On utilise les signes > et <, pour comparer des chiffres ou des nombres. Le signe > signifie que le nombre situé à gauche de > est plus grand (ou supérieur) que celui situé à droite de >. Le signe < signifie que le nombre situé à gauche de < est plus petit (ou inférieur) que celui situé à droite de <.
Conséquences de ce complexe d'infériorité : un repli sur soi, la peur des autres, des angoisses, de l'inhibition, voire une dépression. "La souffrance liée aux complexes est énorme" confirme le Dr Fanget. Et en outre, elle est souvent sous-estimée par l'entourage.
Le complexe d'infériorité, c'est le fait de se focaliser sur un point de sa personnalité ou de son corps que l'on considère comme un défaut et qui nous fait nous sentir inférieur aux autres. Ce défaut peut être réel mais il peut aussi être le fruit de votre interprétation voire même totalement imaginé.
Le complexe d'infériorité ne se développe pas forcément dans le contexte de tâches ou buts particuliers, mais également dans un contexte général. L'individu complexé est incapable de sympathiser ou de se faire des amis, car il pense ne pas être apprécié par les autres et ne pas être assez bien pour avoir de bons amis.
Par exemple, lorsqu'une personne est satisfaite d'elle-même, elle est beaucoup plus susceptible de se réjouir des succès de son entourage. D'autre part, lorsqu'une personne est mal à l'aise avec elle-même, elle peut finir par rabaisser les autres. Cela peut être le signe d'un complexe de supériorité.
En psychanalyse, on parle de « syndrome d'hubris » lorsqu'une personne fait preuve de « narcissisme, d'arrogance, de prétention, d'égotisme, voire de manipulation, de mensonge et de mépris » en réaction à son pouvoir. Pire, son pouvoir lui confère un sentiment d'invulnérabilité et de toute-puissance.
Comme souligné par l'équipe belge, la thèse de l'orgueil est la comparaison favorable et explicite de soi par rapport aux autres. Cela amène les autres à croire que l'on a une attitude désobligeante à leur égard, car on les laisse penser qu'on se sent supérieur.
La peur de la critique.
C'est l'une des peurs les plus répandues à l'origine d'une déficience de la confiance en soi. La principale cause de cette peur est que vous êtes trop concentré et préoccupé par le regard des autres et leur opinions . Du coup, vous ressentez un sentiment d'insécurité.
Pourquoi suis-je anxieuse ? L'origine de l'anxiété peut être très difficile à cerner. Chaque personne est bien sûr différente et ce qui peut provoquer ce sentiment dépressif chez l'une ne va pas forcément être la raison pour laquelle une autre personne se sent anxieuse.
Certains se sentent décalés parce qu'ils ont du mal à écouter et à comprendre ce que l'autre ressent. Ce manque d'empathie peut avoir une double origine. « Il peut venir du fait que, enfants, leurs émotions n'ont pas été écoutées, si bien qu'ils n'ont pas appris à le faire à leur tour, explique le psychiatre.
Le syndrome de l'imposteur est une tendance psychologique à la peur et à la remise en question. Il fait douter la personne atteinte de ses propres réussites et l'accable d'une peur persistante et internalisée d'être présentée comme un escroc, et ce, malgré ses capacités démontrées.
Respirez lentement et à intervalles réguliers. Essayez de détendre vos muscles si vous sentez qu'ils sont tendus. Si vous vous sentez mal à l'aise ou anxieux, ne vous jugez pas. Essayez simplement de vous imaginer dans un endroit calme et concentrez-vous sur ce que c'est d'être détendu.
L'estime de soi peut être influencée par de nombreux facteurs. Elle se construit dès l'enfance et peut évoluer de diverses manières au cours de la vie. Se dévaloriser c'est s'enfermer dans un mal-être constant, mal-être qui peut entraîner de nombreuses difficultés dans la vie et dans les relations avec autrui.
Et parfois, ce manque d'estime peut être inconscient. Le manque d'estime de soi trouve généralement sa source dans l'enfance. Vous pourriez avoir été rabaissé par un de vos parents pendant votre enfance. Vous pourriez avoir ressenti un manque d'estime de leur part, alors même qu'ils vous aimaient.
Les complexes sont liés à des pressions et des erreurs de la part de l'environnement familial qui a plus ou moins consciemment imposé un modèle de perfection à l'enfant. Les complexes sont fortement associés à l'estime de soi. D'autre part, ils naissent des comparaisons.
Les personnes vraiment confiantes sont calmes et modestes.
Elles savent déjà ce qu'elles pensent; elle veulent savoir que Vous pensez. Donc, elles posent des questions ouvertes qui donnent aux autres personnes la liberté d'être réfléchies et introspectives.
Le complexe naît de notre incapacité à accepter l'imperfection. L'impact qu'il a sur la vie dépend donc de la stratégie mise en place par chaque individu.
Il ne faut pas se replier sur soi, mais regarder les autres, leur parler, pour comprendre comment ils fonctionnent avec leurs imperfections. Une personne complexée est orgueilleuse : elle ne croit pas les avis extérieurs, est persuadée qu'elle a raison. Il faut changer d'attitude et écouter ce qu'on nous dit.
complexé adj. et n. Se dit de quelqu'un qui souffre de complexes, qui est inhibé.
Les «obstineux» compulsifs.
outrecuidant adj. Qui se croit supérieur aux autres.
omniscient, omnisciente
omniscient adj. Qui sait tout ou paraît tout savoir.