès du marché et de sa clientèle suite à un incident opérationnel et à d'autres évènements accidentels qui pourraient ternir sa réputation et dès lors ses perspectives et ses futurs profits.
Exécution, livraison et gestion des processus : par exemple, erreur d'enregistrement des données, défaillances dans la gestion des sûretés, lacunes dans la documentation juridique, erreur d'accès aux comptes de la clientèle et défaillances des fournisseurs ou conflits avec eux.
L'ouverture d'un compte à vue est une opération réglementée.
La banque est légalement obligée de procéder à un certain nombre de vérifications. Il vous sera aussi demandé de prouver votre identité à l'aide d'une pièce officielle, de justifier de votre domicile et de déposer un spécimen de votre signature.
Vous avez fourni des informations inexactes. Vous ne répondez plus aux conditions de domicile ou de résidence. Vous avez ouvert un 2e compte de dépôt en France qui vous permet d'utiliser les services bancaires de base. Vous avez fait preuve d'incivilités répétées envers le personnel de l'établissement de crédit.
Une banque a le droit de refuser l'ouverture d'un compte. Et, elle n'est pas obligée de justifier sa décision.
Si vous devez vendre une obligation avant sa date d'échéance, vous pourriez finir par la vendre pour moins que ce que vous avez payé pour elle. En raison du risque du marché Les principaux types de risque du marché sont le risque d'action, le risque de taux d'intérêt et le risque lié au taux de change.
Dans sa relation avec son client, le banquier est principalement tenu à deux séries d'obligations susceptibles d'engager sa responsabilité : une obligation de vigilance et une obligation de mise en garde.
Le risque juridique peut être défini comme l'expression et/ou la manifestation du non-respect des dispositions légales ou réglementaires auxquelles l'organisation est soumise pour toutes ses activités et relevant du périmètre de la Direction Juridique.
Risques d'accident (ex : accidents au travail) Risque d'invalidité (ex : accidents de la route) Risque de décès (ex : pollution grave)
Risque de concentration : le risque engendré par un portefeuille peu diversifié. Plus vous concentrez vos billes dans un nombre limité d'entreprises ou de secteurs du marché, plus les changements dans ceux-ci influeront sur votre rendement. Risque de prix : le risque que la valeur d'un titre en particulier baisse.
D'une part, la crise sur les banques qui est loin d'être terminée, contrairement à ce que certains veulent nous le faire croire. D'autre part, une crise politique, sociale et sociétale tend à s'installer en France, dans un contexte de forte inflation et d'augmentation des faillites d'entreprises.
Neuf risques naturels principaux sont prévisibles sur le territoire national : les inondations, les séismes, les éruptions volcaniques, les mouvements de terrain, les avalanches, les feux de forêt, les cyclones, les tempêtes et les tornades.
Le risque de défaut (ou débiteur)
Lorsque vous prêtez de l'argent à quelqu'un, il existe toujours un risque que ce dernier ne vous rembourse pas. Ce risque s'applique aux obligations. C'est ce que l'on appelle le risque débiteur ou le risque de défaut. Ce risque est naturellement fonction de la qualité de l'émetteur.
La responsabilité civile peut être engagée lorsque trois conditions sont réunies : un dommage, un fait générateur et un lien de causalité entre ce dommage et ce fait générateur.
Le banquier est soumis à certaines obligations envers son client : une obligation d'information de conseil et de mise en garde. L'intensité de ces obligations peut varier selon la nature de l'opération et le degré de qualification du client.
Le droit distingue deux responsabilités : la responsabilité pénale et la responsabilité civile. La responsabilité pénale a pour but de punir un coupable, alors que la responsabilité civile a pour but de réparer un dommage subi par une victime.
La classification des obligations selon leur objet. Obligations de faire, de ne pas faire et de donner. Le Code civil distingue les obligations de faire, les obligations de ne pas faire et les obligations de donner (art.
Il existe cinq sources d'obligations dans le Code civil : contrat (art. 1101), quasi-contrat (art. 1371), délit (1382), le quasi-délit (1383) et la loi elle-même (1370 al. 2 et 3) mais la doctrine classe les sources d'obligations en deux catégories : l'acte juridique et le fait juridique.
Au titre de leur obligation de vigilance dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme, votre banque peut vous demander de lui fournir : Tout élément permettant d'estimer vos ressources.