L'accident de décompression est un trouble au cours duquel l'azote, qui s'est dissout dans le sang et les tissus lorsque la pression était élevée, forme des bulles gazeuses lorsque la pression diminue. Les symptômes peuvent comprendre fatigue et douleurs dans les muscles et les articulations.
La plongée sous-marine fait partie des quelques sports pour lesquels il existe des contre-indications absolues : toute maladie qui peut être à l'origine d'un malaise : diabète, maladies du cœur ou des vaisseaux, maladies ORL, épilepsie et autres troubles neurologiques.
De même, à 20 m il pourra rester 1800/60 = 30 min, et à 30m : 1800/80 = 22 min et 30 s Page 8 On peut noter : qu'en surface (pression = 1 bar), lors d'un effort modéré, la consommation d'air d'un plongeur est d'environ 15 à 20 litres par minute.
Il n'est pas rare de ressentir de la fatigue suite à des plongées sans difficulté spéciale et en l'absence de signes de maladie de décompression (MDD), même s'il peut s'agir d'un symptôme de cette dernière.
Dans les 9 premiers mètres sous l'eau, les poumons remplis d'air poussent le corps vers la surface, obligeant à nager pour aller plus profond. La pression sur le corps double à partir de 10 mètres. A cette profondeur l'air compressé va réduire la taille des poumons de moitié.
Vous n'avez pas le niveau pour le site ou le type de plongée prévu. Vous avez une condition médicale (cardiaque, épileptique, enceinte…) ou psychologique (schizophrénie, paranoïaque, claustrophobie ou autres) qui ne permet pas de plonger. Il n'y a pas d'équipement de premier secours sur le bateau ou au club de plongée.
C'est la pression à laquelle est soumis le corps lors de la plongée qui va causer l'accident lors de la remontée à la surface. Si celle-ci est trop rapide, « l'azote se dilate dans le sang » ce qui créer une bulle qui peut se retrouver bloquée dans un vaisseau sanguin.
L'accident de décompression est un trouble au cours duquel l'azote, qui s'est dissout dans le sang et les tissus lorsque la pression était élevée, forme des bulles gazeuses lorsque la pression diminue. Les symptômes peuvent comprendre fatigue et douleurs dans les muscles et les articulations.
Les accidents de décompression sont principalement connus pour être des accidents de plongée. Ils surviennent lorsque l'azote se dissout lors de la plongée dans les tissus de l'organisme lorsque la pression environnante est élevée, forme des bulles de gaz lorsque la pression baisse.
9- Pas de sport violent après la plongée
Toujours à cause de la saturation en azote des tissus, il est recommandé de ne pas faire d'apnée ni de sport après une plongée. Un effort violent favorise en effet les accidents de décompression. Ce serait quand même dommage de se blesser après avoir plongé.
La narcose, aussi appelée « l'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, du à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux.
Si vous plongez pendant 30 minutes à une profondeur de 20m il n'est pas nécessaire de faire de palier de décompression. Il est conseillé cependant d'effectuer en fin de plongée un palier de 3 minutes à 3m de profondeur. C'est le "palier de principe".
Si la plongée dure un certain temps au-delà du seuil de 40 mètres, vous devez impérativement effectuer un palier de décompression à la remontée. Pour les plongées très profondes, des paliers de décompression profonds et longs sont OBLIGATOIRES d'abord 12m puis 9m puis 6m puis 3m.
La surpression pulmonaire est l'un des accidents les plus graves qui guettent le plongeur. Il est provoqué par une dilatation excessive des poumons au cours de la remontée vers la surface. Lorsque, en remontant, le plongeur bloque sa respiration, l'air contenu dans les poumons se dilate (Loi de Boyle-Mariotte).
Pour éviter l'accident de décompression, il faut que le plongeur ait expulsé tout l'azote avant d'avoir remonté en surface. Cet accident survient à des personnes qui, après une plongée profonde ou prolongée, remontent trop vite ou sans respecter les paliers de décompression.
L'accident de décompression pulmonaire, aussi appelé "Choke" (de l'anglais to choke : suffoquer) survient en général lorsque la remontée a été trop rapide (remontée d'urgence, exercice mal contrôlé).
La maladie des caissons (ou mal de décompression) résulte d'une exposition rapide de l'organisme à une diminution significative de la pression atmosphérique.
C'est à ce moment-là que l'avion après une plongée comporte des risques. En effet, les cabines des avions sont pressurisées une fois en altitude, cela peut entraîner une augmentation du volume d'azote encore présent dans votre organisme.
Les causes humaines les plus fréquentes : l'alcoolémie et la vitesse sont présentes respectivement dans 31% et 25% des accidents mortels, la fatigue ou la somnolence sont en cause dans près de 8% des accidents mortels. La distraction est aussi un facteur humain d'accident de la route.
Qu'est ce qu'un sas de décompression ? Un sas de décompression est un espace de recueillement et de détente permettant à toute personne de s'isoler pendant un certain laps de temps.
Ce sont ces petites bulles, qui, si mal éliminées, peuvent engendrer des accidents de décompression. Les paliers sont donc là pour laisser le temps à notre organisme de rejeter l'excédent d'azote et par conséquent prévenir de ces risques.
Pour limiter le phénomène d'oreilles bouchées, pratiquer la manœuvre de Valsalva est essentiel. Il s'agit de souffler lentement par le nez au cours de la descente, tout en le pinçant, pour ouvrir les trompes d'Eustache et augmenter la pression de l'air dans l'oreille moyenne.
La narcose à l'azote (ivresse des profondeurs) est provoquée par une pression partielle de l'azote élevée. Les symptômes ressemblent à ceux de l'intoxication alcoolique. Les personnes sont euphoriques, désorientées et leurs capacités de jugement sont altérées.
La plongée est classée comme un sport extrême mais sa pratique en loisir avec des accompagnants diplômés et expérimentés devient une activité nautique ouverte à toutes et tous.
En pratique, Il faut se pincer le nez et souffler doucement en continu, bouche fermée (comme si vous vouliez vous moucher). Ce geste va alors forcer l'ouverture de la trompe d'Eustache et de l'air va pouvoir passer dans l'oreille moyenne, ce qui permet ainsi d'égaliser les pressions.