Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi.
L'homme qui porte la croix dans les évangiles
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
Il reste le signe d'affirmation des chrétiens orthodoxes et catholiques lorsqu'ils le font sur eux. Pour les catholiques, ce geste, répété au cours de chaque messe, équivaut à une profession de foi qui symbolise leur appartenance au « corps du Christ » qu'est l'Église.
ORIGINE DU SIGNE DE CROIX
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah.
Un crucifix consiste en l'image de Jésus attaché à la croix, souffrant, parfois mort. La croix, qui présente deux morceaux de bois liés, renvoie à l'outil de torture et de mise à mort utilisé dans l'Empire romain et sur lequel Jésus a perdu la vie.
Bien que le signe de croix soit antérieur au concile de Nicée, il fut rejeté par quelques-uns des Réformateurs comme étant une pratique catholique, et cela en dépit de la vision positive qu'en avait Martin Luther, de la prescription faite par le Livre de la prière commune et le Code de droit canonique anglican de 1604.
L'origine du symbole vient de la tradition catholique selon laquelle Pierre l'apôtre aurait été crucifié à l'envers, d'après Origène d'Alexandrie. La tradition du martyre de saint Pierre, s'appuie sur un texte apocryphe, fragmenté, les Actes de Pierre, écrit vers la fin du II e ou le début du III e siècle.
Dans les Évangiles
La descente de croix a lieu le soir de la Crucifixion et Joseph d'Arimathie demande à Ponce Pilate l'autorisation d'emporter le corps de Jésus. Ponce Pilate, étonné que la mort soit arrivée si vite, demande la confirmation à Longin le Centurion qui perça le côté droit de Jésus avec la Sainte Lance.
L'expression porter sa croix signifie « endurer, supporter, avec une forme de résignation, les épreuves ou les moments difficiles de la vie, qu'on ne peut ni prévoir ni éviter ». On trouve aussi une variante de cette expression sous la forme d'un proverbe : chacun porte sa croix .
Un morceau est conservé dans l'église du Saint-Sépulcre ou de Jérusalem à Bruges ; Une relique est offerte par Gauthier de Courtrai à la collégiale Saint-Pierre de Lille en 1409. Elle se trouve aujourd'hui à l'église Saint-Étienne.
Jésus poussa un grand cri : Père, entre tes mains je remets mon esprit (Lc 23,46). Et sur ces mots il expira. C'est au Père que se rapporte la dernière parole de Jésus comme le fut sa première : Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père ? (Lc 2,49).
La Bible raconte qu'il serait tombé à de nombreuses reprises, souffrant trop du poids de son fardeau. C'est en référence au Christ et à sa Passion que l'on utilise cette expression, "porter sa croix", qui signifie que l'on supporte des épreuves difficiles avec patience lorsque l'on ne peut y remédier.
Elle repose sur l'affirmation du salut par un rédempteur divin, le Messie envoyé par Dieu pour racheter les péchés des hommes. Paul a tiré parti de ce que le Dieu créateur est unique mais se présente dans le Pentateuque sous deux noms : " Ecoute Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul " (Deutéronome 6, 2).
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).
Au septentrion, sur les rives de l'Euphrate, Ils chancellent, ils tombent. Le verset de la bible le plus court? Amos 2:14-16 Celui qui est agile ne pourra fuir, Celui qui a de la force ne pourra s'en servir, Et l'homme vaillant ne …
Joseph d'Arimathie est celui qui a demandé à Ponce Pilate – celui qui ordonné la mort de Jésus – le droit de récupérer son corps et de l'ensevelir. Il est aidé de Nicodème qui apporte un mélange de myrrhe et d'aloès pour l'embaumement. Le nom de ce personnage est d'ailleurs passé dans le langage courant.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
ÉCLAIRAGE - Considérant la dévotion catholique à Marie comme étant excessive, les protestants rejettent la notion d'une montée au ciel de la Vierge. Une statue de Martin Luther, un des initiateurs du protestantisme, en Allemagne.
Ils ne croient d'ailleurs qu'en l'autorité de la Bible et non plus à celle du pape contrairement aux catholiques. Autre différence : les protestants ne vouent pas une adoration pour la Vierge Marie. Ils croient en la conception virginale, c'est-à-dire le fait qu'elle ait conçu Jésus en restant vierge.
Les chrétiens(es) pratiquants(es) qui portent une croix autour du cou, sont plus dans la quête d'une connexion avec Dieu. Ils veulent se sentir plus proches de leur souverain habitant dans le ciel.
Les protestants croient, comme les autres chrétiens, en un Dieu créateur, et participent, entre protestants ou dans le cadre d'initiatives œcuméniques, à des actions en faveur de la sauvegarde de la Création.
Cependant, il faut convenir que, dans le langage courant, être catholique signifie, en général, être né dans une famille appartenant à cette tradition, tandis qu'être chrétien, au sens propre du terme, signifie s'être volontairement et sciemment tourné vers Jésus-Christ.
Cela est même vu comme un geste altruiste ; une façon de vivre en pratique l'amour de son prochain. Par ailleurs, le corps du défunt ne fait l'objet d'aucune sacralisation, d'aucune prière. Les soins apportés au corps ont pour but de le rendre présentable aux yeux des vivants.
Dans certaines des illustrations qui les accompagnent, en effet, la croix ou le crucifié se dressent contre le lit du mourant pour l'inviter à se préparer à quitter ce monde et à remettre son âme à Dieu.